| | | | | Un Français Libre parmi 63008 | | | Claude André Jacques Divonne de Boisgelin | |
Naissance : 17 mars 1914 - Nancy (54)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en septembre 1940
Affectation principale : Terre - Londres / divers
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaineEpoux de Patricia de Boyer de Choisy
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 186748
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 15748 |
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Une archive audiovisuelle - Londres (1941 ?) Document cinématographique :
Baptême d'un Français Libre (sans doute le fils de Claude Divonne de Boisgelin) dont le parrain est un certain Charles de Gaulle... Ce film présente des images de l'entrée et de la sortie de l'église, avec des plans sur le général de Gaulle, sur Claude Divonne de Boisgelin, son épouse (?) et son fils (?)
A voir là : Stella le dimanche 12 avril 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : D'après sa famille, ce n'est pas son fils mais sa fille
Ha et maintenant je vois Nelson Mandela ...
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"...Plus à l’aise avec le verbe qu’avec son image, il ressent dès la première heure la nécessité de donner corps à ce qui n’est encore qu'une voix. Le 14 juillet 1940, à Londres, des photographes britanniques assistent à sa demande au dépôt de gerbe auquel il procède devant la statue de Foch et publient ces premiers clichés du Général dans la presse d’Outre-Manche. Des sollicitations se multiplient presque aussitôt. The Illustrated London News commande au photographe Howard Coster un premier portrait qui le campe en héros de Verdun, bras croisés, le regard figé sur un hypothétique horizon. Life s’adresse à George Rodger. D’autres photographes de renom lui succèdent. A son retour d’Afrique et du Levant, le 1er septembre 1941, Claude Divonne de Boisgelin qui dirige le service de l’information des FFL lui fait savoir que des demandes se sont accumulées. Etienne Dennery le convainc d’accepter une séance de photographies pour les besoins de la propagande en arguant que Roosevelt et Churchill eux même ont accepté de recommencer six fois pour les photographes la scène où celui-ci remettait à celui là une lettre de la Reine. Le Général doit à sa culture d’avoir toujours strictement séparé la sphère privée de la sphère publique, avec une énergie d’autant plus farouche qu’il entend préserver sa fille Anne du regard du monde, a fortiori de la presse. Du moins cède-t-il pour la première (et presque la dernière) fois aux instances de son service d’information. Lui et son épouse ouvrent les portes de leur maison de Berkhamsted à quelques photographes accrédités. Avec le souci, écrit Jacques Borgé «de montrer au monde qu’il n’est pas un apprenti dictateur mais a good man and a good husband». Le couple se plie aux requêtes de journalistes anglo-saxons moulés dans une culture politique où les chefs d’Etat n’hésitent pas à livrer des pans de leur vie privée. Ils obtiennent que madame de Gaulle se mette aux fourneaux , que «les amoureux» se mettent à la fenêtre, que le Général s’intéresse au gazon… en réalisant des clichés surprenants, largement diffusés par la presse internationale, et exhumés fin 1966 par Le Crapouillot sous l’intitulé «Le petit de Gaulle illustré», commentaires acides à l'appui "
www.bouquins.tm.fr laurent le samedi 05 septembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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SOUSTELLE J. - De Londres à Alger (1940-1942), envers et contre tout " Parfois, le soir, j'allais rejoindre mon vieux camarade Thibault, que je trouvais souvent avec Boisgelin, qui avait traversé à pied les Pyrénées et une partie de la péninsule ibérique, ne sachant pas un mot d'espagnol ni de portugais, pour s'embarquer à Lisbonne et nous rejoindre. Nous passions une partie de la soirée au « Petit Club > qu'avait créé dans un sous-sol une vieille fille anglaise aussi folle que bonne, à l'intention des Français. Il y avait là des soldats et des marins, des Français de la B.B.C. tels qu'Oberlé, des journalistes, des gens du Quartier Général. Un phonographe répétait quelques airs, parmi lesquels je me rappelle particulièrement le Tout ça, ça fait... d'excellents Français, de Chevalier, qui n'était pas sans ironie. Au mur, des photos de nos bateaux, le Narval, le Triomphant, de nos avions, de nos jeunes F.F.L., et le portrait de celui que nous appelions « le grand Charles ». laurent le samedi 05 septembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Même s’il est embryonnaire à sa création, un service cinématographique existe dès juillet 1940 à Londres. Son noyau dur est constitué de Français ralliés d’origine anglaise : le sous-lieutenant Francis Mac Connel, ancien chef de la mission de la SCA en Norvège en 1939-1940, et Jacques Curtis appelé au SCM qui rejoint Londres après un périple par le Portugal. Avec un budget minimum, du matériel est acheté, une caméra et de la pellicule sont prêtées par la Paramount ; l’équipe constituée accompagne le général de Gaulle dans son périple africain qui commence au mois de septembre avec l’opération Menace et le projet de débarquement sur Dakar. Dépendants du 2e bureau, les opérateurs sont dotés d’une autorisation leur permettant de filmer et photographier dans tous les territoires britanniques sous contrôle des Forces françaises libres. Parallèlement, le quartier-maître Guy Mas s’occupe des questions cinématographiques et photographiques au sein du service de propagande des Forces navales françaises libres (FNFL), il met d’abord en place des séances de cinéma récréatif à bord des navires français, puis petit à petit filme et photographie les activités FNFL dans tout le Royaume-Uni, ce qui s’avère être un programme chargé
Conjointement, le service de l’information se dote, dès la fin de l’année 1940, d’un bureau photographique et cinéma dirigé par Claude Divonne de Boisgelin ; dans un premier temps, le manque de personnel français fait que les photographies sont faites par des reporters anglais et la Paramount assure l’exclusivité des prises de vues pour la France libre, avant que Maxime de Cadenet n’intègre le service en tant que cinéaste et le renfort de Guy Mas."
rha.revues.org Laurent Laloup le mercredi 10 décembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" Description du livre: Les Cahiers Du Silence, London, 1943. Card Covers. État : Very Good. First UK Edition. 7.75 "x 5.75". Ecrit en France, publie a Londres. First published in France by the undergroung press, "Editions de Minuit", this was their first publication. It tells the story of a German officer billited on the house of the narrator and his niece. It was later translated into English during the war by Cyril Connolly. Stated on the verso of the back free endpaper "Acheve d'imprimer par Star Process Engraving le - - juin 1943 pour Le Compte de C.Divonne de Boisgelin editeur des Cahiers du Silence." Text in French. Loosely inserted are press cuttings as follows: London Times, 17th and 21st September 1968 dealing with Vercors, and, Daily Telegraph 22nd July 1991, obituary of Jean Bruller. Press cuttings are in English. Some natural paper ageing of the book, covers a little dusty, minor wear only. N° de réf. du libraire 001201" Laloup laurent le mercredi 10 octobre 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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