Georges André Liurette - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Georges André Liurette



Naissance : 13 aout 1910 - Cognac (16)

Activité antérieure : fonctionnaire

Point de départ vers la France Libre : Afrique

Engagement dans la France Libre : AEF en aout 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM5

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine

Décès à 86 ans - 11 mars 1997 - Nice (06)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 374070

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 32420

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Revue de la France Libre - Décembre 2020 n°77



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Laurent Laloup le samedi 03 décembre 2022 - Demander un contact

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"... Le 2 septembre je partais moi-même au Gabon, qui avait repris sa parole devant les menaces de Vichy, pour rallier le cercle limitrophe d'Oyem, clé de la route de Libreville. Aidé du lieutenant Liurette et trompant la surveillance vichyste à la frontière du N'tem je réussis à Oyem même, mais me heurtai à Mitzic, la subdivision Sud, à un refus menaçant de la part de l'officier commandant la subdivision : par la faute de celui-ci la campagne du Gabon allait commencer."

Le ralliement du Cameroun
Extrait de la Revue de la France Libre, n° 12, octobre-novembre 1948.

www.france-libre.net 

Laurent le samedi 28 novembre 2009 - Demander un contact

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Source : Maïlys Leman-Giard, petite-fille de Jean NOUTARY 

Laurent le samedi 28 novembre 2009 - Demander un contact

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"LES TRACES DE MA VIE" de Jean DUPERTUIS

" Un autre jour se leva. Le deuxième guide, celui qui, l'avant veille, n'avait plus voulu bouger de l'en­droit où il s'était affalé d'épuisement, était là, à mes côtés. Il avait dormi pendant deux jours, puis il nous . avait rejoint ! Nous allions repartir quand un vieillard, surgi on ne sait d'où, courut vers moi, et, devinant que j'étais malade de faim, me tendit un bâton de manioc, que je ne pus manger. Ce vieil homme avait été chargé de nous retrouver. Il me montra la moitié de citron que j'avais jetée trois jours plus tôt et un mouchoir que j'avais perdu dans la boue en marchant. Il me proposa de coucher sur place, car le chemin était encore long. Je refusai et l'on se remit en route, péniblement. Je ne parvenais même plus à passer par dessus les troncs
d'arbres couchés en travers de nos pas. J'étais obligé de me laisser rouler de l'autre côté. Mais, sachant que nous n'étions plus perdus, j'eus un sursaut d'énergie. Encore quatre heures de marche harassante, et je retrou­vai enfin les lieutenants Luirette et Schrimpf, mes cama­rades qui s'étaient occupés de me rechercher.
J'étais à bout de forces, ivre de fatigue. Je n'avais rien mangé depuis cinq jours. On m'alimenta un peu, puis un infirmier recouvrit les crevasses de mes che­villes de pommade de Reclus ... Le feu de l'enfer ! Je serais monté aux arbres !
Mon boy, Marcel, m'apprit que tous les jours il était parti en brousse à ma recherche, car il craignait que je sois mort, et que, chaque fois, il faisait cuire un poulet, dans l'espoir de mon retour. Le lieutenant Lui­rette me donna l'explication des coups de fusil sans suite. Il avait envoyé deux petits détachements à mes trousses, l'un à droite de la route, l'autre à gauche. Cha­cun crut que les détonations entendues - mes coups de feu - avaient été tirés par l'autre.
A peine étais-je remis un peu d'aplomb que Lui­rette me prévint qu'il fallait repartir. La chasse au Duper-tuis les avait retardés de vingt quatre heures. Nous rou­lâmes jusqu'à la nuit avant de faire une halte en Guinée Espagnole dans une fonda qui nous servit sept whiskies chacun, et, le lendemain matin, nous étions à Ebolowa. J'y rencontrai le docteur Hostalo, qui m'examina rapi­dement. Il n'en revenait pas de ma forme : ni fièvre, ni dysenterie, ni paludisme ! La Providence, dans sa bonté, m'avait doté d'une solide constitution. "

Laurent Laloup le samedi 22 novembre 2008 - Demander un contact

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La France d'outre-mer (1930-1960) De Jean Clauzel 

Laurent Laloup le dimanche 14 septembre 2008 - Demander un contact

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Carnets de route d'un Croisé de la France Libre de Raymond Dronne

"... Beaucoup de noms et beaucoup de silhouettes se sont effacés de ma mémoire, je n'ai fait que passer au BM 5, je n'y suis pas resté. Je me souviens du lieutenant Bouletreau. Il était l'adjoint de Gardet. Il était l'antidote de son patron. Autant l'un était sec, autant l'autre était rond (nous l'appelions familièrement Grosse Boule) et affable. Il avait l'art fort apprécié d'arrondir les angles, de mettre au moment opportun de l'huile dans les rouages. Quand l'occasion d'une mutation lui fut offerte, il sauta dessus et partit, d'abord avec le général de Larminat, puis avec le général Koenig. Cet officier sympathique avait terminé son purgatoire.
Parmi les autres officiers, je ne citerai que pour mémoire le lieutenant Schrimpf, tué en Normandie en 1944, et le docteur Chauderon, il en a déjà été question. Je me rappelle de quelques noms et de quelques silhouettes : les capitaines Buttin, Bonnet (qui devait par la suite quitter le BM 5 pour un poste d'attaché militaire en Chine), les administrateurs engagés comme Lembezat, un intellec­tuel intelligent et fin, Lescan du Plessis, Liurette, Fayet, le lieute­nant Deschamps (de l'Agence des Chargeurs Réunis à Douala). ..."

Laurent Laloup le dimanche 14 septembre 2008 - Demander un contact

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Le général Leclerc et l'Afrique Française Libre 1940-1942 Colonel R. DRONNE :

" A Yaoundé, déception. La plupart de mes complices de juin-juillet ont retourné leur veste. Je rameute des fidèles : les administra­teurs Saller, Salin, Liurette, le chef de gare Mery, le chef de dépôt du chemin de fer Jean Mouchet. Pas beaucoup de monde.
Juste avant la nuit, un envoyé de Leclerc, le lieutenant Quilichini, arrive en draisine pour prendre liaison avec le colonel Bureau. Il le connaît, il a servi sous ses ordres ; l'officier de renseignements, le lieutenant Laigret, l'emmène chez Bureau."

L. Laloup le vendredi 02 mai 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 03 décembre 2022

 

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