| | | | | Un Français Libre parmi 62977 | | | Jean Marie Henri Ruamps | |
Naissance : 7 mai 1906 - Caussade (82)
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : AEF en aout 1940
Affectation principale : FAFL / Bretagne
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant
Décès à 79 ans - 22 octobre 1985 - Toulon (83)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 527052
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 45582 |
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Jean Marie Henri Ruamps - son Livre ouvert ! Décorations et insignes mis en vente à Drouot en 2009 Croix de chevalier de la Légion d'honneur
Croix de guerre 1939-1940 avec deux étoiles;
Médaille de la Résistance (D 14/06/1946, JO 11/07/1946)
Médaille coloniale agrafes "Afrique Equatoriale Française" et "Fezzan"
Croix d'officier de l'Étoile noire du Bénin
Médaille commémorative 1939-1945 agrafe "ENGAGÉ VOLONTAIRE" (en réduction)
Insigne des FAFL numéroté au revers 8335;
Insigne des Forces Françaises Libres n°39482
Médaille de table en bronze patiné de l'association des «Décorés de la Légion d'honneur au péril de leur vie», attribution gravée au revers «Jean RUAMPS» dans l'écrin nominatif (63 mm).
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LE BRETON Thierry le jeudi 27 août 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"Jean-Louis Reynaud, un autre Stéphanois, né le 31 octobre 1913, était observateur sur Glenn Martin au Groupe de bombardement 1/62. C’est avec le grade d’adjudant qu’il fut envoyé en renfort de Dakar à Libreville, lors de la campagne du Gabon. Le 25 octobre 1940, il fut blessé lors d’un combat mémorable contre un Potez 25 des FAFL, piloté par son compatriote le caporal Ruamps, avec le sous-lieutenant de réserve Guigonis comme observateur. Reynaud rejoignit le camp de la France Libre à la fin de la campagne du Gabon. Affecté sur Avro Anson à la base aérienne 173 de Pointe Noiren au groupe de reconnaissance maritime « Artois », il fut promu adjudant chef. Lors d’un exercice de largage de charges de profondeur, l’Avro Anson n°EG 359 du Groupe Arotis fut détruit par l’explosion prématurée de l’une de ces armes. L’avion tomba en mer, 20 km au large de Pointe Noire. Les cinq aviateurs disparurent en mer. C’était le 4 novembre 1943 et il n’y eut qu’un seul survivant. Pas l’adjudant chef Jean-Louis Reynaud, « Mort pour la France » en service aérien commandé et dont les eaux ont gardé la dépouille. "
www.forez-info.com landrieu le lundi 15 octobre 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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