| | | | | Un Français Libre parmi 62958 | | | Joseph Marie de Ballabriga | |
Naissance : 31 janvier 1909 - Saragosse, Espagne
Activité antérieure : marin
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en juillet 1940
Affectation principale : FNFL / marine de guerre3ème BFM , marine Levant
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant de vaisseau
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 835
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 3032 |
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Joseph Marie de Ballabriga - son Livre ouvert ! Registres de nationalité ouverts par les Forces françaises libres à Londres
DE GALLABRIGA, Joseph Marie
Qualité : enseigne de vaisseau.
Naissance : 21 janvier 1909, Saragosse, Espagne.
Résidence : lieu non indiqué.
Type d'acte : acquisition de la nationalité française par naturalisation.
Date de déclaration : 1 juillet 1942.
Date de récepissé : 1 octobre 1942. Laurent Laloup le mardi 01 octobre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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untzimuseoa.eus
PARDO SAN GIL, Juan: “Marinos vascos en las Fuerzas Navales Francesas Libres”, Itsas Memoria. Revista de Estudios Marítimos del País Vasco, 7, Untzi Museoa-Museo Naval, Donostia-San Sebastián, 2012, pp. 547-577.
José Mª de BALLABRIGA nació el 31-1-1909 en Zaragoza. Había sido profesor de Letras en la Universidad de Zaragoza. Durante la Guerra Civil fue comandante de infantería y mandó un batallón en los frentes de Aragón. En 1938 era jefe de E.M. de la 43 División, exiliándose a Francia al caer Cataluña. Fue miembro de la Alianza Democrática Española, un grupo que operaba al servicio del Intelligence Service británico. Al producirse la invasión alemana fue evacuado de Burdeos por la Marina británica. Alférez de Navío de 1ª de las FNFL (Sep-41). laurent le lundi 04 janvier 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : José Mª de BALLABRIGA est né le 31/01/1909 à Saragosse. Il avait été professeur de lettres à l'Université de Saragosse. Pendant la guerre civile, il était commandant d'infanterie et commandait un bataillon sur les fronts d'Aragon. En 1938, il dirigeait E.M. de la 43e division, s'exilant en France lors de la chute de la Catalogne. Il était membre de l'Alliance démocratique espagnole, un groupe qui opérait au service des services de renseignement britanniques. Au moment de l'invasion allemande, il est évacué de Bordeaux par la marine britannique. Premier lieutenant de la FNFL (sept. 41).
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Extrait de "un seul pied sur la terre" d'André Voisin (texte) et de Luc-Marie Bayle (Illustrations), sous le nom de Baniga, officier du 1er Régiment de Fusiliers Marins :
"Au 1er Régiment des fusiliers-marins, il n'y avait qu'un officier étranger, mais quel lascar ! Tout le monde admirait et aimait ce noble et grand seigneur espagnol de Baniga. Sa bravoure n'avait d'égale que sa bonne camaraderie et son esprit caustique faisait la joie des carrés des officiers. Les histoires de ses aventures passées au cours de la guerre civile espagnole étaient un sujet toujours vivant; il fallait l'entendre avec son inimitable accent vous raconter ses batailles au couteau avec les phalangistes ou les aryens blonds de la Légion Condor. Son talent musical était grand et il avait fait une chanson « Porqué, ils ont tous trois galones au quatrième escadro-ne » qui était célèbre au Régiment.
Si on aimait ce bel officier basque, magnifique mélange d'hidalgo et de conquistador, il aimait aussi son régiment, ce brave Baniga : « Moi, mayor de l'armée régulière espagnole, général de l'armée républicaine, y ai bien voulu accepter de n'avoir que deux galonés pour avoir l'honneur et la joie de servir dans ce régiment unique au monde, le 1er Régiment de Fusiliers-Marins ». Quand il y avait un coup de main dangereux, il était toujours en tête, et au milieu du danger, il n'arrêtait pas de blaguer avec ses hommes et de leur raconter ses aventures comiques ou héroïques.
Mais Baniga était un oublié : sa qualité d'ancien officier de l'armée rouge faisait-elle peur à des officiers de la a Royale » ! On ne sait. Toujours est-il qu'on avait omis de décorer Baniga, malgré son courage proverbial et son dévouement à toute épreuve.
En Alsace, il fut plus magnifique de courage que jamais, mais sans son esprit, on n'est pas certain qu'il eut été décoré....."
Aussi, "Baniga" s'offrit les décorations d'un officier allemand prisonnier, et on put voir en pein hiver alsacien, un officier basque de la marine française décoré de la Croix de Fer.... laurent le mardi 08 décembre 2015 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" LV Ballabriga : indo 1946, commande la section mortier de l'escadron de tradition a/o de Colmay. (celui du pater)
23 janvier 1946, opération de Tan-Uyen , progression le long de la riviére Donnaï, le LV Ballabriga engage ses mortiers contre une unité mixte viet/japonais ( 1 bataillon) en pilonnant Tan-Uyen en support du RFM + Ponchardier. Il est blessé deux fois et est évacué sur la Foudre "
Source : GP Laurent le samedi 20 février 2010 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Extrait de À FORCE DE VAINCRE, de jacques Bauche "L'un de mes officiers, l'Enseigne de Vaisseau Ballabriga, détaché en première ligne, pour des missions spéciales, avec un petit groupe de matelots de mon escadron, dont je n'avais pas besoin à l'arrière, est venu cet après-midi me rendre compte de son activité. Il fut envoyé hier matin, alors que l'ennemi avançait dangereusement, pour contourner celui-ci et poser sur ses arrières des mines anti-personnel. Or les mines que nous employons maintenant, au lieu d'avoir une forme rébarbative, qui vous obligeait à perdre du temps pour les enterrer où tout au moins pour les camoufler, sont maintenant enrobées dans une couche de plâtre peint, imitant à la perfection d'impersonnels cailloux ou de paisibles bouses de vache. De plus, comme cette mission était dangereuse et qu'il était nécessaire de ne pas se faire repérer, l'officier en question fit camoufler ses hommes avec des draps de lit et leur fit mettre sur la tête, en forme de cagoule, des caleçons américains en coton blanc, pour être moins visibles dans la neige. Ils traversèrent ainsi un village où le « Sauve qui peut » venait d'être lancé au moment où soldats et civils, très émus, s'apprêtaient à l'évacuer. Il paraît que l'apparition de ces fantômes transportant des bouses de vache dans la direction de l'ennemi, au milieu de la panique générale, fut un succès sans précédent. Une heure après, la patrouille rentrait, mission terminée. Les hommes de l'expédition en riaient encore, tout en vidant des boîtes de « méat and beans » autour du feu." Laurent Laloup le vendredi 02 janvier 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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