Roger Charles Storace - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Roger Charles Storace



Naissance : 25 janvier 1903 - Paris 18e

Activité antérieure : fonctionnaire

Point de départ vers la France Libre : Afrique

Engagement dans la France Libre : AEF en aout 1940

Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / RTST

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant

Décès à 51 ans - 12 mai 1954 - Douala, Cameroun

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 557629

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Roger Charles Storace - son Livre ouvert !
 

Croix de Guerre, suivant l'Ordre Général n° 64 du 25 avril 1945, attribuée à :
STORACE Roger du 40ème R A N A.



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LEFEBVRE le jeudi 20 avril 2023 - Demander un contact

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Acte de naissance



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Jacques Ghémard le mardi 28 juin 2022 - Demander un contact

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JORF du 19 juillet 47 :
Ministere de la guerre

Decret du 11 juillet 1947
portant concession de la médaille militaire

Par decret du 11 juillet 1947, sont décorés de la médaille militaire les militaires dont les noms suivent :

Storace Roger Charles, Adjudant Chef du 4e régiment de marche du Tchad

Cette concession annule la citation précédente (ordre général N°760) du général commandant superieur T.E.F.E.O.

Laurent le mercredi 30 septembre 2009 - Demander un contact

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Carnets de route d'un Croisé de la France Libre de Raymond Dronne

"... Chez les sous-officiers, techniciens, hommes de troupe européens, il y avait de tout, comme chez les officiers : vieux soldats colo­niaux, engagés du Cameroun et des territoires voisins, volontaires arrivés d'Angleterre. Ces gens si divers, de toutes origines, de tous les milieux sociaux, étaient soudés par une volonté commune, celle de refuser la défaite et de continuer la lutte. Quelques-uns d'entre-eux émergent de mes souvenances : Mortel, agent à la Banque commerciale africaine de Douala, engagé à la Légion du Came­roun, volontaire pour le BM 5, qui était arrivé au camp avec le détachement précurseur et qui s'est efforcé, avec de maigres résul­tats, de ramener le Père de Fraguier sur terre ; Marty, le barbu, un homme courageux, intelligent, actif, débrouillard, qui a fait une très belle guerre et qui a terminé sa carrière comme capitaine à la 2e DB ; et enfin, Storace.
Storace : un cas, déjà évoqué dans ces souvenirs. Adminis­tratif et comptable, compétent, consciencieux, précieux, il lui arri­vait de temps en temps de prendre une cuite mémorable. Le docteur Chauderon m'a rappelé la plus sensationnelle : à Maroua, un jour de décembre 1941, à la fin d'un dégagement à la popote des sous-officiers, mon Storace, bien imbibé, se mit en tête de faire profiter de la fête un de ses camarades détaché quelque part dans un poste isolé de la montagne kirdie, du côté de Mokolo. Il prit une bouteille de whisky, « emprunta » un véhicule de l'unité et se lança gaillardement sur la piste montagnarde. L'alerte donnée, une patrouille motorisée partit à ses trousses, rattrapa la voiture fugueuse : une panne salvatrice d'essence l'avait stoppée au bord d'un ravin avec une roue à demi dans le vide. Storace, profondé­ment endormi sur le bas-côté, ronflait en serrant avec amour sa bou­teille de whisky sur sa poitrine. Ce qui prouve qu'il existe un saint protecteur pour les hommes de bonne volonté trop assoiffés.
Il ne faudrait pas croire, à l'évocation de frasques de ce genre, que nos unités étaient indisciplinées. Au contraire, la discipline était stricte. Une équipée comme celle de Storace prête à rire. Elle a valu à son héros une belle brochette d'arrêts de rigueur. Dans l'ambiance où nous vivions, il fallait des dérivatifs.
Storace fit la campagne du Fezzan, de Tunisie, puis celle de France et l'Allemagne. Il termina sa carrière en Indochine. Officier de détails dans mon bataillon, il fut gravement blessé dans une embuscade pendant la « drôle de paix » tonkinoise de l'été 1946. Il ne devait jamais s'en remettre et mourut rapidement. ..."

Laurent Laloup le dimanche 14 septembre 2008 - Demander un contact

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Carnets de route d'un Croisé de la France Libre de Raymond Dronne

"...Je rapporte à Ebolawa les nouvelles et les rumeurs ramassées à Yaoundé. Je vais bientôt dire adieu à mes hommes. Nous som­mes ensemble depuis plus d'un an. Une séparation est toujours un déchirement. Je vais emmener avec moi quelques éléments, dont Schrimpf et Storace, et des sous-officiers africains. ..."

Laurent Laloup le dimanche 14 septembre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 20 avril 2023

 

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