Contributions - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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www.cndp.fr 
"... L'Argonne, sous les ordres de Canonne [ a succédé à la tête de Ceux de la Résistance-Argonne à André Noizet, arrêté le 22 janvier 1944 ] , était essentiellement orientée vers la recherche de terrains et l'organisation d'opérations de parachutage en liaison avec le BOA animé maintenant par Christian Longetti avec Robert Pelletier pour adjoint..."

www.menouetsesvoisinsdargonne.fr 
"... que, sur le côté gauche de la route, une grande stèle de granit qui souhaite perpétuer le souvenir de la Résistance en Argonne, lors de la seconde guerre mondiale. Sans pour autant rabaisser le courage de ceux qui, au péril de leur vie, ont pris le maquis, il faut préciser que pour l’essentiel, la Résistance argonnaise fut tardive (après le débarquement) et d’une ampleur limitée.
Sur ce monument est inscrit le nom de tous les Résistants, ceux qui sont morts pour la France, puis ceux de tous les autres, au fur et à mesure qu’ils quittent le monde, avec la mention mort après la libération.
Cette érection est due à Madame Noizet, ex Chanteraine, qui a créé l’association « ceux de la Résistance d’Argonne ». Or, dans la première liste, à côté d’hommes morts pour faits de Résistance (Lemaire, Dubreuil, …) et même devant, sans respect de l’ordre alphabétique, on trouve :
« A. Noizet, responsable du secteur Argonne ».
Il s’agit là d’un mensonge dont nous ferons porter la responsabilité à sa seconde femme, car André Noizet n’est en rien mort pour la France. Rétablissons la vérité. Cet assureur ménéhildien entre dans la Résistance en 1942. Il sera dénoncé en 1944, emprisonné à Compiègne et déporté à Dachau. Il en reviendra très diminué. Mais il reprend vite goût à la vie. En 1945, il est élu conseiller général du canton de Sainte-Ménehould et il sera réélu en 1949.
En 1950, il va quitter subitement sa ville, sa femme et ses enfants pour suivre en Bretagne Madame Chanteraine, qui deviendra sa seconde épouse. En 1964, il s’installe avec elle dans notre département, à Nanteuil la Fosse. Il fermera les yeux en 1974, vingt-neuf ans après la sortie des camps.
Une telle falsification apporte de l’eau au moulin à ceux qui disent que Christiane Chanteraine n’est pas toujours crédible dans la narration de son action de Résistante. Nous nous garderons bien de juger, préférant reprendre le conseil que donnent les enseignants à leurs élèves : « ce qui est écrit dans les livres (ici gravé dans la pierre) n’est pas toujours vérité..."

Laurent Laloup le samedi 25 juillet 2020

Contribution au livre ouvert de André Amede Noizet

Montrée dans le livre ouvert de 2 Charles François Canonne | 3 Christiane Juliette Félicie Lemoine épouse Chantrenne / Noizet | 4 Christian Orfeo Longetti

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