Louis Francis Guégan - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Louis Francis Guégan



Naissance : 24 aout 1920 - Pluzunet (22)

Activité antérieure : agriculteur

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : caporal

Décès à 23 ans - 18 juillet 1944 - Saint Marcel (56)

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 273668

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 22932

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Louis Francis Guégan - son Livre ouvert !
 

Il est l'un des 123 FAFL disparus sans sépulture dont le nom figure désormais sur la stèle commémorative du Tréport inaugurée en juin 2022.

Sa notice biographique et les circonstances de sa disparition ainsi que l’historique du projet de la Stèle, mené par l’Association pour la mémoire des FAFL, sont consultables sur le site de la Fondation de la France libre à l’adresse suivante : 

Des photos de la stèle sont consultables sur le site « Aérostèles » : 



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Fred Bentley le samedi 30 juillet 2022 - Demander un contact

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Un document découvert sur 

" Trésors d’archives, exposition virtuelle – réalisée par la Fondation Charles de Gaulle et les Archives nationales – qui rassemble plus de 70 documents conservés aux Archives nationales, à la Fondation Charles de Gaulle, au Musée de l’Ordre de la Libération et au service historique de la défense."



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laurent le jeudi 10 décembre 2015 - Demander un contact

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c'est à mon coeur, mon petit frere....

marthe guegan le mercredi 28 décembre 2011

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commando-air-forum.forum2discussion.com 

Correction de la légende par David Portier en avril 2020

DEBOUT : Gilbert Contentin – Louis GuéganLouis Le Goff – René Audibert – Hilaire Gaultier – Jean Ledan – Georges Royer – Jacques Le Roy – Jean Ducourneau – Georges Bergé – Emile Logeais – Philippe Fauquet – Lucien Geiger – Roger Blanc – René Martin – Aimé Gillet – Marcel Drezen – Lajos Klément – Jean Bouard

MILIEU : Jean Le Gall – Pierre Leostic – Jacques Mouhot – Jean Tourneret – Pierre de Bourmont – Antoine Belle – Jean Le Goas – Emile Poizat alias Jacquier – Daniel Girard alias Marie-Victor – Jacques Linale – Pierre Provot – Jean Bothorel – Gaston Klinckemaille – Robert Guichaoua – René Hulin – Henri James

ASSIS : Roger Boutinot (caché) – Michel Vidal – Isidore Jouanny – Florent Gretry – Claude de Blignières – Lucien Mariage – Pierre Niot – Raoul Carion – Pierre Plantiveau – Georges Le Meur – Pierre Lagèze – Marcel Rodier – Joseph Prados – Marcel Balère – Jean-Charles Royer – René Dejan – Victor Iturria.



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laurent le jeudi 10 septembre 2009 - Demander un contact

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" Deux anciens Pluzunétois de la France libre sont disparus - Pluzunet
La commune, et particulièrement les Pluzunétois de la génération de la dernière guerre, a appris avec une grande tristesse le récent décès de leurs deux compatriotes François Geffroy et Marcel Guégan, anciens combattants de la France libre.

François Geffroy et Marcel Guégan étaient issus de famille modeste. Ils ont, durant leur existence, porté haut et fait honneur à leur commune d'origine.

Marcel Guégan a effectué une brillante carrière militaire, couronnée après-guerre par le poste de commandant de la DCA (défense antiaérienne) de Toulon. Engagé très tôt dans la lutte contre le nazisme, il a connu le désastre de Dunkerque. Il a rallié les troupes du général De Gaulle et combattu dans les rangs de la division Leclerc, participé à la campagne de France, avant de franchir le Rhin. A la tête de son char baptisé « Lion », il fut l'un des premiers à atteindre le célèbre nid d'aigle d'Hitler, à Berchtesgaden.

François Geffroy, footballeur et animateur de talent, débuta dans l'enseignement, à Pluzunet, à sa sortie de l'école normale. Muté à sa demande en Afrique du Nord en 1942, il a rejoint les volontaires de la France libre et servi dans les parachutistes Jetburgh, dont le rôle fut de prendre contact, dès le jour du débarquement, avec les résistants et la population normande. A la fin des hostilités, il a poursuivi sa carrière au sein de l'Éducation nationale, qu'il a quitté à sa retraite avec le titre d'inspecteur d'académie.

« Ce sont là deux authentiques héros de la guerre 1939-1945 et nous conserverons de tous deux le souvenir de deux Pluzunétois qui ont servi la France et leur commune, leur rend hommage Jean Piriou. En dépit de leur éloignement géographique, François et Marcel étaient demeurés fidèles et attachés à leur pays natal, l'un né à Feuten-Coz et le second au Danot. Ils éprouvaient toujours un énorme plaisir à retrouver la terre de leur enfance ». Jean Piriou, vétéran de la première armée française De Lattre et De Tassigny, est un fidèle et dévoué gardien de la mémoire de ses frères d'armes. C'est à lui que revient en particulier le mérite de l'organisation, il y a une dizaine d'années, de la cérémonie émouvante en hommage à Louis Guégan, frère de Marcel, engagé de la première heure dans les FFL, parachutiste des mythiques SAS, tombé après cinq années de combat dans les combats du débarquement de juin 1944. Largué avec quelques camarades en soutien du maquis de Saint-Marcel, dans le Morbihan, il a été capturé par les Allemands. Son corps ne fut jamais retrouvé. "

www.lannion-perros.maville.com/ 

Laurent Laloup le lundi 22 septembre 2008 - Demander un contact

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Réponse :

Pas trouvé de dossier de résistant pour Marcel Guégan
GR 16 P 249307 GEFFROY, François 24.07.1920 Pluzunet Côtes-du-Nord FRANCE Homologué FFC mais pas FFL


" Les Allemands les cernent et leur ordonnent de lever les bras en l’air ce qui n’est pas facile pour les soldats blessés. Délestés de tout leur armement ( grenades, munitions, poignard et colt ), ils sont examinés par un officier. Celui-ci sort, par les trous que les balles de mitraillettes ont faites dans la double poche en chamois du pantalon de Dejean, un morceau d’une carte de France en soie. La fouille est immédiate. Les lacets des chaussures sont retirés, de même que la ceinture et les boutons de braguette. Au hameau proche de Penher, Jean Garnavault et ses camarades sont obligés de monter dans un camion où deux gardes les surveillent. « Au bourg de Callac, poursuit M.Garnavault, nous avons été exibés devant les habitants. C’est là que le caporal-chef Guégan nous rejoignit dans le camion avec trois civils: Rohel, Chevallier et Jean Alain, arrétés eux aussi. Les Allemands trouvérent un container de pansements et le mirent dans le camion. Ils m’autorisérent à m’en servir. Le bras de Louis Guégan, victime d’une balle explosive, est alors très abîmé. Je refis son pansement et mis une écharpe pour soutenir le bras qui pendait lamentablement. Pour Dejean et Thomas, je fus obligé de déchirer leurs pantalons pour faire les pansements. Ils avaient reçu des balles de mitraillettes à bout rond. Celles ci font des trainées bleuâtres le long des os. Rien n’était cassé mais la peau de Dejean était déchiquetée; des petits bouts de métal blanc partaient en lavant la plaie. La même constatation fut faite sur le visage de Thomas...C’est avec une voix pleine d’émotion que Jean Garnavault évoque pudiquement la mort de ses trois camarades, fusillés par les Allemands… A ce jour, leurs corps n’ont jamais été retrouvés… »

www.rene-nodot.org  

Laurent Laloup le lundi 22 septembre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 30 juillet 2022

 

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