| |  | | | | Un Français Libre parmi 63008
| | | René Maxime Valentin Bay | |
Naissance : 12 janvier 1922 - Nantes (44)
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en octobre 1940
Affectation principale : Résistance intérieure / Musée de l'Homme
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2
Décès à 59 ans - 28 novembre 1981 - Royan (17)Beau frère de Maurice Méhaut 
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 40024
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 3909 |
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René Maxime Valentin Bay - son Livre ouvert !
Nom :BAY
Prénom :Rene Maxime Valentin
Sexe :M
Jour de naissance :12
Mois de naissance :01
Année de naissance :1922
Code insee naissance :44109
Commune de naissance :Nantes
Pays de naissance :FRANCE
Jour de décès :28
Mois de décès :11
Année de décès :1981
Code insee deces :17306
Commune de décès :Royan
Pays de décès :FRANCE
Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE Laurent Laloup le mercredi 29 janvier 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Liste des passagers qui devaient prendre place à bord de la « Monique » à Douarnenez le 4 janvier 1941
a) Etat-major
1) Lieutenant Bocq (chef du réseau).
2) Henri Adam (chef de groupe).
3) Maurice Tattevin agent de liaison.
4) Melle Bondu agent de liaison.
b) Volontaires pour les F.F.L.
1) François d'Abancourt.
2) René Bay.
3) Olivier Bidan.
4) Albert David.
5) L. Fontaine.
6) Francis Landais.
7) Henri Landais.
8) Maurice Lebrun.
9) Emile Leroux.
10) Maurice Maury.
11) Eugène Ménager.
12) Pol Michaud.
13) Jean Mozul.
14) Marcel Pottier.
15) Georges Riochet.
16) Raoul Rivière.
17) Jean Vaillant.
18) Venance. L. Laloup le dimanche 06 avril 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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"La Bretagne dans la guerre", de Hervé Le Boterf " Le cœur battant, elle réussit, cependant, à pénétrer dans l'hôtel où avaient pris pension René Bay et Maurice Tattevin. Celui-ci, ayant réalisé l'imminence du danger, décida de s'enfuir aussitôt avec M"° Bondu. Après avoir marché toute la nuit, le matin et l'après-midi du lendemain, tous deux devaient trouver refuge à l'Ergué Guabéric, où un couple de fermiers facilita leur transfert à Nantes via Rosporden.
Les trois prisonniers français qu'avait convoyé le pestilentiel « Tonton Pol » avaient également pris le large mais ils furent arrêtés, peu après la sortie de la ville, par un cordon de police allemande. Quant à Weil-Curiel, il avait assisté, à la fois inquiet et impuissant, caché derrière les buissons de ronces du café Kerivel, à la toute première perquisition des soldats allemands. Le lendemain, il réussissait à se faire établir — avec la complicité du capitaine Le Tallec et de Le Bars — un livret d'inscrit maritime qui lui permit de séjourner encore quelques temps dans le pays avant de pouvoir regagner Paris " L. Laloup le dimanche 06 avril 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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