Albert Alexandre Durand - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Albert Alexandre Durand



Naissance : 16 septembre 1918 - Grasse (06)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique

Engagement dans la France Libre : Gibraltar en octobre 1941

Affectation principale : FAFL / Normandie

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sous-lieutenant

Décès à 24 ans - 1er septembre 1943 - au-dessus de Ielnia, Russie

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 203457

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 17135

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Albert Alexandre Durand - son Livre ouvert !
 

Il est l'un des 123 FAFL disparus sans sépulture dont le nom figure désormais sur la stèle commémorative du Tréport inaugurée en juin 2022.

Sa notice biographique et les circonstances de sa disparition ainsi que l’historique du projet de la Stèle, mené par l’Association pour la mémoire des FAFL, sont consultables sur le site de la Fondation de la France libre à l’adresse suivante : 

Des photos de la stèle sont consultables sur le site « Aérostèles » : 



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Fred Bentley le samedi 30 juillet 2022 - Demander un contact

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les victoires de Durand

D'après le livre de Yves Donjon, considéré comme LE spécialiste de l'histoire du Régiment Normandie-Niemen, Durand à l'heure de sa disparition, totalisait 11 victoires dont 10 homologuées. D'autres sources disent que les 11 victoires ont été homologuées ou, autre version, 9 victoires qui se décomposent ainsi : 3 durant la campagne de France acquises toutes en coopération et 6 sur le front russe dont 2 en coopération. Dans ce dernier cas, les victoires probables n'ont pas été prises en compte. Précisons que la règle dans l'Armée de l'air est d'attribuer une victoire à TOUS les pilotes ayant participé à la destruction d'un avion : ainsi, si un pilote et son équipier abattent de concert un avion ennemi, ils sont crédités d'une victoire chacun. Il n'y a pas, comme chez les anglo-américains de "demi-victoires", ou, comme chez les Allemands ou presque toujours la victoire est attribuée au leader (ce qui explique le grand écart de victoires entre les grands as allemands et les autres). Le système français ne veut pas dire pour autant que le total des victoires obtenues par une unité est, par ce système, "gonflé" car lorsqu'il s'agit de faire ce décompte, en reprenant les compte-rendus et les journaux de marche, les victoires collectives sont alors comptées par les observateurs et évaluateurs militaires comme une seule victoire. Dès lors le total des victoires obtenues par le Régiment Normandie-Niemen peut être considéré comme exact. Il ne s'agit pas d'additionner les croix inscrites sur les avions mais d'analyser tous les documents administratifs se rapportant à l'activité de la formation. Ajoutons aussi que le système d'homologation de victoires sur le Front Est était très rigoureux. Il fallait que chaque avion abattu ait été vu par un observateur au sol, ou en cas de combat à l'écart du front, confirmé par toute la formation ayant pris part au combat. ce système de comptage est très important pour évaluer quelle était la puissance réelle et le taux d'attrition des unités ennemies dès lors qu'elles étaient connues, ce qui se savait très rapidement. la preuve ? les Allemands ont su très tôt qu'il y avait une unité française qui se battait contre eux, malheureusement pour Bizien, Derville et quelques autres qui ont, soit vu leur famille déportée en représailles ou qui ont été abattus sur le champ quand le malheureux pilote tombait vivant entre leurs mains car Keitel avait considéré que militaires représentant un pays ayant subi la défaite et sous le coup de conventions d'armistice, ils étaient considérés comme des francs-tireurs.

Robinard le samedi 14 novembre 2020 - Demander un contact

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17 : Durand Albert (p)



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Jacques Ghémard le mardi 19 septembre 2017 - Demander un contact

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Le 22 Mars 1943, après trois mois d’entrainement à Ivanovo, les premiers éléments du groupe de chasse n°3 "NORMANDIE" rejoignent au front la 303e Division Aérienne du général Zakharov à Polotniani-Zavod (50 km au Sud-Ouest de Moscou) et entrent dans la légende ... Une photo à leur départ de Rayack :



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Jacques Ghémard le mardi 19 septembre 2017 - Demander un contact

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Réponse :

(p) = pilote, (m) = mécanicien, (*) = Ne sont pas restés affectés au G.C.3 et ne sont pas allés en URSS
1 : Bizien Yves (p)  , 2 : commandant Denis (Etat-Major, extérieur au G.C.3)  , 3 : colonel Gence (Etat-Major, extérieur au G.C.3)  , 4 : colonel Corniglion-Molignier (commandant des FAFL au Moyen-Orient, venu pour remettre son fanion au G.C.3)  , 5 : commandant Pouliquen (1er cdt du G.C.3)  , 6 : Tulasne Jean (p)  , 7 : Littolff Albert (p)  , 8 : Derville Raymond (p)  , 9 : Michel Alexandre (Responsable du personnel technique)  , 10 : de La Poype Roland (p)  , 11 : Gelibert Jean (m)  , 12 : Larrivet Denis (m)  , 13 : Saliba André (m)  , 14 : Stakhovitch Alexandre (interprète)  , 15 : Albert Marcel (p)  , 16 : Eidel Roger (m)  , 17 : Durand Albert (p)  , 18 : Longchamp Antoine (m)  , 19 : Lefèvre Marcel (p)  , 20 : Mahé Yves (p)  , 21 : Carrel Armand (m)  , 22 : Lebiedinsky Georges (médecin)  , 23 : Béguin Didier (p)  , 24 : Castelain Noël (p)  , 25 : Poznanski André (p)  (caché en partie par de La Poype), 26 : Peyronie André (m)  , 27 : Abad Joachim (m)  , 28 : Darenlot Jean (m)  , 29 : Saliba Benoît (m)  , 30 : Vidal Maurice (m)  , 31 : Trolliet Raymond (m)  , 32 : Lefèbvre André (m)  , 33 : Chamballu François (m)  , 34 : Germain Ferdinand (*)  , 35 : Tourtelier Roger (m)  , 36 : Duprat Louis (chef mécanicien)  , 37 : Masurel Georges (m)  , 38 : Gelin Edouard (m)  , 39 : Goulin Daniel (m)  , 40 : Risso Joseph (p)  , 41 : Mounier Georges (m)  , 42 : Giovancarli Laurent (m)  , 43 : Deguilhem-Pemillat Hubert (m)  , 44 : Calorbe Jean (m)  , 45 : Morisson Roger (m)  , 46 : Gouverneur Pierre (m)  47 : Audibert Jean (m)  , 48 : Abichou Daniel (m)  , 49 : Jacquier Yves (m)  , 50 : Galley Pierre (m)  , 51 : Matter Oscar (*)  , 52 : Leloup Guy (m)  , 53 : Marcelin Georges (m)  , 54 : Zukhanovitch Guy (m)  , 55 : Touvrey Roger (m)  , 56 : Carme Robert (m)  , 57 : Henry Albert (m)  , 58 : Turcaud Jean (m)  , 59 : Weill Gérard (m)  , 60 : Lumbroso Armand (m) 


Cristina Contilli le dimanche 13 mars 2016

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Albert Durand est né le 16 septembre 1918 à Grasse dans les Alpes Maritimes. Après un brevet de pilote obtenu à l'aéro-club de Provence, il passe le concours des sous-officiers de l'armée de l'air et effectue ses premières heures de vol militaire à Nîmes. Il en sort breveté le 15 juillet 1938. Affecté au GC III/1 à Sidi-Ahmed, il retourne sur le front de décembre 1939 à juin 1940. Après un congé d'armistice, il est affecté en avril 1941 au GC I/3 à La Senia (Oran). Son chemin rejoint ceux de Lefevre et Albert et tout trois rejoignent les FAFL en octobre 1941. Il rejoint en mars 1942 le groupe de chasse "Normandie" en formation à Rayak, en Syrie. Il arrive à Ivanovo le 29 novembre 1942. Il disparaît dans un combat aérien le 1er septembre 1943.
( Extrait de "Ceux du Normandie-Niémen" d'Yves Donjon - Editions Club 35
Source : )

Alors crédité de 6 victoires, il était considéré comme un des meilleurs pilotes de l'escadrille

www.nnavirex.com 

Laurent Laloup le lundi 06 août 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 30 juillet 2022

 

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