Contributions - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Le passé

Un soldat meurt pour sa patrie qui l'a vu naître et grandir.
Son devoir accompli, le devoir de la patrie de l’honorer.
Qu'en est-il de sa conscience à lui? les morts ne peuvent répondre.
S'il s'agit du capitaine Graziani, affecté auprès général Aussaresses.
Alors que dire de :

"J'étais allongée nue, toujours nue. Ils pouvaient venir une, deux ou trois fois par jour. Dès que j'entendais le bruit de leurs bottes, je me mettais à trembler. Ensuite, le temps devenait interminable. Les minutes me paraissaient des heures, et les heures des jours. Le plus dur, c'est de tenir les premiers jours, de s'habituer à la douleur. Après, on se détache mentalement. C'est un peu comme si le corps se mettait à flotter…" Louisette Ighilahriz avait 20 ans quand elle s'est retrouvée, grièvement blessée, dans les locaux de la 10e division parachutiste (DP) à Alger, en septembre 1957, après un accrochage avec l'armée française. Pendant sa captivité, elle voit passer de temps à autre Massu et Bigeard, deux des plus hauts responsables militaires de l'époque. C'est un de leurs adjoints, le capitaine Graziani, qui est chargé de l'interroger. Ce pied-noir n'utilise ni la gégène ni le supplice de l'eau pour faire parler sa prisonnière. Il la viole.

Algérien le lundi 17 septembre 2018

Réponse :

" Ainsi, le 20 juin 2000, Le Monde publie le témoignage de Louisette Ighilahriz, militante du FLN alors âgée de vingt ans, capturée par l’armée française le 28 septembre 1957, torturée et violée pendant trois mois à l’état-major de la 10e division parachutiste à Alger : « J’étais allongée nue, toujours nue. Ils pouvaient venir, deux ou trois fois par jour. Dès que j’entendais le bruit de leurs bottes dans le couloir, je me mettais à trembler. » Elle déclare n’avoir alors eu qu’un seul but, le suicide. Elle met notamment en cause les généraux Massu et Bigeard. Deux jours plus tard après la publication de son récit, Jacques Massu exprime ses regrets, déclarant dans une interview au Monde le 22 juin 2000 que « la torture n’est pas indispensable en temps de guerre ». Au contraire, Marcel Bigeard qualifie le témoignage de Louisette Ighilahriz de « tissu de mensonges »."

Contribution au livre ouvert de Jean Antoine Toussaint Graziani

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