Maurice Philippe César Choron - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Maurice Philippe César Choron



Naissance : 7 novembre 1911 - Béthisy-Saint-Pierre (60)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL / Royal Air Force

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 30 ans - 10 avril 1942 - en mer, près de Calais

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 129682

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 11250

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Il est l'un des 123 FAFL disparus sans sépulture dont le nom figure désormais sur la stèle commémorative du Tréport inaugurée en juin 2022.

Sa notice biographique et les circonstances de sa disparition ainsi que l’historique du projet de la Stèle, mené par l’Association pour la mémoire des FAFL, sont consultables sur le site de la Fondation de la France libre à l’adresse suivante : 

Des photos de la stèle sont consultables sur le site « Aérostèles » : 



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Fred Bentley le samedi 30 juillet 2022 - Demander un contact

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Yves MORIEULT :

"LES PILOTES DE CHASSE DE LA FRANCE LIBRE DANS LA BATTLE OF BRITAIN

dans l’ordre chronologique de leur première mission de guerre au sein d’un Squadron du Fighter Command de la Royal Air Force entre leur affectation et le 31 octobre 1940, date officielle de la fin de cette bataille.

Effectif : un officier et douze sous-officiers :

Le premier pilote Français engagé dans la bataille d’Angleterre, le sergent-chef Maurice Choron, le sera le 16 septembre 1940, le lendemain de ce qui deviendra le Battle of Britain Day.

16 septembre : sergent-chef Maurice CHORON, affecté au 64 Squadron le 14 septembre 1940 - Spitfire.. Lieutenant au 340 Free French Squadron « Ile de France », il sera porté disparu en combat aérien le 10 avril 1942 - Compagnon de la libération et membre du Conseil de l’ordre, il avait succédè à son camarade Henri Bouquillard, tué le 11 mars 1941. ..."

Laurent le dimanche 06 décembre 2009 - Demander un contact

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Source : Yves MORIEULT

Laurent le jeudi 22 octobre 2009 - Demander un contact

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Evasions en juin 1940

Un grand bravo pour ce site qui est un véritable travail de bénédictin. En qualité de membre d’honneur et du comité historique de l’amicale des F.A.F.L., je voudrais apporter quelques informations supplémentaires concernant l’intervention signée - Steph - transmise par monsieur Laurent Laloup, le mardi 16 octobre 2007, car le détail des évasions recencées n’est pas correct. Voici ce qu’il en fut en réalité :

22 juin 1940 : décollage de Toulouse à destination de l’Angleterre, d’un bimoteur Caudron Goéland. Pilote : sergent Didier BEGUIN (+). Passagers : capitaine Raymond ROQUES (+), polytechnicien, accompagné de trois ou quatre sous-officiers réservistes observateurs élèves de l’école de l’air dont l’aspirant René CASPARIUS (+), l’aspirant Louis RICARD-CORDINGLEY (+) et l’aspirant Jacques SCHLOESING (+). Malgré mes recherches je n’ai pu identifier le quatrième sous-officier observateur au point que je doute parfois de son existence.

24 juin 1940 : décollage de Bergerac à destination de l’Angleterre, du bimoteur Potez 63-11 n° 838 du groupe de reconnaissance I/14. Equipage : pilote : sous-lieutenant Daniel NEUMANN (+), école de l’air, active, observateur : lieutenant André JACOB (+), polytechnicien puis séminariste et radio-mitrailleur : sergent Marcel MOREL.

25 juin 1940 : décollage de Toulouse de trois Dewoitine D520 du groupe de chasse III/7 avec aux commandes le sous-lieutenant André FEUILLERAT (+), l’adjudant Albert LITTOLF (+) et le sergent-chef Adonis MOULENES.

CHORON (+) et REILHAC (+) ont embarqué sur le cargo Apappa à Port-Vendres le 24 juin et SANDRé (+) est parti d’Oran à destination de Gibraltar le 28 juin, à bord d’un Glenn Martin 167, en compagnie de plusieurs camarades. Sa biographie dans « Aviateurs de la liberté » est malheureusement erronée en ce qui concerne son évasion. Voir la biographie de son camarade Guy BECQUART, tué le 19 juin 1941.
(+) : tués pendant la guerre.

Après leur arrivée en Angleterre :
JACOB, MOREL et ROQUES furent affectés en opération au 149 Bomber Squadron, du 15 juillet au 15 août 1940, unité avec laquelle ils effectuèrent chacun une demi-douzaine de missions de nuit sur l’Allemagne, en qualité de mitrailleur. Cf. mon article publié dans le numéro 20 de juin 2006 de la revue de la Fondation de la France libre.

FEUILLERAT et NEUMANN furent affectés avec quelques camarades officiers au 7 OTU à Hawarden du 27 juillet au 7 août 1940 pour un stage sur Spitfire.
LITTOLF et MOULENES furent mutés avec quelques camarades sous-officiers au 6 OTU à Sutton-Bridge, du 21 juillet au 10 août 1940.
CHORON rejoignit aussi le 6 OTU mais pour un stage qui commencera dans la deuxième quinzaine d’août.
BEGUIN, après un stage sur Hurricane à partir de la fin septembre 1940, encore au 6 OTU, est envoyé au 245 Squadron qu’il rejoint le 16 octobre. Il n’aura pas le temps de voler en opération pendant la fameuse Battle of Britain. Cf. mon article LES FRANÇAIS DANS LA BATAILLE D’ANGLETERRE in Aéro-Journal n° 48 - avril-mai 2006.

Je lis avec surprise que « Huit sur dix des Compagnons de la libération aviateurs le furent à titre posthume » Ces chiffres sont complètement fantaisistes et je me demande qui en est l’auteur ?
J’apporte depuis plusieurs années mon aide au conservateur du musée de l’Ordre de la libération pour modifier ou compléter les biographies des Compagnons de la libération appartenant aux FAFL. Je n’ai pas mes chiffres exacts sous la main mais, en gros, les FAFL furent environ 140 à être nommés Compagnon dont une soixantaine furent tués ou disparurent pendant la guerre. Parmi ceux-ci, seuls 37 furent nommés après leur mort, à titre posthume, ce qui n’est pas la même chose.
Bien cordialement et encore bravo, très sincèrement.
Yves MORIEULT
Metz, le 27 juillet 2009

Yves MORIEULT le lundi 27 juillet 2009

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"Quelques très belles pages sur les FAFL dans ce dernier livre de PH Clostermann. Et puis aussi quelques chiffres au milieu de ses belles phrases qui donnent froid dans le dos:
le 22 juin un Goeland décolle de Toulouse vers la Grande Bretagne avec 6 pilotes à bord:
Beguin aux commandes tué le 26 novembre 1944
le sous-lieutenant Ricard, tué le 26 janvier 1942
le capitaine Casparius, tué le 26 novembre 1942
le capitaine Roque, tué le 23 avril 1943
le commandant Schloesing, tué le 26 aout 1944
Ce même 22 juin, toujours à partir de Toulouse, trois dewoitine 520 partent vers Londres, pilotés par
le lieutenant Feuillerat, tué le 9 novembre 1940
le lieutenant Littof, tué le 16 juillet 1943 et
le lieutenant Reilhac, tué le 14 mars 1943.
Encore de Toulouse ce même 22 juin, deux potez 63, avec les lieutenants Neumann, tué le 22 octobre 1941; Jacob, tué le 8 novembre 1940; Choron, le 10 avril 1942 et Sandré le 9 décembre 1941. CE qui signifie que sur les 13 évadés de Toulouse, 12 n'ont pas vu le jour de la victoire.

Huit sur dix des Compagnons de la Libération aviateurs le furent à titre posthume.

Steph"

www.livresdeguerre.net 

Laurent Laloup le mardi 16 octobre 2007 - Demander un contact

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Pilote FAFL pendant la Bataille d'Angleterre

Né le 7 novembre 1911. Pilote professionnel, c'est un passionné de l'aviation. Alors qu'il était chef pilote à l'aéro-club de Bastia, il se lie d'amitié avec un jeu­ne anglais, officier de la RAF, en va­cances en Corse, Michaël Robin­son. N'ayant pu participer à la cam­pagne de France, il décide, après l'armistice, de rejoindre la Grande­Bretagne. Il embarque le 24 juin sur le cargo APAPPA et arrive en Angle­terre quelques jours plus tard. A sa sortie de l' "OTU", il est affecté au squadron 64, où il retrouve son ami Michaël. Il obtient la première victoi­re des FAFL en Angleterre en abat­tant, un "Me 109" le premier no­vembre 1940.

Quand Robinson prend la tête de la Wing (escadre) de Tangmere où vient d'arriver le tout jeune groupe de chasse français, le squadron 340 "Ilede France", Choron est affecté à cette unité pour continuer à voler comme équipier de son ami. Le 10 avril, "l'Ile de France" effec­tue sa première sortie opérationnelle dans le sud de l'Angleterre, pour l'honorer, Robinson décide de voler à sa tête. Alors que la Wing se trou­ve dans la région du Touquet, elle est attaquée par un nombre impor­tant de FW 190, il s'ensuit un com­bat mémorable. Bernard Dupérier qui conduisait une escadrille a très bien entendu Robinson confirmer à Choron qu'il venait d'abattre un FW 190. Puis, ce fut le silence, on ne devait plus avoir de nouvelles de Robinson, ni de Choron. Le lieute­nant de vaisseau, Philippe de Sciti­vaux qui commandait le groupe fut, lui aussi, descendu au cours de cet engagement et fait prisonnier. Compagnon de la Libération, Cho­ron venait d'être nommé membre du Conseil de l'Ordre.

Source : le colonel Henri Laffont in "Revue de la France Libre"

Francis Deleu le lundi 12 mars 2007 - Demander un contact

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Première victoire des FAFL

La première victoire d'un chasseur des FAFL est l'oeuvre du sergent Maurice Choron. Le 1er novembre 1940, Choron abat un hydravion Heinkel-115.
L'exploit est rappelé dans sa citation du 5 mai 1942 :

*** Le lieutenant Maurice Choron, pilote de chasse de grande valeur, ayant remporté la première victoire des FAFL, n'a cessé de faire preuve de hardiesse et d'une habilité exceptionnelles au cours des soixante-deux opérations aériennes auxquelles il a participé. Possède à son actif trois victoires officielles et cinq probables. A disparu le 10 avril 1942, après avoir probablement abattu un Focke-Wulf-190 au-dessus de la France.***

Francis Deleu le lundi 26 décembre 2005 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 30 juillet 2022

 

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