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| Charles Mériadec | |
Naissance : 13 janvier 1922 - Saint-Pol-de-Léon (29)
Activité antérieure : marin
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : Londres en juin 1943
Affectation principale : FAFL / parachutistesMatricules : 35.915
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : caporal
Décès à 50 ans - 29 février 1972 - Saint-Pol-de-Léon Frère de Jean Mériadec 
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 412211
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 35759 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Nom :MERIADEC
Prénom :Charles
Sexe :M
Jour de naissance :13
Mois de naissance :01
Année de naissance :1922
Code insee naissance :29259
Commune de naissance :Saint-Pol-de-Léon
Pays de naissance :FRANCE
Jour de décès :29
Mois de décès :02
Année de décès :1972
Code insee deces :29259
Commune de décès :Saint-Pol-de-Léon
Pays de décès :FRANCE
Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE Laurent Laloup le mardi 02 mars 2021 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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•Revue de la Fondation de la France Libre n° 57 – septembre 2015 pdf
"... Maurice prévint rapidement Robert Moguérou et Charles Mériadec, et tous les trois partirent en direction de Cholet. Maurice n’ayant pas osé prévenir son père, il lui posta uniquement une lettre pour l’avertir de son entreprise d’évasion, la première. Arrivés à Cholet, ils se retrouvèrent à huit pour ce départ pour l’aventure au travers des Pyrénées. En passant par Poitiers, lors du franchissement de la ligne de démarcation entre Saint-Secondin et Gençay, contrôlés par des soldats français, ils indiquèrent qu’ils voulaient s’engager dans l’armée d’armistice et arrivèrent à Port-Vendres qu’ils quittèrent le 20 février 1941 pour Collioure, où ils trouvèrent un jeune passeur qui les emmena jusqu’à la frontière orientale espagnole. Mission accomplie, celui-ci les laissa descendre le versant abrupt de la montagne. Il ne fallut pas beaucoup de temps pour que nos huit aventuriers soient bientôt repérés et arrêtés par la Guardia Civile et acheminés à la prison de Figueras, où ils restèrent du 23 février au 8 avril 1941.
Depuis leur geôle espagnole, et avant de repartir menottés pour la France avec en prime un bon sermon du consul de France, une condamnation par le tribunal de Céret à un mois de prison ferme, cent francs d’amende et la promesse faite aux autorités vichystes par leurs parents qu’ils ne recommenceraient plus, [...] Charles Mériadec († 29 février 1979), autre signataire de la lettre au général de Gaulle, réussit sa seconde évasion depuis Carantec le 7 juin 1943 à bord du SaintYves, sablier de 11 mètres des chantiers Sibiril. Arrivé à Fowey après une traversée de 28 heures, il s’engage dans les FAFL le 12 juillet 1943. Affecté au 1er BIA, 4e SAS, il est parachuté en Bretagne le 13 juin 1944 pour la mission Dingson puis effectue la mission Spenser du 26 août au 14 septembre 1944, avant d’être blessé à Sancerre." laurent le dimanche 17 janvier 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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ÉVASION PAR MER DE CARANTEC (29 - Finistère) Charles MÉRIADEC a rejoint la Grande-Bretagne à bord du "SAINT-YVES".
Ce bateau parti de CARANTEC (29 - Finistère) le 07 juin 1943, transportait 20 personnes : Olivier LE BORGNE (skipper, de CARANTEC), Pierre LE DUC (de CARANTEC), René PERSON (de CARANTEC), Alain HERRY (de CARANTEC), son frère Pierre HERRY (originaire de CARANTEC mais habitant à PLABENNEC - 29), Jacques JAMET (de CARANTEC), Albert KÉROULLÉ (de CARANTEC), Ernest LÉON (de CARANTEC), Félix PERRIN (de CARANTEC), Didier PAUGAM (de CARANTEC), Alain CLÉDIC (de CARANTEC), Hervé QUÉRÉ (de CARANTEC), Bertrand de KERMERC'HOU de KÉRAUTEM (médecin à CARANTEC), Jean KERLEROUX (de CARANTEC), François MOGUÉROU (de CARANTEC), Louis GALLIOU (de CARANTEC), Olivier GUIVARCH (de SIBIRIL - 29), Charles MÉRIADEC (de SAINT-POL-DE-LÉON), Gervais PERSON (de PLABENNEC), et semble-t-il un nommé Jacques BATAILLE.
Nous n'avons malheureusement aucune information relative à Jacques BATAILLE. Pascal MESSAGER - Musée maritime de CARANTEC (29) le dimanche 03 octobre 2010 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Revue de la France Libre N° 310 - 4" trimestre 2000 " Le SAINT-YVES, sablier de 13 mètres, parti le 7 juin 1943, avec 24 évadés, par vent de sud ouest et brume, arrivé à Fowey après 28 heures de navigation. Il transportait des documents et du courrier pour les services secrets alliés. Le bateau était commandé par Olivier Le Borgne : Bataille, Alain Cledic, Bertrand de Keratem, Louis Galliou, Olivier Guivarch, Alain Herry, Pierre Herry, Jacques Jamet, Jean Kerleroux, Albert Kéroulé, Pierre Le Duc, Ernest Léon, Charles Mériadec, François Moguerou, Didier Paugam, Félix Perrin, Gervais Person, René Person et Hervé Quéré. Il manque le nom de sept autres évadés volontaires pour la France Libre." laurent le mercredi 19 août 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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" Composition du 1er Squadron
Capitaine Larralde
Lieutenant Bodolec
Lieutenant Mairet
S/Lieutenant Lesecq
S/Lieutenant Varnier
Aspirant Schweirer
Sergent Brunet
Sergent Hentschké
Sergent Josse
Sergent Judet
Sergent Le Gras
Sergent Lobrot
Sergent Prédali
Sergent Reinhart
Sergent Schank
Sergent Vacher
Caporal Chef Eschenlohr
Caporal/C Hartmanshenn
Caporal/C Le Berrigaud
Caporal/C Le Meur
Caporal/C Meunier
Caporal/C Olivier
Caporal/C Perlès
Caporal/C Plat
Caporal Amiel
Caporal Berthelot
Caporal Estève
Caporal Guéguen
Caporal Hénin (radio)
Caporal Lach
Caporal Le Saux
Caporal Albert
Caporal Marconi
Caporal Meriadec
Caporal Muller
Caporal Philippon
Caporal Quittelier
Caporal Rufenacht
Caporal Urbain
Parachutiste Bégue , Bernard , Billon , Bourdy , Chambe , Chemin , Guégan , Le Citol , Le Goudiveze , Moiroux , Terrisse" Laurent Laloup le mercredi 01 octobre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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"Avec le recul, je regrette de ne pas avoir rejoint l’Angleterre par bateau, comme le firent jusqu’à la fin 43, de nombreux jeunes hommes du coin, dont mon cousin Charlot Meriadec. Je manquai sans doute de culot mais aussi d’occasions. Car ces opérations (souvent organisées à Carantec) ne bénéficiaient évidemment pas d’une grande publicité ! Pour ne pas les compromettre, les copains et leurs familles étaient tenus à la plus grande discrétion. Les traversées et leur succès n’étaient connus qu’après coup."
aventuresdupetitleonard.blogs.letelegramme.com L. Laloup le lundi 31 mars 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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