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| Edgard Alphonse Tupët Thomé | |
Naissance : 19 avril 1920 - Bourg la Reine (92)
Activité antérieure : agriculteur
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en avril 1941
Affectation principale : FAFL / BCRA
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Décès à 100 ans - 9 septembre 2020 - Paris 7e" Le 1er avril 1941, Edgard Tupët devient, avec quatre camarades de résistance (Mangin, Warin, Tavian et Maurice Andlauer), le premier engagé militaire secret dans les Forces françaises libres"
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 295734 / GR 16 P 570186
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 50622 |
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Edgard Alphonse Tupët Thomé - son Livre ouvert !
Entrée dans la famille des Compagnons Cher Edgar,
Chère Geneviève,
A la suite de notre visite à Binic où vous nous avez reçus, Marie-Chrisitine et moi en souvenir de Roger, nous voulons vous redire toute notre amicale affection pour ce moment que je qualifierai "d'intimité familiale" tellement nous nous sentons proches de vous par le coeur et la pensée.
Binic restera gravé dans nos mémoires comme un témoignage vivant de votre glorieux passé.
Bien affectueusement à vous.
Jacques de La Grandière. 
Jacques de La Grandière le mercredi 02 décembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution Réponse : Roger de la Grandiere 
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Feux et lumière sur ma trace (Faits de guerre et de paix) du Colonel Pierre Chateau-Jobert " Je fus aussi surpris que tout autre, le 6 juin (1944) au matin, d'apprendre que le débarquement des Alliés était en cours d'exécution en Normandie, et très étonné également de savoir que le gros du 2e SAS (quatre cents hommes environ) avait été largué dans la nuit eur le Morbihan. Le secret des opérations était bien conservé : chacun ne connaissait que ce qui le concernait personnellement.
Peu de temps après, mes deux premières équipes furent parachutées dans le Finistère, le lieutenant Tupé-Thomé dans la région de Plougastel-Landerneau, et le lieutenant Quélen près de Morlaix dont il était originaire comme moi-même. " Laurent Laloup le dimanche 24 mai 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Mémoires du chef des services secrets de la France libre", colonel PASSY, ed. Odile Jacob " Dans la nuit du 8 au 9 décembre, nous parachutâmes le lieutenant Tupet (pseudo Tom) et son radio Piet (pseudo Tom W.) pour la mission "God» qui devait reprendre contact avec Cip. Mais ce dernier joua une fois de plus de malheur, car le parachute de Tom ne s'ouvrit qu'à quelques mètres du sol et celui-ci tomba sur la tête... ce qui lui fit perdre jusqu'au souvenir de la mission qu'il venait accomplir. Quant à Tom W., il se brisa une cheville à l'atterrissage, restant de ce fait indisponible pour plusieurs mois." Laurent Laloup le dimanche 25 janvier 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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je vous en felicite! Cher M. Edgard THOME,
J'ai lu et relu plusieurs fois et je lis periodiquemment votre livre MISIUNE SPECIALĂ. 1940-1945. Epopeea unui paraşutist în Franţa ocupată (c'est a dire, la traduction en roumain, 1986, du volume "Special air service". 1940-1945. L'epopee d'un parachutiste en France occupee).
L'esprit qui vous anime reste un exemple pour tous. Esperons que l'amour de la patrie et de la liberte restera toujours parmi les idees les plus chers a l'homme.
Noel 2008, Iaşi, Roumanie
prof.dr. Ioan Răducea
petit-neveu d'un ancien combattant, tue par les Allemands en 1917, Bataille de Mărăşti. Ioan Raducea le jeudi 25 décembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Edgard Tupet Thome ? Revue de la Fondation de la France Libre N°29 de septembre 2008 :
"Au début de 1943, le bataillon est envoyé par voie ferrée au camp de Fort-Dix, dans le New-Jersey, où il arrive le 11 janvier et poursuit son instruction.
Il comprend 3 compagnies de fusiliers-voltigeurs et une compagnie hors-rang, commandées par trois caporaux-chefs et un sergent. Sans armes, ni sacs, ni équipements, les hommes portent la tenue américaine. A la fin du mois, 150 volontaires en provenance de la Dominique viennent renforcer le détachement, ainsi que quelques dizaines de Syriens et de Sud-Américains. Le détachement des forces terrestres à Saint-Pierre-et-Miquelon, comprenant 2 officiers et 8 sous-officiers, prévu à l'origine pour l'encadrement d'un commando composé de Saint-Pierrais, est également affecté au bataillon des Antilles, en attendant l'arrivée de cadres définitifs, jusqu'à son rattachement à la 1ère DFL en septembre 1943.
En février 1943, une compagnie est supprimée, et ses hommes se répartissent entre les deux autres ; le bataillon est ainsi constitué de deux compagnies de 175 hommes, la 1ère compagnie du lieutenant Mangin et la 2e compagnie du lieutenant Thomé, que complète la compagnie hors-cadre du lieutenant Roucart, comprenant 50 cuisiniers, dont une fraction des effectifs a été répartie dans les autres unités. Enfin quelques dizaines d'hommes - notamment des Syriens et des Sud-Américains - obtiennent l'autorisation de s'engager dans la marine marchande de divers pays alliés. En mars, le chef de bataillon Sarrat, évadé des Antilles, prend le commandement du bataillon pendant une quinzaine de jours, tandis que le capitaine Alcan est capitaine adjudant-major. En avril, le chef de bataillon Dreanno arrive de Londres avec plusieurs sous-officiers, notamment l'adjudant-chef Soûler et le sergent-chef Proust, et prend à son tour le commandement du bataillon." Laurent Laloup le samedi 01 novembre 2008 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" Commune de Ménétréols-sous-Vatan
Dans la nuit du 1er au 2 mars 1942, dans le cadre de l’opération CREME, le Lysander du lieutenant Guy Lockhart se pose sur la commune de Ménétréols-sous-Vatan (Indre), à sept kilomètres et demi au sud de l’agglomération de Vatan, à deux kilomètres et demi à l’ouest du domaine de Villeneuve et à vol d’oiseau à deux kilomètres au nord-ouest du domaine des Lagnys qui est situé sur la commune de Saint-Valentin. Il vient prendre deux passagers : Stanislas Mangin et Louis Andlauer et laisse un paquet. C’est Jean Faillon, l’exploitant du domaine des Lagnys, qui hébergea les deux hommes avant leur départ. L’opération de la nuit du 1er au 2 mars 1942 fut organisée pour le compte du réseau “Ali-Tyr ”, une des ramifications du réseau “Ronald ”.
Dans le même secteur, le terrain “Faucon ” est utilisé dans la nuit du 26 au 27 avril 1942 par le lieutenant Guy Lockhart dans le cadre de l’opération GAZELLE toujours pour le compte du réseau “Ali-Tir ”. L’opération est demandée par Edgart Tupet, mais c’est Gaston Tavian (alias “Collin ”) qui assure la réception au sol alors qu’il n’a reçu aucune formation. Le Lysander amène un passager Pierre Beech (alias “Gazelle ”) qui vient rejoindre le réseau “Ali-Tir ” comme opérateur-radio et repart avec deux agents : Gaston Tavian lui même et le lieutenant de vaisseau Mariotti (alias “Rousseau ”).
Cette opération faillit tourner à la catastrophe comme l’indique le pilote Guy Lockhart : “Malheureusement le terrain d’atterrissage était sur une éminence et je fis un bond. Le moteur commençait à brûler. Je coupai le contact... ... au bout de six à sept minutes les flammes s’éteignaient. Je remis le moteur en marche et roulait jusqu’à la lumière A ”. Après cet incident toute demande de réception d’un vol par un agent non formé préalablement en Angleterre fut refusée. Gaston Tavian une fois formé revint aux Lagnys lors de l’opération SHRIMP dans la nuit du 29 au 30 mai 1942.
Lors de cette nuit du 29 au 30 mai 1942, le Lysander piloté par le commandant Alan Murphy dépose outre Gaston Tavian, également Jacques Pain et embarque Edgard Thome (alias “Tupet ”), et Philippe Roques.
Dans la nuit du 18 au 19 novembre 1942 la première tentative de doublé Lysander fut tentée en direction du terrain des Lagnys. Mais les Lysander ne purent se suivre dans les nuages et l’opération fut annulée.
Dans la nuit du 22 au 23 novembre 1942 les deux Lysander du lieutenant-colonel Charles Pickard et du capitaine John Bridger dans le cadre de l’opération SKATE/SQUID déposent deux agents : Lardy et Denviollet (un opérateur-radio devant assister Jean Moulin) et en embarquent trois : Gaston Tavian (alias “Collin ”), Georges Descroizette et Philippe Serra (alias “ Morisot ”). C’est le premier doublé Lysander officiellement réussi.
Nuit du 2 à 3 mars 1944 reprise des opérations sur le terrain, cette fois pour le compte du réseau Mithridate. Le Lysander piloté par le capitaine Murray Anderson dans le cadre de l’opération GITANE dépose deux passagers W.-J. Savy, Eileen Nearne et en prend deux Georges Lovinfosse et Maurice Durieux."
www.deols-tourisme.fr Laurent Laloup le mardi 02 septembre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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" Les S.A.S feront jonction avec les F.F.I du "Maquis de St-Laurent" à Plouegat-Guérand et ceux du mouvement "Libération Nord".
Les D.Z se situent respectivement à:
- Derry 1 : Ploudaniel -sticks Cne Sicaud, S/lt Duno,S/lt Rosset-, Lanhouarneau- stick S/lt Puydupin (Trofagan), vers Gouenou -stick S/Lt Gourkow-
- Derry 2 : St-Jean du Doigt -stick Lt Quelen-
- Derry 3 : Langristin-Kerneis à proximité de Plouvenez-Lochrist --stick S/lt Anspach- à cause d'une erreur de navigation due aux tirs de D.C.A et Lesneven, St-Urbain (Runaher) -stick Lt Tupet Thomé- à cause d'une erreur de largage de 10 kms environ par rapport à la D.Z prévue."
souvenirsas.ifrance.com Laurent Laloup le vendredi 20 juin 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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"ALI, affecté aux renseignements eut pour chefs, successivement Wybot (pseudo Ronald), d’avril à octobre 1941; Mangin (pseudo Pierre), d’octobre 1941 à février 1942; Andlauer (pseudo Antoine) de février à décembre 1942 tandis que TIR, branche Action du réseau eut pour chefs Tupet (pseudo Thome), de novembre 1941 à avril 1942 et Tavian (pseudo Collin) d’avril à décembre 1942. ALI-TIR mit sur pied d’autres réseaux qui finalement furent mis en rapport avec Londres. Ce furent : Roques Philippe (alias Rondeau) et Augure; Thermopyle (alias Groland), remplacé après son arrestation par Pignaniol; Fabre, rattaché à Phalanx (alias Garnier) et Christian Pineau; Peretti, réseau Ajax; Bornier, dit Bouche, réseau Sal; Raimondi, réseau Rud Corse; Jean Charron, dit Rocher, réseau Dur. Dès août 1941, ALI-TIR eut des relations par radio avec le B.C.R.A. et entre novembre 1941 et novembre 1942 eut à son actif neuf opérations aériennes dont trois parachutages d’hommes et de matériel et six atterrissages comportant des réceptions et des départs d’agents. Sur un effectif de 75 agents, quatre furent tués, cinq furent déportés et un mourut en déportation."
www.france-libre.net Laurent Laloup le mercredi 29 août 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Livre : " L'auteur, compagnon de la libération, nous raconte dans un récit extraordinaire, sa défaite en 1940 au 8ème régiment de zouaves et surtout sa rebellion, son engagement dans la France Libre, BCRA puis SAS...
Un récit remarquable, très bien écrit et malheureusement dur à trouver.
Bonne recherche et bonne lecture
Steph "
www.livresdeguerre.net Laurent Laloup le samedi 18 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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