Jacques Emile Georges Ravet - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jacques Emile Georges Ravet



Naissance : 2 décembre 1905 - Paris 12e

Activité antérieure : fonctionnaire

Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient

Engagement dans la France Libre : Egypte en septembre 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / artillerie

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : commandant

Décès à 78 ans - 5 décembre 1983 - Neuilly-sur-Seine (92)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 501145

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 43651

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Jacques Emile Georges Ravet - son Livre ouvert !
 

Autorisation d'absence délivrée à Jacques Thomson

Cette permission rédigée sur du papier de récupération de l'Armée Italienne est intéressante à plus d'un titre. L'entête Forces Françaises Combattantes antérieure à l'appellation définitive Forces Françaises Libres et les signatures de Ravet et Chavanac.



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LELERRE Maurice le jeudi 14 mai 2020 - Demander un contact

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Réponse :

En fait à cette date les FFL n'existent plus et ne devraient pas s'appeler FFC, tout ça est un peu compliqué et j'ai essayé de dire ce que j'avais compris ici 


"....Jean Gilbert et Jacques Ravet, sur le pont du Wairuna qui emmène en Nouvelle-Zélande le second détachement de marins et aviateurs, 31 mars 1941....."

TAHITI 40 | Émile de Curton 



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Laurent le samedi 06 février 2016 - Demander un contact

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"...Un groupe d’internés « gaullistes ». — 1er rang, au centre le Gouverneur de Curton avec, à sa droite Mme de Curton, Yves et Tonina Martin, et à sa gauche, le Capitaine Ravet, commandant de la garnison de Papeete, Mme Jacques Gilbert, le Capitaine Fatoux, aide de camp de Brunot. — 2e rang, de gauche à droite Mme Sénac, Delage, Directeur du cabinet du Gouverneur et chef du service de l’enseignement, Henri Lemonnier, chef des services économiques de la colonie, Dedeyn, juge d’instruction. — Non visibles sur la photo : le Dr Gilbert et Marcel Sénac, administrateur de Tahiti et Tuamotu..."

TAHITI 40 | Émile de Curton 



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Laurent le samedi 06 février 2016 - Demander un contact

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Tahiti 40 | Émile de Curton

"...Chef du service météorologique, Jacques Ravet, plus préoccupé de science et de théosophie que de mondanités sous-préfectorales, vivait assez à l’écart de la société coloniale de Papeete. Je ne le connaissais guère que pour m’être étonné auprès de mes amis d’avoir aperçu, lors d’une réception sur un porte-avions étranger, un grand Scandinave blond aux yeux très bleus, portant avec distinction le grand uniforme de notre artillerie coloniale. Je l’avais retrouvé aux Délégations économiques et financières, où il avait subi avec bonne humeur les assauts de Monsieur de Balmann contre son service. Il était mobilisé depuis 1939 et, si la longue période de semi-inaction qui avait marqué la drôle de guerre et suivi la défaite n’avait pu que l’amuser fort modérément, par contre, il avait adhéré avec enthousiasme au mouvement de ralliement qui devait faire rentrer Tahiti dans la guerre. Sa présence aux côtés de Broche était une garantie et une assurance sur lesquelles nous pouvions entièrement compter......"

laurent le mardi 02 février 2016 - Demander un contact

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Jacques Ravet, chef du service météorologique ? artilleur ? Homonymie ?

" Tahiti 40 | Émile de Curton

"Le même jour, le capitaine de frégate Toussaint de Quiévrecourt, commandant le Dumont d’Urville, pressait le Conseiller privé Émile Martin d’intervenir auprès du Gouverneur pour qu’il fasse une déclaration publique. Le lieutenant de vaisseau Jean Gilbert, représentant la Marine, accompagnait son beau-père dans sa démarche. Le Maire de Papeete, Georges Bambridge, et plusieurs conseillers municipaux, des Chefs de district de Tahiti alertés par Jacques Ravet, chef du service météorologique, et conduits par Marcel Sénac, d’autres encore, effectuaient des démarches analogues."

laurent le lundi 01 février 2016 - Demander un contact

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LE BATAILLON DES GUITARISTES , de BROCHE Francois

" Engagé dans le Pacifique
1re affectation : 1er BP ..."

Laurent Laloup le samedi 07 mars 2009 - Demander un contact

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LE BATAILLON DES GUITARISTES , de BROCHE Francois

" Témoignage de Jean-Roy Bambridge :

... Puis on m'a demandé si je voulais être affecté à la batterie de 65, au mont Faiere. J'ai accepté. Nous étions une trentaine. Le commandant de la batterie, c'est le lieutenant Ravet. Il a comme adjoint un Alsacien, qui est second maître dans la Marine, Marbach; une peau de vache. Comme les canons sont des 65 de marine, c'est normal qu'il y ait un marin là-haut. Il y avait aussi le sergent-chef Père et Walter Grand. On avait un poste de garde, des baraquements. C'est assez agréable. On s'est mis à faire des manœuvres, à creuser des tunnels... Jusqu'au jour où j'ai été désigné pour suivre le peloton 2, le peloton des élèves caporaux. On a de plus en plus besoin de cadres. Alors j'ai été obligé de réintégrer la caserne. On a choisi les plus intelligents!"

Laurent Laloup le mardi 03 mars 2009 - Demander un contact

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Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon

" Vers la mi-juillet, après un passage éclair du Colonel CIROLAMI "qui ne con­naissait pas la manière pour la 1ère DFL", le Colonel BERT prend le commandement de l'AD et du 1er RA. Etant assez libéral, il saura faire son trou dans le régiment et dans la division. N'étant pas toutefois 24h/24 en ligne comme son prédécesseur, il prit certaines libertés qui choquèrent quelques anciens de son entourage. Ainsi l'on vit partir, à l'automne, et avec regrets, le Commandant RAVET. "

Laurent Laloup le vendredi 27 février 2009 - Demander un contact

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Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon

" Le 17 juin, LAURENT-CHAMPROSAY accompagné du Commandant RAVET, son adjoint, décide de faire une liaison vers l'AD de la 3e DIA qui progresse à notre gauche. Le Colonel conduit lui-même le Command-car.
Arrivés à un chemin très près du front, RAVET conseille à son chef de ne pas continuer : des mines antichars ont été récemment posées et sont très visibles. Le Colonel n'insiste pas et revient.
Le lendemain, il envoie le Capitaine MESSAGER (X 34), de son État-Major, pour faire la liaison. Le chemin n'a pas été déminé.
L'officier fait demi-tour au même endroit, revient et rend compte.
«- Auriez-vous peur ?»
«- Non, mon Colonel, mais j'applique le règlement qui est formel.»
«- Bon, je vais y aller moi-même ; les mines, cela s'évite.»
Et les voilà partis. LAURENT-CHAMPROSAY prend une ultime précaution, il se fait précéder par l'Adjudant-Chef BIRAUD, l'homme des missions délicates ou frôlant l'impossible, au volant d'une jeep. En vain.
Le rendez-vous avec la mort est programmé.
Toutes les mines ne seront pas évitées, et l'une d'elles, sur laquelle la jeep est passée sans dommage, saute sous la pression de la roue avant-gauche du véhicu­le, blessant très grièvement le Colonel. MESSAGER est très choqué, mais n'a rien de cassé.
La nuit suivante, LAURENT-CHAMPROSAY meurt à l'ambulance chirurgicale.
Le 18 au matin, le Lieutenant DE QUINSAC, du 1er groupe, est tué en liaison auprès de l'infanterie.
Le 19 juin, ma batterie est retirée du combat pour rendre les derniers honneurs aux deux officiers, lors de leur enterrement à SAN-LORENZO. Discours émouvant du Général DE LARMINAT (commandant le corps d'armée des deux divisions en­gagées) pendant que la canonnade, très proche, se fait entendre.
Je note à l'époque :
"Nous avons perdu un chef qui a été parfois très dur, injus­te, mais dont la haute valeur morale, la conscience militaire s'imposaient à tous."
Il était également dur pour lui-même et vivait comme un ascète. Son régime ali­mentaire était des plus sommaires : les rations les plus simples de l'armée améri­caine, les rations K les moins encombrantes, les moins gastronomiques, mais les plus vite mangées. Il manquait de chaleur humaine, à moins qu'elle ne fut cachée."

Laurent Laloup le vendredi 27 février 2009 - Demander un contact

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www.maquis-vallier.fr 

"Je vais revenir un peu sur les faits marquants de mon existence depuis mon entrée à la 1ère D.F.L. D’abord rapide passage en revue de mes chefs et camarades. Le Colonel Bert, grand artilleur de l’avis unanime1, distant et qui m’est inconnu. Je lui ai parlé deux fois: le jour où je lui ai été présenté, et il y a 3 ou 4 jours où il m’a fait appeler pour me demander s’il pouvait compter vraiment sur la SOM. Le Lt Colonel Maubert, son 1er adjoint, petit, remuant, toujours parti par monts et par vaux, et enfin le Lt Colonel Gauthier, qui est celui que je connais le mieux. C’est d’ailleurs lui qui est présent le plus souvent et c’est à lui qu’on a recours et affaire tout le temps. Personnellement je l’aime beaucoup et le trouve fort sympathique. Il est d’un calme et d’une affabilité qui sont fort appréciables et appréciés. Je ne connais à peu près pas le Cdt Ravet et avec les capitaines, nous arrivons dans les gens plus proches de nous. Je reviendrai sur le Capitaine Caussèque et vais passer rapidement les autres: Blanc, secrétaire particulier du Colonel, pas très attirant et souvent accusé de se mêler de ce qui ne le regarde pas, - Charmoran, Adida et Coll, qui semblent vraiment s’être trouvés dans le même but: faire de bons repas, boire de bons vins et chercher de gentilles demoiselles et enfin Caussèque. C’est sûrement celui qui travaille le plus de tous et il est vraiment très sympathique. C’est nettement celui que je préfère et dont la compagnie m’est le plus agréable.

Dans les lieutenants je suis seul à deux galons, et les Ss Lieutts sont deux vieux: Lacan, un notaire d’Algérie et Rouillon. Le premier est gentil, neutre, effacé et le second parle avec beaucoup d’abondance. De jeunes aspirants, très jeunes, avec les défauts et les qualités de la catégorie. La chose certaine, c’est que c’est très différent de la popote de 39-40. J’y étais le plus jeune lieutt, et avec Loison nous étions les deux plus jeunes officiers du groupe. Ici avec mes 2 galons et la bande de Ss Lieutts et aspirants je fais figure de hiérarchiquement vieux, bien que les deux Ss Lieutts soient bien plus âgés que moi. C’est encore avec le Cne Caussèque que je me sens le plus proche et pourtant je ne me vois guère vraiment camarade avec lui. Ce n’est sûrement pas d’avec mes camarades d’ici que pourra sortir une amitié comme celle de Loison! Mes hommes sont, eux, très bien et je m’entends avec ma section à la perfection. Deux margis qui font bien leur boulot, l’un des deux, Salama, me rappelle Rinaudo par beaucoup de points. Il est d’ailleurs élève de Centrale et donc futur ingénieur comme mon ex sous-chef de section SOM de 39-40. J’ai pu récupérer mes deux agents de liaison, Roger et Claude qui ne m’avaient guère quitté au maquis et qui me suivent ainsi partout. Au total un groupe très homogène, qui s’entend très bien aussi bien à l’intérieur du groupe qu’avec moi."

Laurent Laloup le vendredi 20 février 2009 - Demander un contact

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Jacques Ravet

JO de la France Combattante du jeudi 18 mars 43 :
Nommé Ingenieur Météorologue

Laurent Laloup le samedi 06 décembre 2008 - Demander un contact

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" Après un été passé en Tripolitaine avec la 1ère DFL et la 2ème DFL, le 1er RA s’installe à Tunis et absorbe le 2e Régiment d’Artillerie Coloniale, formé essentiellement d’artilleurs venus de Djibouti et d’une batterie venue d’Angleterre. Des éléments venus de tous les coins du monde viennent peu à peu augmenter ses rangs : Mauriciens, Réunionnais, Pondichériens, Arméniens et Français d’Amérique latine. Equipé en matériel américain, le Régiment, sous les ordres du colonel Laurent-Champrosay, secondé par le lieutenant-colonel Maubert, est composé de trois groupes de 105 mm commandés par les chefs d’escadron Marsault, Jonas et Bruneton et d’un groupe de 155 mm sous les ordres du chef d’escadron Crespin. Un détachement de liaison avancé est placé sous les ordres du commandant Ravet, tandis que la section de piper-cubs du lieutenant Laporte assure l’observation aérienne. "

www.france-libre.net 

Laurent Laloup le jeudi 13 décembre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 14 mai 2020

 

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