| |  | | | | Un Français Libre parmi 63640 | | | Jacques Letoquart | |
Naissance : 21 mars 1922 - Paris 19e
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / train
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sergent
Décès à 82 ans - 27 avril 2004 - Paris 15e
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 368641
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 31965 |
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Jacques Letoquart - son Livre ouvert ! rectification Letoquart Jacques n'est pas né le 21/3/1922 à Paris 3 OU 19e mais dans le 19e comme indiqué à l'état civil de Paris ZYLBESZTEJN le mercredi 16 juillet 2025 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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suite à une info erronée, même la mairie de Plougasnou a diffusée le nombre de passagers de 80, 3 fois = 240 personnes transportées en Angleterre... alors qu'en fait le 80 que Mr Letoquart fils a cru lire est très certainement un 20, soit en 3 voyages 60 personnes et non 240 !!! et pour ma part je n'ai retrouvé que 16 personnes, soit environ 50 en 3 fois, bien plus près de la vérité que du chiffre fantaisiste de 240... Mais comment faire modifier l'info diffusée par la mairie ??? Quinquis le vendredi 16 mai 2025 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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suite à votre commentaire, pour info, et après avoir débattu avec Mr Letoquart fils et relu le carnet de route, le chiffre de 80 est légèrement taché et au vu d'une loupe, ce serait plutôt un 3 ou un 2... à la place du 8 de 80... J'ai la liste constituée par nombreux témoignages divers, consultation des archives FNFL, de tous les départs (3) du patron Tanguy vers l'Angleterre: nous n'avons retrouvé que 16 noms... De toute façon ce bateau ne pouvait pas transporter tant de passagers (debout...).
Quant il dit avec 15 autres passagers, il serait donc le 16e ce qui correspond au nombre et à l'identité de mon tableau... et là, tous les témoins sont d'accord. Vit encore le passeur qui les menait du quai au bateau, à la godille, trop jeune pour embarquer et suivre sont frère aîné il est resté à quai (il avait une dizaine d'années).
Jean QUINQUIS (fils de FNFL) Jean Quinquis le jeudi 07 décembre 2017 Recherche sur cette contribution | |
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On me dit : "Parti de Plougasnou le 24 Juin 40 sur "Le Primel" avec 15 autres passagers, le patron étant Tanguy Louis, ils sont arrivés le 26 à Southamton via Guernesey"
Donc 15 et pas 87 passagers ce qui semblait effectivement beaucoup Jacques Ghémard le jeudi 07 décembre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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recherches Bonjour,
Pouvez-vous me mettre en contact avec le fils de Jacques Letoquart?
Préparant actuellement une conférence sur l'occupation de Plougasnou, je cherche à reconstituer les départs de Plougasnou (Le Diben) et ici, celui-c- annonce 87 personnes avec son père dans un bateau de 15m (Le Primel)... Je souhaiterai un complément d'informations et notamment l'écrit qui lui fait dire celà.
Merci.
Jean QUINQUIS
fils de FNFL QUINQUIS le mardi 20 janvier 2015 Recherche sur cette contribution | |
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www.francaislibres.net 
"Mon père, Jacques LETOQUART, a quitté Paris en vélo le 11 Juin 1940, pour fuir l’invasion allemande. Il avait à l’époque à peine 18 ans.
En 3 jours, il rejoignait Morlaix. Le 24 Juin 1940 «ne voulant pas rester dans une région que les Allemands n’évacueront pas», il embarque de nuit, clandestinement, avec 87 autres passagers sur une barque de pêcheur de 12 mètres au port du Diben, direction Guernesey puis l’Angleterre.
C’est là que débute cette aventure d’un Français Libre ordinaire qui durera presque 5 ans.
Mon père est décédé le 27 Avril 2004 à l’âge de 82 ans. A la suite du décès récent de ma mère, j’ai pu retrouver des souvenirs inestimables à savoir son «Carnet de Route» ainsi que toutes les photographies prises par lui pendant ces longues années de guerre.
En sa mémoire, je voudrais vous en livrer quelques passages : «La campagne d’Erythrée vue par un de la 1ère Compagnie du Train» qui deviendra plus tard la 101ème Compagnie Auto.
Et pour faire le lien avec d’autres histoires de Français Libres, je préciserais que mon père était le conducteur dans le groupe de camarades dont parle Pierre CAPUCIN alias Paul CHANOINE dans ses «Souvenirs de Guerre».
J.P. Letoquart "
Mon père devant un camion avec des camarades 
Laurent Laloup le vendredi 05 octobre 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : J'ai mis en évidence l'erreur concernant les 87 passagers qui étaient plutôt 27 sur ce petit bateau
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Souvenirs de guerre de Pierre Capucin " J’ai eu des camarades blessés à mes côtés, mais aucun qui y soit mort.
Moi-même, je n’ai jamais été blessé. J’avais récupéré en Érythrée un casque italien. J’ai toujours pensé que c’était cela qui m’avait sauvé : parce que les casques anglais, eux, ne couvraient pas la nuque.
Je me souviens de certains qui sont morts : Yves Lebon est mort en juin 1942, à Bir Hakeim, comme Ferdinand Le Dressay, qui était breton. Il y a eu aussi Pierre Le Gourrierec qui a disparu au cours de cette bataille, dans la tourmente. Il y a même eu un de nos camarades qui a disparu au même moment, qui a été fait prisonnier par les Italiens et qu’on a retrouvé bien plus tard, en Italie, lors de notre passage dans ce pays.
Il y a eu plusieurs camarades qui ont été fait prisonniers dans les mêmes circonstances et qui sont morts plus tard, noyés lors du naufrage du bateau italien qui les ramenait en Italie. Paul Grech, mort en juin 1944, venait lui de Médéa (en Algérie). Dans l’ensemble on a eu moins de morts dans le Train que dans les autres unités car on n’était pas une unité combattante au sens classique.
Je me souviens aussi d’Hervé Quemeneur, de Louis Worms et d’un troisième encore dont j’ai oublié le nom. Ils ont récupéré des obus et ont voulu en extraire l’enveloppe en cuivre pour en faire des souvenirs, comme ma grand-mère en avait gardé de la guerre de 1914. Ils ont commencé à taper dessus ; on leur a gentiment dit de ne pas faire les cons mais ils ont continué. Deux minutes après, tout a sauté, et ils sont morts !
Sur la photo, on a, de gauche à droite, Paul Grech, André Nicolas, Henri Le Goïc, Jules Dupièce (qui n’est pas mort, lui, pendant la guerre) et un frère noir dont j’ai oublié le nom. Il y avait aussi le conducteur (qu’on ne voit pas sur cette photo), Jacques Letoquart, dont les parents tenaient alors une quincaillerie Place des Vosges - c’est chez eux que j’ai bu ma première bouteille de Champagne en rentrant à Paris après la guerre -.
On a eu, c’est marrant, trois moines qui étaient chefs de bataillon à la 1° D.F.L. : il y avait un dominicain, un carme connu (qui était l’Amiral Thierry d’Argenlieu), et encore un troisième.
Je dépendais du commandant Dulau. Comme autres officiers dont j’ai dépendu, il y avait Hochapfel, Domange - tué en Libye -, le lieutenant Renault qui était de ma compagnie"
www.entretemps.asso.fr/PaulChanoine  
Laurent Laloup le vendredi 05 octobre 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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