| | Un Français Libre parmi 62941
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| Jean Antoine Toussaint Graziani | |
Naissance : 15 janvier 1926 - Mondovi, Algérie
Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique
Engagement dans la France Libre : Algerie en juin 1943
Affectation principale : FAFL / parachutistes
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant
Décès à 32 ans - 7 janvier 1959 - Algérie
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 269165
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 22566
Dossier Légion d'Honneur |
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Tu faisais partie de ces jeunes PNs qui sont partis, très jeunes, défendre la patrie. Cette même patrie qui t'aurait renié, emprisonné, dégradé, fusillé... en 1962. Le Colonel STIEN, ton ami, me disait que sur cette photo tu sais que tu vas mourir - est-ce que tu le savais quand tu as dîné chez nous ce soir là? Et moi je ne peux oublier ces jeunes qui se couchaient sur les rails pour ne pas venir en Algérie et qui gueulaient, ivres, la quille sous nos fenêtres comme si nous étions leurs ennemis. MONIQUE BECKER le lundi 02 septembre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Jean Antoine Toussaint GRAZIANI a dîné chez nous la veille de sa mort avec le lieutenant CHASSIN et nous a laissé un souvenir impérissable.
Merci de ne pas oublier son combat en Indochine et son emprisonnement dans les camps viets. Un guerrier courageux, redoutable pour l'ennemi, patriote extrêmement et qui aurait tant souffert de l'issue de cette guerre dans la trahison la plus éhontée. BECKER Monique le mardi 18 septembre 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Un Français Libre qui aurait été contre de Gaulle ?
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Le passé Un soldat meurt pour sa patrie qui l'a vu naître et grandir.
Son devoir accompli, le devoir de la patrie de l’honorer.
Qu'en est-il de sa conscience à lui? les morts ne peuvent répondre.
S'il s'agit du capitaine Graziani, affecté auprès général Aussaresses.
Alors que dire de :
"J'étais allongée nue, toujours nue. Ils pouvaient venir une, deux ou trois fois par jour. Dès que j'entendais le bruit de leurs bottes, je me mettais à trembler. Ensuite, le temps devenait interminable. Les minutes me paraissaient des heures, et les heures des jours. Le plus dur, c'est de tenir les premiers jours, de s'habituer à la douleur. Après, on se détache mentalement. C'est un peu comme si le corps se mettait à flotter…" Louisette Ighilahriz avait 20 ans quand elle s'est retrouvée, grièvement blessée, dans les locaux de la 10e division parachutiste (DP) à Alger, en septembre 1957, après un accrochage avec l'armée française. Pendant sa captivité, elle voit passer de temps à autre Massu et Bigeard, deux des plus hauts responsables militaires de l'époque. C'est un de leurs adjoints, le capitaine Graziani, qui est chargé de l'interroger. Ce pied-noir n'utilise ni la gégène ni le supplice de l'eau pour faire parler sa prisonnière. Il la viole. Algérien le lundi 17 septembre 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse :  " Ainsi, le 20 juin 2000, Le Monde publie le témoignage de Louisette Ighilahriz, militante du FLN alors âgée de vingt ans, capturée par l’armée française le 28 septembre 1957, torturée et violée pendant trois mois à l’état-major de la 10e division parachutiste à Alger : « J’étais allongée nue, toujours nue. Ils pouvaient venir, deux ou trois fois par jour. Dès que j’entendais le bruit de leurs bottes dans le couloir, je me mettais à trembler. » Elle déclare n’avoir alors eu qu’un seul but, le suicide. Elle met notamment en cause les généraux Massu et Bigeard. Deux jours plus tard après la publication de son récit, Jacques Massu exprime ses regrets, déclarant dans une interview au Monde le 22 juin 2000 que « la torture n’est pas indispensable en temps de guerre ». Au contraire, Marcel Bigeard qualifie le témoignage de Louisette Ighilahriz de « tissu de mensonges »."
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A le mémoire de grand soldat qui a donné sa vie pour défendre sa terre natale.Il était le feu et le feu sacré de cette Algérie qui avait tant donné à la France et qui attendait la réciproque de son armée. Seigneur des camps viets, Antoine est associé à la mémoire de Paul Alain LEGER et de Yves GODARD. Ils furent les centurions.
GODARD LEGER GRAZIANI trio vainqueur de la bleuite
poisson le vendredi 19 janvier 2018 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Dossier pour le Service historique de la Dèfense N. Dossier GR 8YE 132379 Nom GRAZIANI, Jean Antoine grade capitaine arme troupes de marine naissance 15/01/1926 fin service 07/01/1959 Cristina le mercredi 15 novembre 2017 Recherche sur cette contribution | |
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Roger Daviet Mon père est né le 30 avril 1926 à Les Clefs en Haute-Savoie. Il a été liberé le 30 avril 1945, le jour de ses 19 ans, du camp de Ravensbruck par l'armée rouge. Il était passé par Neungamme et Bergen- Belsen avant. Daviet le lundi 04 septembre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Honneur aux paras de la 4ème Cie du Capltaine Jean Graziani Mon père, le Sergent Roger Daviet, était dans la section du Lieutenant Jean Chassin adjoint du Capitaine Graziani. Dans ce dur combat le Lieutenant Chassin est mortellement blessé comme son Chef et de nombreux paras, mon père a repris le commandement de la section en plein combat et a tenu la position malgré plusieurs assauts Fells, il en a gardé une profonde cicatrice à la main droite et une citation avec la médaille de la Valeur militaire avec palme. Il a toujours parlé de son Capitaine, de son Lieutenant et de ses frères d'armes parachutistes tombés à Tléta avec un grand respect. Une période très douloureuse de sacrifices mais aussi pleine de fierté d'avoir servi au 6.
Ancien Résistant-déporté à Ravensbruck et ancien d'Indochine où il avait servi au 3è BCCP/ BPC, comme Jean Graziani. Il avait le brevet para N° 9169
Sur la photo ci-jointe, il est accroupi à côté de son Capitaine quelques jours avant la mort de celui-ci. 
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Daviet Claude le dimanche 27 août 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Je trouve deux dossiers de résistant dont l'un pourrait correspondre à votre père
GR 16 P 160827 DAVIET, Roger 16.02.1924 Saint-Jorioz Haute-Savoie FRANCE Homologué FFI
GR 16 P 160828 DAVIET, Roger 30.04.1926 Les Clefs Haute-Savoie FRANCE Homologué RIF
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patin gris tel était le nom de code de la 4e compagnie le 6 janvier 1959. J'ai combattu sous les ordres du capitaine Jean Graziani. Je garde de cette de cette période un souvenir très fort, très vivant. Honneur à cet officier couget jean le mercredi 16 août 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Gloire et Honneur Vous étiez chez nous la veille de votre dernier affrontement.
J'étais une enfant. Je me rappelle encore de vous.
Votre photo est toujours là, en hommage.
Honneur et gloire à vous,
Monique BECKER le lundi 21 mai 2012 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Il s'agit de Jean GRAZIANI, mort pour la France comme capitaine en Algérie.
Né le 15 janvier 1926 à Mondovi (Algérie)
Rallie les FFL en juin 1943
Promu sous-lieutenant en 1946, il sert en Indochine. Demi-Brigade SAS puis 3e BCCP - Fait prisonnier en octobre 1950 - Libéré en septembre 1954
Nommé capitaine en 1955 - Rejoint l'Algérie en 1957 - Affecté au 6e RPC - Mortellement blessé au combat le 6 janvier 1959
Officier de la Légion d'Honneur
Médaille Militaire
Croix de guerre 39-45
Croix de guerre TOE
Croix de la valeur militaire
3ème SAS
Harrod and Barker
Squadron de commandement 12 aout 1944 Stick Sabotage
Amherst 4 avril 1945-20 avril 1945
3ème SAS HQ Squadron
source David le mercredi 16 décembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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