Louis Marie Gérard Durant de Saint André alias San Andréa - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Louis Marie Gérard Durant de Saint André alias San Andréa



Naissance : 10 février 1905 - Paris 17e

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre - Londres /

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 39 ans - 30 mai 1944 - Hôpital Verbizier, Damas, Syrie

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 177753

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Louis Marie Gérard Durant de Saint André alias San Andréa - son Livre ouvert !
 

Acte de naissance et généalogie

Louis Durant de Saint-André
Louis Gontran Robert
Né le 10 juin 1865
Décédé le 7 juillet 1930, à l'âge de 65 ans
Parents
Adrien Eugène Maurice Durant de Saint André (1823 - 1875), consul de France
Caroline Amélie Michel de Grilleau (1841 - 1914)
Famille
Marié le 17 avril 1916 à Paris, avec Marie Grandin de L'Éprevier (1865 - 1960)

Marie Grandin de L'Éprevier
Pauline Ernestine Mélanie Marie
Née le 6 juillet 1865 à Saint-Sever
Décédée le 26 novembre 1960 à Labrit, à l'âge de 95 ans
Parents
Auguste Grandin de L'Éprevier (1834 - 1889), officier de marine
Mélanie Le Roy de Boisaumarié (1842 - 1914)
Famille
Mariée le 3 septembre 1884 à Saint-Sever, avec Pierre de Pelleport-Burète, capitaine de dragons, divorcés en 1905, dont
Élisabeth
Mariée le 17 avril 1916 à Paris, avec Louis Durant de Saint-André (1865 - 1930)



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Jacques Ghémard le dimanche 05 février 2023 - Demander un contact

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"Vermont, St. Albans Canadian Border Crossings, 1895-1954," database with images, FamilySearch ( : 9 October 2015), (M1463) Soundex Index to Entries into the St. Albans, Vermont, District through Canadian Pacific and Atlantic Ports, 1924-1952 > Roll 23, D225 R. Armand-D262 Jeanne > image 6333 of 7986; citing NARA microfilm publications M1461, M1463, M1464, and M1465 (Washington, D.C.: National Archives and Records Administration, n.d.).



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Laurent Laloup le dimanche 05 février 2023 - Demander un contact

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"Vermont, St. Albans Canadian Border Crossings, 1895-1954," database with images, FamilySearch ( : 9 October 2015), (M1463) Soundex Index to Entries into the St. Albans, Vermont, District through Canadian Pacific and Atlantic Ports, 1924-1952 > Roll 23, D225 R. Armand-D262 Jeanne > image 6333 of 7986; citing NARA microfilm publications M1461, M1463, M1464, and M1465 (Washington, D.C.: National Archives and Records Administration, n.d.).



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Laurent Laloup le dimanche 05 février 2023 - Demander un contact

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"New York, New York Passenger and Crew Lists, 1909, 1925-1957," database with images, FamilySearch ( : 2 October 2015), 4815 - vol 10440-10441, Sep 1, 1930 > image 683 of 877; citing NARA microfilm publication T715 (Washington, D.C.: National Archives and Records Administration, n.d.).

25 ans en 1930
Arrivé aux USA sous le nom de Gérard Durant de SAINT ANDRE
Banquier

Laurent Laloup le dimanche 05 février 2023 - Demander un contact

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The Price of Freedom: Financing French Resistance in World War II

De David Foulk

Laurent Laloup le dimanche 05 février 2023 - Demander un contact

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"... Par ailleurs, la France Libre s’intéressait aussi à l’or de la Banque de France. Dans le petit monde des Français de New-York, les frères de Sieyès se trouvaient dans des camps opposés. Jean de Sieyès possédait toute la confiance de la Banque de France. Fournier avait écrit en mars 1940 à homologue de la Fed NY au sujet des délégations de signature: «L’intérim de M. Martial pourra, le cas échéant, être assuré par M. de Sieyès, Président de la French-American Banking Corporation, sur lequel j’ai porté mon choix parce qu’il a précédemment appartenu à notre maison comme Inspecteur». Jacques de Sieyès, camarade de promotion de Saint-Cyr et ami du Général de Gaulle, présidait la filiale américaine des parfums Patou aux États-Unis. Il fut, dès 1940, le représentant de la France Libre à New York et travaillait aussi pour les services secrets britanniques qui avaient mis sous écoute le consulat de France à New York ainsi que l’ambassade à Washington. Ces faits étaient d’ailleurs connus des autorités française selles-mêmes. Sancery rapporte à Boisanger que Henri-Haye lui avait dit être «à peu près sûr que le chiffre utilisé pour les câbles expédiés à la Banque par l'intermédiaire du consulat de New York était connu des Anglais, des Américains et des Allemands depuis longtemps

Au cours de l’année 1941, René Pleven dut être envoyé en urgence à New York par De Gaulle pour régler une délicate affaire au sujet de l’or français. Le précédent représentant de la France Libre à New York, le lieutenant Gérard San Andrea qui se faisait appeler «de Saint-André» avait inconsidérément signé un contrat avec un intermédiaire américain douteux et mythomane, du nom d’Alfred Bergman, qui se faisait fort de faire remettre l’or français à la France Libre grâce à ses relations à la Chambre des Représentants et au Sénat américains. Les Gaullistes s’engageaient à verser à l’avocat une fraction de l’or de la Banque de France qui serait débloqué. Cet accord, qui avait reçu l’aval de Jacques de Sieyès, suscita les réactions horrifiées de certains Gaullistes (Maurice Garreau-Dombasle notamment). Pleven fit affecter San Andréa en Syrie dans une unité combattante et de Sieyès fut écarté du dossier. Il engagea aussi Coudert pour régler cette affaire. Apparemment, Coudert avec l’aval du Département d’État accepta ce double engagement pour la France de Vichy et pour la France Libre. En l’espèce, il n’y avait pas de conflit d’intérêt, il s’agissait de protéger l’or de la Banque de France...."

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Laurent Laloup le lundi 11 janvier 2021 - Demander un contact

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Soustelle Jacques "Envers et contre tout de Londres à Alger ( 1940-1942 )"

" Boislambert, lui, était parti le 17 juin de Brest sur un bateau qui portait quatre mille cinq cents Canadiens avec un petit groupe d'officiers et d'aspirants, parmi lesquels Julitte, Porgès, Saint-André et Gustave Moutet, et une vingtaine de sous-officiers. Le navire venait à peine de mettre le cap sur la Grande-Bretagne, et les Français tenaient conseil pour réunir leurs ressources : cigarettes, biscuits, quatre ou cinq boîtes de singe, lorsque le commandant du bord, en grand mystère, fit appeler Boislambert dans sa cabine. Le colonel canadien s'y trouvait déjà. L'embarras se peignait sur le visage du « maître après Dieu » lorsqu'il révéla à Boislambert qu'on venait de découvrir, dans une cabine, une passa­gère clandestine, apparemment française, « Avec plus de 4.000 soldats à bord, ajouta-t-il, I can't take chances. Voulez-vous la voir, l'interroger et prendre les mesures nécessaires? » Non sans quelque amusement devant cet à-côté du drame mondial, Boislambert trouva dans la cabine indiquée une jeune personne plutôt jolie et très effarouchée en compagnie de trois capitaines canadiens et d'une bouteille de Champagne. Elle expliqua à son compatriote qu'elle était modiste à Brest, qu'elle avait fait la connaissance d'un major britannique, que celui-ci lui avait promis de l'épouser et qu'elle allait le rejoindre en Angleterre. Lorsqu'on lui fit remarquer que ce navire était un transport de troupes, elle répondit gentiment : « Eh! mon­sieur, dans ces moments-là, on ne peut pas choisir! » Et que faire? On l'accommoda dans une cabine d'officier."

laurent le samedi 05 septembre 2009 - Demander un contact

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Guillaume Piketty : Francais En Résistance - Carnets De Guerre, Correspondances, Journaux Personnels

"René Pleven"

Le lieutenant Gérard San Andréa, dit de Saint-André, rallié de la première heure à la France libre, fut envoyé à New York pour y élaborer un plan de propagande. Dans l'espoir de faciliter, au bénéfice de la France libre, le déblocage des fonds français immobilisés aux États-Unis, il prit des engagements douteux que René Pleven s'empressa de dénoncer au début de sa mission américaine de l'été 1941.

laurent le dimanche 12 juillet 2009 - Demander un contact

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Les Hommes Partis De Rien - Cassin (René)

" Un certain lieutenant Saint-André, mêlé à de vagues affaires d'édition, quitta assez vite le quartier général pour New York et fut remplacé aussitôt par le correspondant à Londres du Petit Parisien M. Massip, homme d'expérience, de mesure et de dévouement, s'il en fût. Celui-ci était escorté de sa fidèle secrétaire, Mlle Lesimple, qui a servi vingt ans auprès de moi à Alger et Paris, au Conseil d'Etat. Mau­rice Schumann, interprète aux armées, fut vite incorporé à cette équipe où, avec dynamisme et chaleur, il prit une place importante comme porte-parole officiel de la France à la BBC."

Laurent Laloup le mardi 17 février 2009 - Demander un contact

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Mémoires du chef des services secrets de la France libre

Jean-Louis Crémieux-Brilhac & Colonel Passy
Odile Jacob 2000  :

" Là aussi s'était installé M. de Saint-André, figure équivoque à l'allure de danseur mondain ; il s'occupa pendant peu de de la presse et de la propagande, puis, un beau jour, disparut, laissant sa place à un charmant vieux monsieur du nom de Massip, avec je vous ferai faire plus ample connaissance."

Laurent Laloup le samedi 03 janvier 2009 - Demander un contact

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JOURNAL DE GUERRE 1939 -1945 - Témoignage Par Christian Girard  

Laurent Laloup le samedi 03 janvier 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le dimanche 05 février 2023

 

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