Eugène Reilhac - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Eugène Reilhac



Naissance : 16 mars 1920 - Clairac (47)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL / Ile de France

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : commandant

Décès à 22 ans - 14 mars 1943 - entre le Touquet et Boulogne (62)

Mort pour la France

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 43870

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Eugène Reilhac - son Livre ouvert !
 

Il est l'un des 123 FAFL disparus sans sépulture dont le nom figure désormais sur la stèle commémorative du Tréport inaugurée en juin 2022.

Sa notice biographique et les circonstances de sa disparition ainsi que l’historique du projet de la Stèle, mené par l’Association pour la mémoire des FAFL, sont consultables sur le site de la Fondation de la France libre à l’adresse suivante : 

Des photos de la stèle sont consultables sur le site « Aérostèles » : 



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Fred Bentley le samedi 30 juillet 2022 - Demander un contact

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Nièce du commandant Eugène Reilhac

Le 25 juin au Tréport sera inauguré le monument érigé en l'honneur des 123 membres disparus des forces aériennes françaises libres

Perchet le mercredi 15 juin 2022

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- Eugène Reilhac (FAFL 30.629). Compagnon de la Libération.

- 08/07/1940 - Arrivée en Angleterre à bord du cargo Apapa.

- 11/07/1940 - St. Athan.

- 01/08/1940 - Promu sous-lieutenant de réserve.

- 14/05/1941 - 5 SFTS, No.61 Training course, Ternhill.

- 17/08/1941 - 59 OTU, Crosby-on-Eden.

- 16/12/1941 - S/Lt. Reilhac au 43 Sqn, Acklington, No.13 Group, Hurricane IIb depuis la 59 OTU, Crosby-on-Eden (AIR 27/442 43 Sqn ORB).

- 09/03/1942 - 43 Sqn, Acklington, No.13 Group, Hurricane IIb - S/t. Reilhac affecté au 81 Sqn, Turnhouse, No.13 Group, Spitfire Va/b depuis le 43 Sqn (AIR 27/443 43 Sqn).

- 25/03/1942 - 81 Sqn, Turnhouse, No.13 Group, Spitfire Va/b - S/Lt. Reilhac, 1ère sortie opérationnelle au squadron (AIR 27/678 81 Sqn).

- 03/1942 - S/Lt. Reilhac promu lieutenant de réserve.

- 02/09/1942 - 81 Sqn, Wellingore, No.12 Group, Spitfire Vb - Lt. Reilhac au 122 Sqn, Hornchurch, No.11 Group, Spitfire IX depuis le 81 Sqn (AIR 27/915 122 Sqn) (AIR 27/678 81 Sqn).

- 08/11/1942 - 122 Sqn, Hornchurch, No.11 Group, Spitfire IX - Lt. Reilhac - Dernière apparition sur la F541 (AIR 27/915 122 Sqn).

- 17/11/1942 - 340 Sqn, Biggin Hill, No.11 Group, Spitfire IX - Lt. Reilhac - Première sortie opérationnelle au squadron (AIR 27/1737 340 Sqn).

- 01/12/1942 - 340 Sqn - Lt. E.Reilhac - Rodeo 120 - 1 FW190 endommagé - Près de St.Omer 14.000 pieds - 15h30 (AIR 50/131/39).

- 09/01/1943 - 340 Sqn - Lt. E.Reilhac - Circus No.243 - 1 FW190 détruit et 1 FW190 endommagé- Abbeville - 13h30 (AIR 50/131/39).

- 13/01/1943 - 340 Sqn - Lt. E.Reilhac - Circus No.249/II - 1 FW190 détruit - Abbeville - 13h45 - (AIR 50/131/39).

- 13/02/1943 - 340 Sqn - Lt. E.Reilhac - Circus No.262 - 1 FW190 endommagé - 5/6m E.Hardelot - 10h10 (AIR 50/131/39).

- 16/02/1943 - Le Lt. Reilhac est promu Capitaine.

- 17/02/1943 - Le capitaine Reilhac prend le commandement du No.340 Squadron (AIR 27/1737 340 Sqn).

- 19/02/1943 - Le capitaine Reilhac est nommé commandant à titre temporaire.

- 14/03/1943 - En courverture du Ramrod 44 (6 Westland Whirlwind du No.137 Squadron attaquent l'aérodrome d'Abbeville/ Drucat), la Wing de Biggin Hill (Nos.340 et 611 Squadrons) effectue un Sweep (Rodeo 188) dans la région de Hardelot.

" Le squadron, mené par le W/Cdr. Milne a opéré avec le No.611 Squadron pour effectuer un "Sweep" sur la région de Hardelot sous le contrôle de Appledore. Ils ont grimpé depuis la base jusqu'à 22000 pieds après avoir franchit la côte à Dungeness et identifié des trainées de condensation au milieu de la Manche qui se sont révélées "amies".
Le cap a été maintenu sur Hardelot la Wing descendant à travers une couche de nuages à 25000 pieds. Huit avions ennemis ayant été détectés devant et plus bas, les sections rouge et bleue du 340 Sqn ainsi que les sections rouge et jaune du 611 Sqn sont intervenues et se sont retrouvées dans une mêlée générale avec 30 à 40 FW190. Au terme de ces engagements, un FW190 a été détruit et un autre endommagé par le S/Lt. Gouby au-dessus de Boulogne et encore un autre a été détruit après une longue poursuite par le S/Lt. Kennard. Malheureusement les pertes de la Wing sont lourdes: les W/Cdrs. Milne et Slater, le Cdt. Reilhac et un sergent* du 611 Sqn ne sont pas rentrés. Un parachute a été vu descendant près du Touquet et il est possible que cela ait été celui du Cdt. Reilhac ( ou du W/Cdr. Milne. La Wing est rentrée par petits groupes à diverses altitudes via Dungeness. Météo: Fine couverture nuageuse à 25000 pieds au-dessus de la côte française (AIR 27/1737 340 Sqn).
* Sgt. R.M. McLay.

En fait le parachute aperçu était celui du W/Cr. Milne qui sera repêché en mer et fait prisonnnier par les allemands. Les trois autres pilotes dont le Cdt. Reilhac (Spitfire Mk IX EN175/GW-L) sont portés disparus.

Jacques Brisset le jeudi 24 juin 2021 - Demander un contact

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Bonjour,
pouvez-vous me donner des renseignements sur Jean-Julien Echivard, mort en entraînement le 14 février 1942 sur le terrain D'Hawarden, pays de Galles, membre des FAFL?

VIVET le vendredi 30 octobre 2009 - Demander un contact

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Evasions en juin 1940

Un grand bravo pour ce site qui est un véritable travail de bénédictin. En qualité de membre d’honneur et du comité historique de l’amicale des F.A.F.L., je voudrais apporter quelques informations supplémentaires concernant l’intervention signée - Steph - transmise par monsieur Laurent Laloup, le mardi 16 octobre 2007, car le détail des évasions recencées n’est pas correct. Voici ce qu’il en fut en réalité :

22 juin 1940 : décollage de Toulouse à destination de l’Angleterre, d’un bimoteur Caudron Goéland. Pilote : sergent Didier BEGUIN (+). Passagers : capitaine Raymond ROQUES (+), polytechnicien, accompagné de trois ou quatre sous-officiers réservistes observateurs élèves de l’école de l’air dont l’aspirant René CASPARIUS (+), l’aspirant Louis RICARD-CORDINGLEY (+) et l’aspirant Jacques SCHLOESING (+). Malgré mes recherches je n’ai pu identifier le quatrième sous-officier observateur au point que je doute parfois de son existence.

24 juin 1940 : décollage de Bergerac à destination de l’Angleterre, du bimoteur Potez 63-11 n° 838 du groupe de reconnaissance I/14. Equipage : pilote : sous-lieutenant Daniel NEUMANN (+), école de l’air, active, observateur : lieutenant André JACOB (+), polytechnicien puis séminariste et radio-mitrailleur : sergent Marcel MOREL.

25 juin 1940 : décollage de Toulouse de trois Dewoitine D520 du groupe de chasse III/7 avec aux commandes le sous-lieutenant André FEUILLERAT (+), l’adjudant Albert LITTOLF (+) et le sergent-chef Adonis MOULENES.

CHORON (+) et REILHAC (+) ont embarqué sur le cargo Apappa à Port-Vendres le 24 juin et SANDRé (+) est parti d’Oran à destination de Gibraltar le 28 juin, à bord d’un Glenn Martin 167, en compagnie de plusieurs camarades. Sa biographie dans « Aviateurs de la liberté » est malheureusement erronée en ce qui concerne son évasion. Voir la biographie de son camarade Guy BECQUART, tué le 19 juin 1941.
(+) : tués pendant la guerre.

Après leur arrivée en Angleterre :
JACOB, MOREL et ROQUES furent affectés en opération au 149 Bomber Squadron, du 15 juillet au 15 août 1940, unité avec laquelle ils effectuèrent chacun une demi-douzaine de missions de nuit sur l’Allemagne, en qualité de mitrailleur. Cf. mon article publié dans le numéro 20 de juin 2006 de la revue de la Fondation de la France libre.

FEUILLERAT et NEUMANN furent affectés avec quelques camarades officiers au 7 OTU à Hawarden du 27 juillet au 7 août 1940 pour un stage sur Spitfire.
LITTOLF et MOULENES furent mutés avec quelques camarades sous-officiers au 6 OTU à Sutton-Bridge, du 21 juillet au 10 août 1940.
CHORON rejoignit aussi le 6 OTU mais pour un stage qui commencera dans la deuxième quinzaine d’août.
BEGUIN, après un stage sur Hurricane à partir de la fin septembre 1940, encore au 6 OTU, est envoyé au 245 Squadron qu’il rejoint le 16 octobre. Il n’aura pas le temps de voler en opération pendant la fameuse Battle of Britain. Cf. mon article LES FRANÇAIS DANS LA BATAILLE D’ANGLETERRE in Aéro-Journal n° 48 - avril-mai 2006.

Je lis avec surprise que « Huit sur dix des Compagnons de la libération aviateurs le furent à titre posthume » Ces chiffres sont complètement fantaisistes et je me demande qui en est l’auteur ?
J’apporte depuis plusieurs années mon aide au conservateur du musée de l’Ordre de la libération pour modifier ou compléter les biographies des Compagnons de la libération appartenant aux FAFL. Je n’ai pas mes chiffres exacts sous la main mais, en gros, les FAFL furent environ 140 à être nommés Compagnon dont une soixantaine furent tués ou disparurent pendant la guerre. Parmi ceux-ci, seuls 37 furent nommés après leur mort, à titre posthume, ce qui n’est pas la même chose.
Bien cordialement et encore bravo, très sincèrement.
Yves MORIEULT
Metz, le 27 juillet 2009

Yves MORIEULT le lundi 27 juillet 2009

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mari de sa nièce

Son souvenir reste très vivant et un exemple dans sa famille. L'histoire de sa vie fait toujours l'objet de recherches.

diéval maurice le jeudi 17 janvier 2008 - Demander un contact

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"Quelques très belles pages sur les FAFL dans ce dernier livre de PH Clostermann. Et puis aussi quelques chiffres au milieu de ses belles phrases qui donnent froid dans le dos:
le 22 juin un Goeland décolle de Toulouse vers la Grande Bretagne avec 6 pilotes à bord:
Beguin aux commandes tué le 26 novembre 1944
le sous-lieutenant Ricard, tué le 26 janvier 1942
le capitaine Casparius, tué le 26 novembre 1942
le capitaine Roque, tué le 23 avril 1943
le commandant Schloesing, tué le 26 aout 1944
Ce même 22 juin, toujours à partir de Toulouse, trois dewoitine 520 partent vers Londres, pilotés par
le lieutenant Feuillerat, tué le 9 novembre 1940
le lieutenant Littof, tué le 16 juillet 1943 et
le lieutenant Reilhac, tué le 14 mars 1943.
Encore de Toulouse ce même 22 juin, deux potez 63, avec les lieutenants Neumann, tué le 22 octobre 1941; Jacob, tué le 8 novembre 1940; Choron, le 10 avril 1942 et Sandré le 9 décembre 1941. CE qui signifie que sur les 13 évadés de Toulouse, 12 n'ont pas vu le jour de la victoire.

Huit sur dix des Compagnons de la Libération aviateurs le furent à titre posthume.

Steph"

www.livresdeguerre.net 

Laurent Laloup le mardi 16 octobre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 30 juillet 2022

 

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