Joseph Pierre Gabriel Ferchaud - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Joseph Pierre Gabriel Ferchaud



Naissance : 25 juillet 1918 - Baud (56)

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 64 ans - 16 novembre 1982 - Draguignan (83)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 220637

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 18611

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Joseph Pierre Gabriel Ferchaud - son Livre ouvert !
 

famille Ferchaud

bonsoir monsieur
je vous transmets ces informations.
cordialement
David

David Portier le jeudi 30 juin 2022 - Demander un contact

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Aimerais contacter Sylvaine et François , enfants de Joseph Ferchaud

Douarnenez, 30 juin 2022. Mon père Guy Vourc'h s'est évadé vers Angleterre sur la Petite Anna en octobre 1944 avec son ami Joseph Ferchaud, dont la mort, en novembre 1982, l'a profondément affecté. En 1945 ou 46 , il avait fait un long récit de son évasion, que j'ai retranscrit cet hiver. Nous, ses enfants , l'avons remis aux Archives nationales le 17 juin dernier, avec d'autres documents d'archives magnifiques sur l'odyssée de Petite-Anna.
Ce serait une grande joie pour moi de pouvoir les communiquer aussi à Sylviane et François Ferchaud, les enfants de Joseph Ferchaud dont mon père parle dans une lettre. Grand merci à ceux qui pourront m'y aider , en me contactant par e-mail à jean-guy_vourch@orange.fr
Jean-Guy Vourc'h

Jean-Guy VOURC'H le jeudi 30 juin 2022 - Demander un contact

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Ferchaud (Joseph Pierre), Un aspect de la reconversion aux États-Unis : la démobilisation 1945/1946 

Laurent le vendredi 29 janvier 2016 - Demander un contact

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Hommage aux S.A.S

Après un périple sur les lieux des actions si courageuses.... je tiens à participer à cette contribution.
les enfants de JOSEPH FERCHAUD peuvent être fiers de leur PERE.....



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THIEBAUT PASCALE le lundi 04 mai 2015 - Demander un contact

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" BIOGRAPHY:
Took service with the FFL on 5th November 1940. He was promoted to 'aspirant' in August 1941, after finishing the EOR (Elève Officier de Réserve) course at Camberley. Was then send to New Caledonia (French Polynesia).
After regrouping in England, he took part in Stage 67 at Largo and Hardwick from February 1942 until August 1943. On 8th August 1943 he was promoted to 'sous lieutenant'. He took part in operation 'Auchinleck' from February 1944 until June 1944 with 3rd R.C.P., 1st Squadron, 3rd SAS, in operation 'France' with the 3rd SAS, operation Jockworth' with VIII/1st Squadronon 16th August 1944 and operation 'Amherst' from 4th April 1945 until 20th April 1945 with 2/1st Squadron, 3rd SAS. "

www.ww2awards.com 

laurent le samedi 05 septembre 2009 - Demander un contact

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André Casalis : " Cadets de la France Libre - Louis Le Roux 1923-1951"

" Nous nous étions présentés au colonel Lanusse quelques jours après notre arrivée pour recevoir nos affectations. Je m'étais retrouvé, pour ma part à Païta, à la 2e compagnie, avec Hervé et Gérard, André était seul à la 3e, comme Jacques à la 4''. Mon unité était commandée par le capitaine Pia, calédonien de souche, assisté des sous-lieutenants Guy et Moulin, ce dernier étant sur le départ. Le commandant Houssin - venu de Tahiti, rapidement promu comme on pouvait le constater - était responsable du Bataillon.
Nous avions trois sections de tirailleurs à Païta, plus une section européenne et une section lourde détachée de la ÇA. En tout près de quatre cents hommes, les sections étaient pléthoriques mais avec un encadrement qui s'était vite révélé insuffisant. Le village était situé à trente kilomètres de Nouméa et se trouvait à l'extrémité Nord-Ouest du dispositif défensif du bataillon.
Le PC - à vingt kilomètres de nous - était à Dumbéa. La F compagnie (lieutenant Louis-Marie, aspirants Allégret, Parasol et Ferchaud) et la ÇA (capitaine Schmidt, aspirant Ulm) étaient également installées dans cet important centre de cultures où coule la rivière qui alimente Nouméa en eau potable.
La 3e compagnie (capitaine Bardet, sous-lieutenant Quelen) était stationnée à proximité de la capitale, au mont Ravel, où elle couvrait les approches sud de la ville.
La 4e compagnie (capitaine Haas, sous-lieutenants Loaëc et Appriou) était basée à Nouméa même, où se trouvait également le dépôt (capitaine Dequesne), elle avait détaché des postes de guet dans les plaines du Sud-Ouest, Yaté, Carénage, Goro, etc.
Le dispositif global du BMICM - et non le BMC comme les méchantes langues le prétendaient - était orienté face au Sud et articulé de manière à s'opposer à une éventuelle tentative de débarquement. Assaut qui aurait sans doute emprunté les passes de la barrière de corail menant directement à la rade de Nouméa, objectif ultime - avec les installations de la société Le Nickel - de toute tentative de conquête.
Dans le reste de l'île : rien, ou presque, à part quelques gendarmes isolés dans les villages : tout juste de quoi donner l'alerte. Et encore : à condition que le téléphone n'ait pas été coupé par quelque commando. Le pays était pratiquement vide, on ne trouvait par exemple à Houaïlou - important centre d'évangélisation et dernière agglomération importante de la côte Est - qu'un gros millier de Canaques et moins de trois cents Européens; le reste était à l'avenant."

Laurent le lundi 06 juillet 2009 - Demander un contact

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Ferchaud

Joseph Ferchaud est né le 25 juillet 1918 à Baud

David le lundi 29 juin 2009 - Demander un contact

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amis.arbresle.free.fr 

" Le stick du Lieutenant Ferchaud

Il est temps de faire connaissance avec le stick du Lieutenant Ferchaud qui interviendra à l’Arbresle. Le stick Ferchaud est largué semble-t-il dans la nuit du 15 au 16 sur le terrain Vinaigrette entre Saint-Symphorien et Sainte-Catherine.
Le groupe de commandos est composé de 10 hommes commandés par Joseph Ferchaud : le Sgt Marcel Mauchaussé, le Sgt Louis Fisset, le Sgt Armand Lecrubier, les SAS Jean Angeli, Marcel Cojocarrio, Jean Hameury, François Llavador, Marc Caillaud et Jean Mayer.
C’est grâce aux contacts que nous avons pu établir avec ce dernier, seul survivant du commando, que nous avons pu reconstituer les événements. En fait, 9 hommes seulement ont participé aux plasticages, l’un d’eux s’étant foulé une cheville lors de son parachutage.
D’autres sticks ont été parachutés à la même époque, chargés d’autres missions analogues
Les parachutistes français du 1st squadron du 3rd SAS ont été largués dans la nuit du 14 au 15 août au col de Casse-froide sur un terrain préparé par les hommes du commandant Mary. Cette même nuit, les sticks Gayard, Barrès et Hourst sont parachutés avec l'équipe Jedburgh Jude.

Une opération soigneusement préparée

Grâce à des renseignements obtenus par des contacts avec des cheminots de la Résistance et avec le chef de gare de l'ArbresIe, le Lt. Ferchaud apprend qu'un train de troupes doit prochainement emprunter la ligne en direction de Tarare. Une opération de sabotage est mise sur pied en relation avec les maquisards locaux dans le but de couper la ligne entre Saint-Germain-au-Mont d'Or, Lozanne et Roanne.
Au cours de la journée du 17 Août, le Lt. Ferchaud présente la façon dont sera mise en place l'opération à mener le lendemain :

« - Minage de la voie ferrée sous un tunnel entre Arbresle et Tarare : une locomotive sera mise en pression par un cheminot de la Résistance en collaboration et sous les ordres de notre contact (responsable SNCF) et sera dirigée sous le tunnel où le sabotage la fera dérailler.
- Minage et destruction du Château d'Eau
- Minage et destruction des aiguillages à l'entrée de la gare d'Arbresle. »

De leur coté, les Résistants connaissent leur rôle. Pierre Alévêque[3] nous donne son témoignage

« L’objectif de cette opération s’inscrivait dans une action globale de la Résistance qui était de désorganiser et de freiner le trafic ferroviaire imposé aux Allemands par le débarquement des forces alliées. Notre objectif à l’Arbresle était de couper définitivement ce trafic ferroviaire entre Saint-Germain-au-Mont d’or, Lozanne et Roanne.
Les moyens pour cette action ont rassemblé des éléments des maquis de Tarare, de la vallée d’Azergues, notre groupe arbreslois, et quelques hommes du commando anglais parachuté depuis quelques semaines dans notre région. »
Le déroulement de l’opération avait été minutieusement préparé les jours précédents par des contacts des groupes concernés. Nous avions la mission de reconnaissance de terrain.
Nous étions en place à l’horaire fixé pour guider le commando chargé de l’exécution. Dès son arrivée, notre groupe occupait les services de la gare interdisant tous les contacts téléphoniques ou autres avec l’extérieur.
La couverture immédiate de l’élément d’action était aussi à notre charge. A partir de ce moment l’action s’est déroulée très rapidement, ne pouvant réussir que menée dans les plus courts délais. »

Tout de met en place

Jean Mayer, témoigne : « Le 18 Août, des maquisards, et plus particulièrement Véricel de St Symphorien sur Coise nous ont accompagné et aidé à transporter notre matériel avec un véhicule. Ils nous ont déposé à environ 1 Km, 1,5 Km de notre terrain d'action.
Nos instructions (données par le Lieutenant Ferchaud) étaient très précises : cette opération sera faite uniquement par notre STICK, sans aucune personne extérieure ».

Les instructions sont précisées : Pour le minage du tunnel : Mauchausser, Angeli, Cojocarrio, Hameury. Pour le minage du Château d'Eau : Jean Mayer. Pour le minage des aiguillages :

Fisset, Lecrubier, Llavador.
Le Lieutenant Ferchaud s'occupera du bureau du Chef de gare où il éliminera la sentinelle allemande et passera à tabac le chef de gare (informé de notre action il paraîtra crédible auprès des allemands).

On passe à l’acte

Les maquisards occupent le central téléphonique et empêchent toute communication ; ils surveillent les abords
Laissons la parole à Jean Mayer : « L'opération sur la gare de l’Arbresle s'est déroulée entre 15 h 30 et 16 h. J'ai miné le château d'eau qui était composé de 4 pieds en béton. J'ai posé une charge d'explosifs sur chaque pied. Elles étaient reliées entre elles par un cordon Bickford et j'ai allumé une mèche courte d'une durée de 2 minutes (le château d'eau étant imposant, j'ai mis une charge plus importante que prévue. Cela a fait un sacré boucan ! »
Dès que le signal avertissant que les mèches (château d'eau et aiguillage) étaient allumées, le Lieutenant Ferchaud a crié aux personnes qui étaient aux abords de la gare, vraisemblablement une majorité de cheminots) : « Mettez vous à l’abri, ça va sauter ! ». Profitant du fracas, nous nous sommes regroupés tous les 5 et dirigés vers le groupe de 4 SAS qui s'occupait du tunnel. »
Dans le même temps, Hameury, Angeli et deux autres SAS partent déboulonner les rails sous le tunnel et placer les charges et quelques bobby-traps[5].
Quelques minutes plus tard, la locomotive lancée à toute vapeur déraille sous le tunnel et l'explosion rend la ligne inutilisable. Enfin, la station de pompage est détruite et avec elle, l'ensemble des vitres des habitations aux alentours.
Les commandos se sont regroupés et évaporés dans la nature et repartent avec la camionnette de Jean Viricel.

La lutte continue

Pas question de se reposer sur ses lauriers. Le lieutenant Ferchaud apprend l’existence d'un important dépôt de carburant à Pierre-Bénite. Afin d'assurer les déplacements à venir pour son groupe et pour les maquisards, un approvisionnement s'avère nécessaire. Un contact avec des membres de la Résistance qui travaillent au dépôt permet de préparer l'opération. Le 22 août, le Lt Ferchaud et ses hommes embarquent à bord de la camionnette conduite par Jean Viricel et à travers de petites routes de campagne, ils atteignent la nationale à Brignais. A ce moment, le village est rempli d'Allemands mais la camionnette parvient à entrer dans la circulation et à prendre place dans le convoi devant une automitrailleuse ennemie. Avec un incroyable culot, Joseph Ferchaud, debout sur le marchepied, fait signe aux Allemands incrédules de dégager le passage.
Les parachutistes arrivent alors à Pierre Bénite, la sentinelle à l'entrée du dépôt est abattue par le Sgt Marcel Mauchaussé, puis ils pénètrent dans la cour. Le Sgt Louis Fisset et le SAS Jean Angeli se mettent en protection alors que le Sgt Armand Lecrubier, Marcel Cojocarrio et Jean Hameury se chargent de prendre livraison de la marchandise. Rapidement, Jean Mayer se dirige vers les bureaux et met tout le monde mains en l'air. Après quelques minutes d'hésitation et d'inquiétude, un homme s'adresse timidement à Jean « Vous êtes Canadien ? » et Jean de répondre avec fierté « Non, je suis un parachutiste de la France Libre! ». L'action ne prend que quelques minutes et rapidement, les SAS décrochent sous les tirs ennemis avec un camion chargé de 6.000 litres d'essence.
Enfin, le 3 septembre, le stick Ferchaud entre dans Lyon par le sud et traverse le pont de la Mulatière en partie détruit.
De multiples opérations pour progresser. Par exemple, l’attaque d’un train à Perrache. A la suite de cette action, un déserteur russe nommé Nicolaï se joint au stick et participe ensuite aux actions des parachutistes.
Les hommes progressent difficilement et subissent des tirs depuis l'Hôtel Dieu. Dans le même temps, d’autres sticks entrent dans Lyon vers 8 heures par le pont de l'Homme de la Roche. Le gros de la première Division des Français Libres arrivera un peu plus tard, après avoir libéré l’Arbresle, sans difficulté.
Le travail n’est pas fini pour autant, ainsi qu’en témoigne cet ordre du commandant Mary au Lt. Ferchaud : « Ordre au lieutenant Ferchaud de perquisitionner à l’hôtel des Célestins, rue des Archers – Vider tout ce qui est intéressant et conduire toutes les personnes se trouvant dans cet établissement à la sûreté à St Jean.
Le chef FFI – Rhône » – Signé Mary

La guerre continuait ; les SAS continuèrent à s’illustrer et notamment le stick Ferchaud qui, parachuté en Hollande a été affronté à de très durs accrochages.

Bernard Isnard "

Laurent Laloup le jeudi 28 août 2008 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France libre N°17

"... Enfin, dans la soirée du 20 octobre 1940, Bernard Scheidhauer, accompagné de cinq camarades : les frères Guy et Jean Vourc'h, Charles de La Patellière, Robert Alaterre, et Joseph Ferchaud, réussit à embarquer à Douarnenez, à bord d'une pinasse toute neuve de douze mètres de long, pontée, avec deux voiles et un moteur, la Petite Anna (Dz 3388). Mais la traversée allait manquer de devenir une tragédie... Le bateau avait été livré avec, dans son réservoir, cent quatre-vingt litres d'essence, ce qui constituait une quantité juste suffisante pour atteindre la cote anglaise. Par sécurité, il eût fallu disposer d'un peu plus de carburant car on devait compter avec les impondérables. Toutefois, si on avait pu disposer à bord d'un marin expérimenté, capable d'utiliser la voilure à bon escient, la quantité d'essence eût sans doute suffi. Mais, dans l'impatience de partir, les jeunes gens firent abstraction de ces considérations et passèrent outre. De plus, Bernard Scheidhauer avait fait des essais de moteur avec Marcel Laurent, mareyeur et patron de la Petite Anna. Mais, contrairement à ce que Bernard déclara à ses camarades, ces essais durèrent plusieurs heures, et non un quart d'heure. Ce fait allait avoir, plus tard, des consé­quences dramatiques.
....
Vers onze heures, ils aperçurent un énorme rocher solitaire et désolé, sans trace de vie, qu'ils doublèrent. Ils faillirent sombrer alors, car la Petite Anna se trouva au milieu d'écueils sur lesquels une mer monstrueuse écumait ; d'énormes remous secouant la pinasse, menaçaient à tout moment de la faire chavirer. Les passagers crurent leur fin arrivée, et Robert Alaterre raconta par la suite que Guy Vourc'h se mit à réciter la prière des agonisants. C'est précisément au mo­ment où ils avaient perdu tout espoir que, du bouillonne­ment de la mer en furie, surgit un cargo britannique, le SS Cairngorn, intrigué par la présence, en ces lieux inhospitaliers, d'un si petit navire semblant désemparé. L'accostage se réalisa dans des conditions difficiles. Le capitaine et l'équipage britannique leur réservèrent un accueil chaleureux et s'évertuèrent à apporter le réconfort que nécessitait leur état ; deux étaient scorbutiques, un autre commençait à perdre la raison...

A la tombée de la nuit du 31 octobre, ils entrèrent dans le port de Milford Haven, terme de leur longue randonnée, mais aussi d'un martyre de onze jours ! "

Laurent Laloup le samedi 25 août 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 30 juin 2022

 

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