Marcel Alphonse Marie Ardant - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Marcel Alphonse Marie Ardant



Naissance : 15 juillet 1897 - Paris 16e

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Orient

Engagement dans la France Libre : Nlle Caledonie en octobre 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient /

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine

Décès à 65 ans - 13 juin 1963 - Bastia, Corse

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 16363

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 1873

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Acte de naissance

Peut être ADRIANI Faustine - Calvi 09/04/1902 - Ajaccio 18/03/1991



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Jacques Ghémard le jeudi 18 septembre 2025 - Demander un contact

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Archives de Paris
Fiche matricule 1081
Marcel Alphonse Marie Ardant
Né à Paris 10

Laurent Laloup le jeudi 05 août 2021 - Demander un contact

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Réponse :

Taille 1m81 ce qui devrait permettre de le distinguer sur les photos

Mais je n'ai pas trouvé son acte de naissance à Paris 10e ... en fait 16e !


Tahiti 40 | Émile de Curton

"...Grand dîner en compagnie du Procureur de la République Ardant, troisième personnage de la Colonie, du docteur Alain, chef du service de santé, d’officiers du Ville d’Amiens, d’autres médecins et fonctionnaires amis des Breuhl. Marc, trente ans plus tard, se souvient de ce dîner : « La première partie du repas s’était déroulée sans incident, lorsque Madame Breuhl se tournant brusquement vers le docteur de Curton lui dit à brûle-pourpoint : « Et bien docteur, il paraît que vous en faites de belles à l’Assemblée ! »… Le silence s’établit immédiatement, les visages changent ; la maîtresse de maison, consciente d’une gaffe, s’efforce de rétablir l’atmosphère, son mari plaisante, mais nous sentons qu’il s’est passé quelque chose ; personnellement je sens la gêne mais n’y comprends rien. Enfin le dîner se termine, il y a de nombreux apartés et une séparation générale plus rapide que prévu. Quelques jours après nous apprenions que la révolution pacifique avait eu lieu et que le docteur de Curton, Sénac et Gilbert en étaient les principaux auteurs »...."

laurent le mardi 02 février 2016 - Demander un contact

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LE BATAILLON DES GUITARISTES , de BROCHE Francois

"Comme tous les êtres faibles, qu'un supplément de responsabilités accable et affole, le gouverneur-intendant tirait les plans d'une action où, paradoxalement, il assumerait le premier rôle tout en partageant un pouvoir suprême qu'il était bien incapable d'exercer seul. Il n'aimait guère Sénac, de Curton et Jean Gilbert : il les savait plus intelligents que lui, avides de pouvoir. Il s'en méfiait. Il aurait bien voulu les éliminer, mais sans recourir à l'épreuve de force. Il était conscient que l'investiture officielle du chef de la France libre lui donnait une sorte d'auréole, mais il comprenait que son insuffisance ne tarderait pas à éclater. Ce jour-là, Sénac et ses associés ne feraient de lui qu'une bouchée.
C'est alors qu'il se rapprocha de Marcel Ardant.
Massif, frisant la corpulence, mais exhalant un sérieux et une énergie qui le rendaient à la fois redoutable et rassurant, l'homme avait un verbe facile, précis et austère. Il était l'adjoint du chef de l'armée, mais sans cesser pour autant de garder sa qualité de fonc­tionnaire le plus ancien de la Colonie, et le plus élevé en grade, après le secrétaire général. L'intendant Mansard imaginait assez bien que le capitaine-procureur, en sa double qualité, pût faire figure de protecteur du gouvernement afin de contrecarrer l'influence de plus en plus pesante des jeunes loups. Pour éviter, par exemple, des mesures regrettables comme l'expulsion du commandant Alain. Tout cela manquait de netteté, mais Marcel Ardant crut devoir prêter à ces projets une oreille complaisante.
La décision au sujet d'Alain fut prise le 16 septembre. « Consi­dérant, disait le texte, qu'il ne reconnaît pas l'autorité du gouver­nement établi et qu'il groupe des résistances contre ce gouvernement, le médecin-commandant est remis, avec sa femme, à la disposition de Vichy. » II embarquerait sur le Ville-d'Amiens, ainsi que le chef du service des Travaux publics, Breulh, le 18 septembre."

Laurent Laloup le mardi 03 mars 2009 - Demander un contact

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Marcel Ardant

JO de la France Libre du 8 décembre 42 :

Président du tribunal d'appel de Papeete

Laurent Laloup le samedi 15 novembre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 18 septembre 2025

 

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