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Jean Le Dlutz ? " Parmi les huit fugitifs, il y avait trois marins confirmés. Quant aux cinq autres, nous étions plutôt jeunes, et le plus jeune, était mon cousin, Jean LE DLUZ.
Aucun bateau en vue. Le soir, nous nous sommes réfugiés, entre deux rochers, près de l’Ile de BREHAT.
A quatre heures du matin, nous avons été réveillés, par les pêcheurs de l’île, qui reprenaient la mer. Et ils nous ont dit, en breton, que les Allemands étaient déjà là. "
labarakadunffl40.over-blog.com Laurent le jeudi 05 novembre 2009 Contribution au livre ouvert de Jean Le Dluz | |