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François La Cloche de Vallombreuse

François La Cloche de Vallombreuse - son Livre ouvert !
 

Carte de visite

Bonjour
J’ai dans les archives personnelles une carte de visite adressée à mon père Pierre Duvigneau officier dans l’armée de l’air. Malheureusement il n’y a pas de date. La teneur du message sous entend la remise d’une lettre
Peut-être une lettre de félicitations !!

Carole Duvigneau le lundi 31 mai 2021 - Demander un contact

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Jour de décès : 06
Mois de décès : 08
Année de décès : 2011
Code insee deces : 64102
Commune de décès : Bayonne
Pays de décès : FRANCE

Fichiers des personnes décédées établi par l'INSEE

Laurent Laloup le mardi 09 février 2021 - Demander un contact

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Extrait matricule FAFL

LACLOCHE François
… et sa fiche était mal classée dans l’épais dossier de la lettre La.
La ligne de la matricule, du moins l'exemplaire en ma possession, est loin d'être renseignée :
- 35.849 - LACLOCHE François - 11.1.24.
C'est tout.
Et on s’aperçoit que le cadet, François, né réellement le 11 avril 1926, est devenu l'aîné, ce qui confirme bien l'anecdote citée dans le récit mis en ligne dans la fiche de son frère Jean-Pierre.

NB : les dates de naissances, et lieux parfois, figurant dans les différentes matricules et mentionnés d'après la déclaration verbale des intéressés, sont parfois "fantaisistes" comme on le sait avec certitude pour quelques FAFL célèbres mais, faute de document d'état-civil, on est bien obligé de les prendre en compte... telles qu'elles sont et telles qu’elles l’ont été par les autorités de la France libre !

MORIEULT Yves le mardi 16 février 2016

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Matricule

Enregistré FAFL avec n°35.849 en date du 2 mars 1943.

Bertrand H le lundi 15 février 2016 - Demander un contact

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Mort en août 2011

"Publié dans Sud Ouest le 10 août 2011
Pierre et Hélène de VALLOMBREUSE
ont la douleur de vous faire part de la disparition de
François La CLOCHE de VALLOMBREUSE,
combattant de la France libre.
Qu'il repose en paix.
Lieux de résidence: Biarritz

Jacques Ghémard le lundi 15 février 2016 - Demander un contact

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découverte minime mais touchante

En classant les papiers de mon oncle , j ai découvert une simple carte de vêtements et d articles textiles ayant appartenu à m François La cloche né le 11 avril 1926 à Neuilly et demeurant en août 1945 44 rue de bac à Paris.On y trouve des bons d achat de vêtements avec une équivalence en points !
Je peux l adresser si besoin.impressionnant cet homme ...

ravetta jérôme le lundi 16 février 2015 - Demander un contact

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hommage d'un peintre

Je viens seulement aujourd'hui d'apprendre... Je ne voulais pas savoir... Il m'avait prévenu. Je n'avais pas les moyens de revenir le voir. Surtout pas le courage de le décevoir... Alors que maintenant, j'ai beaucoup progressé dans le sens qui voulait,je voulais lui dire... Il m'en voulait de laisser passer ma chance, mais j'avais si peur de n'être pas à la hauteur.
Aujourd'hui, on me prend au sérieux, je le lui doit.

François m'a montré le vrai chemin du peintre,donné la force de mon indépendance,son regard sur la médiocrité,sa façon de faire la part des choses, de savoir ce qui est grand, son amour de la vie, je le vénère. Ce qu'il m'a montré, personne ne le peut.
Il restera la plus grande rencontre de ma vie.
J'aurais tellement voulu que l'on raconte sa grande aventure dans un grand livre, le peu que je sais est déjà grandiose.
Il est si discret.
Je suis maintenant un artiste peintre orphelin.
Mais j'arrête de me plaindre et je pense à sa famille et à ses proches, un si grand homme.
Il me reste sa géniale Fantaisie, et à toujours l'apprendre,j'espère qu'à vous aussi.

Mon témoignage est peut-être ridiculement tardif et insignifiant, mais veuillez m'en excuser, j'en avais besoin. Merci de bien vouloir l'accueillir. Je m'en vais faire une toile pour lui.Je n'ai pas d'image sous la main, j'en enverrai une.

Respectueusement,

Alexandre Akar
artiste peintre
www.akar-alexandre.eu

Alexandre Akar le mercredi 25 janvier 2012 - Demander un contact

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Condoleance

bonjour,

c'est avec tristesse que j'ai appris la disparition du Capitaine Francois Lacloche de Vallombreuse.

Je voudrais me joindre en pensee avec sa famille.

Paramicalement

Gilles Varette

Gilles Varette le mercredi 10 août 2011 - Demander un contact

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Lacloche de Vallombreuse

"...Est-ce parce que chez les De La Cloche de Vallombreuse, natifs du pays Basque, on est héros de père en fils ? Que le grand-père, Henri, fut aviateur lors de la Première Guerre mondiale, puis brigadiste et grand résistant ? Est-ce parce que le père, François, fut para-commando SAS à l’âge de 15 ans, puis un peu aventurier gaulliste et un peu espion ? à 22 ans, Pierre, lui, se retrouve à Bornéo, sur les traces d’une tribu de coupeurs de têtes. Démarche anachronique quand les années 80 font la fête au virtuel.
..."

www.amateur-idees.fr 

Laurent Laloup le mercredi 18 mars 2009 - Demander un contact

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SOUVENIR

Mémoire de la Résistance

Au cours de leur dernière réunion mensuelle, les membres de l'association « Mémoire et souvenir de la Résistance du pays de Montbéliard et du Lomont », qui se sont retrouvés au centre culturel de Mandeure autour de leur président, le colonel Guy Baguerey, ont élaboré le programme de la marche du souvenir et de la mémoire qui aura lieu le 8 septembre prochain. Une cérémonie patriotique aura lieu de 17 h à 17 h 45 devant le monument de la résistance du Lomont. La marche se déroulera dès de début de l'après-midi. Deux départs sont ainsi prévus à partir de 13 h à Roide (commune d'Autechaux-Roide), sur la départementale 73 : le premier de 11 km pour les marcheurs, le seconde de 6 km pour les promeneurs. Tout au long de ces deux parcours, des « points de mémoire » seront à la disposition des marcheurs. Ils seront tenus par d'anciens résistants qui donneront des explications sur les combats, auxquels ils ont participé, qui se sont déroulés à ces endroits dans le courant de l'été et de l'automne 1944.

Émotion et félicitations
Au cours de cette réunion, le colonel Baguerey a adressé ses félicitations au professeur Marandin et aux lauréats du collège des Quatre-Terres d'Hérimoncourt pour le premier prix individuel de Simon Daval et le premier prix collectif des collèges au concours de la résistance et de la déportation. Les collégiens ont reçu leurs prix dernièrement à la préfecture de mains des anciens résistants et FFI, MM. Spéri, Miny et du colonel Baguerey. Il y a quelques jours, M.M. Baguerey et Vurpillot sont également intervenus, à la demande des responsables, au cours d'une soirée feu de camp, dans un camp des scouts de Saint-Benoît de Rungis en vacances à Ecurcey. Cette association, qui pratique le scoutisme, avait choisi la région montbéliardaise pour effectuer son camp d'été sur le thème de la résistance en Franche-Comté. Il y a quelques jours, un émouvant pèlerinage s'est déroulé au Lomont, sur les lieux des combats, le parachutiste Lacloche de Vallombreuse a parcouru avec les membres de sa famille les chemins et sentiers qu'il avait arpentés dans des circonstances dramatiques, trois résistants ayant trouvé la mort en ces lieux.

Claude Barth

© Le Pays - 21.07.2002 

Laurent Laloup le mercredi 18 mars 2009 - Demander un contact

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Extrait de www.grandcolombier.com  

L'aventure des Frères Lacloche de Vallombreuse

En novembre 1941, dans son collège, le junior, François, apprend qu'une équipe du sous-marin Surcouf va disputer dans les parages un match de football avec ses confrères britanniques, au profit des üuvres des Forces Françaises Libres. Il s'empresse d'y assister et demande à l'un des matelots la filière à suivre pour s'engager. Celui-ci répond tout simplement : "Petit, va voir le commandant Quedrue à Montréal".

Diable ! Comment faire pour échapper à son école et passer au Canada sans papiers d'identité. Un copain consulté lui propose son permis de conduire. Le signalement correspond au sien et la photo n'est pas exigée. Bonne aubaine !

François quitte l'école le samedi matin, prend le train pour Boston puis l'avion pour le Canada. A la frontière, le contrôle policier est sérieux car à cette époque les USA sont entrés en guerre aux côtés des Alliés.

Arrivé à Montréal, François s'est présenté au Cdt Quedrue, "petit, je te trouve un peu maigrichon et vais te faire passer un examen médical". Soit, le verdict est favorable et le candidat retenu.

(...)

Les réputés services de sécurité de la Grande-Bretagne ne les ont point vus. Ils partiront par chemin de fer à Londres, but de leur Odyssée. On leur a conseillé d'aller, à l'arrivée, au centre d'accueil F.F.L. qui doit les prendre matériellement en charge. Ainsi sera fait. Le directeur (commandant Denery) alerte aussitôt de Gaulle. Le général négociera avec leur mère et lui proposera de les envoyer tous deux à l'école des cadets. Mme Mère répondra : "D'accord pour François, pas d'accord pour Jean-Pierre" (qu'elle veut revoir aux Etats-Unis). Le général, fort agacé, conclura : "Finie la comédie ! Je les expédie tous deux à l'École des Cadets !".

Hélas ! François n'apprécie guère cette école dont il a peine à suivre les cours trop ardus ; seuls les séances de préparation militaire l'intéressent.

L'idée lui vient de se confesser à un ami de sa famille, Jean d'Aster de la Vigerie (de l'escadrille Lorraine) qui après mûre réflexion propose : "On va changer ton âge et tes papiers : tu auras dix-huit ans et seras incorporable dans les paras".

Les deux frères Lacloche seront envoyés à Camberley où les adoptera un chef de premier plan, le capitaine parachutiste Marienne, fraîchement sorti du cachot des condamnés à mort de Meknès (Maroc).

"Bien jeunes certes, mais si ardents, dira-t-il bientôt. Je sais que je pourrai compter sur eux !".

Extrait du livre d'Henri Déplante, Les Compagnons du Clair de Lune. Gardanne, 1984.
Permission obtenue de Monsieur François La Cloche de Vallombreuse.

Laurent Laloup le jeudi 18 janvier 2007 - Demander un contact

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