Paul François Bernard Peyrusse - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Paul François Bernard Peyrusse



Naissance : 3 décembre 1911 - Pavie (32)

Point de départ vers la France Libre : Afrique

Engagement dans la France Libre : en novembre 1942

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM21

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : Capitaine

Décès à 89 ans - février 2001 - Foix, Ariège

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 473482

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 41339

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Paul François Bernard Peyrusse - son Livre ouvert !
 

Légende de la photo : "Fin juin 1944 Tarente (Cap R. Muller Cap Blay Méd Cap Peyrusse Cap R. Fournier)"
Source : famille Peyrusse

Laurent Laloup le mardi 16 juin 2009 - Demander un contact

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Paul Peyrusse

"Fin_juin_1944_Tarente"

Source : famille Peyrusse

Laurent Laloup le mardi 16 juin 2009 - Demander un contact

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Légende de la photo : "novembre 39 Djibouti infirmerie du stade Med Lt Juguet Mme Princival M Cap Filippi Père Louis MLt Peyrusse St Fouquet Zouin"

Source : famille Peyrusse



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Laurent Laloup le mardi 16 juin 2009 - Demander un contact

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Légende : "6 01 39 Port-said Dussol Peyrusse Lanlo Raynal Marchand Fayaud Oursel"
Source : famille Peyrusse



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Laurent Laloup le mardi 16 juin 2009 - Demander un contact

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"Le Service de santé de la France libre, de Guy Chauliac

"...Le 29 novembre 1942 le 1er bataillon de Tirailleurs Sénégalais sous le commandement du colonel RAYNAL prit l'initiative, 1 500 hommes, 40 officiers dont 2 médecins (les médecins Cne. JUGUET et le médecin Lt PEYRUSSE) franchirent la frontière en direction du Somaliland avec matériel et véhicules..."

Correction : Paul Peyrusse a corrigé cette information dans son exemplaire de l'ouvrage de Guy Chauliac. C'est avec Yann Goez qu'il franchit la frontière. (Source famille Peyrusse)

Laurent Laloup le samedi 28 mars 2009 - Demander un contact

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Paul Peyrusse

Source famille Peyrusse : remise légion d'honneur - janvier 1959 à Bordeaux.

Laurent Laloup le mercredi 11 février 2009 - Demander un contact

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Paul Peyrusse – 1911 – 2001

Source famille Peyrusse :

" Paul Peyrusse est né le 3 décembre 1911 à Pavie dans le Gers. Son père Alcide Peyrusse est tué en février 1916 sur le front du coté d’Arras. Il est alors élevé par sa mère, sa grand-mère et ses grandes sœurs. Bon élève et pupille de la nation, il va au lycée d’Auch, obtient le baccalauréat en 1929, il obtient un emploi dans une banque mais rapidement décide de reprendre ses études pour devenir médecin, sa volonté de voyager le conduit à choisir la médecine coloniale. En 1933 il est brillamment reçu au concours d’entrée à l’ Ecole Santé Navale à Bordeaux, il en est diplômé en décembre 1937 et rejoint l’école d’application des services de santé pour la médecine coloniale au Pharo à Marseille. Diplômé en septembre 1938, avec le grade de lieutenant, il est affecté au 8ième Régiment de Tirailleurs Sénégalais à Toulon en attendant son affectation outremer. Le 8ième RTS embarque pour Djibouti le 31 décembre 1938. Paul Peyrusse, nommé capitaine en septembre 1942, restera à Djibouti jusqu’en novembre 1942, date à laquelle, révolté par la passivité du pouvoir local resté fidèle à Vichy, il rejoint les Forces Françaises Libres.

Paul Peyrusse est alors le médecin du bataillon de marche BM21 de la 1 Division Française Libre, bataillon qu’il ne quittera pas jusqu’en avril 1945. En février 1943 avec les entités qui vont constituer le BM21 il embarque pour Suez, le camp de Tahag en Egypte avant d’être regroupé avec le reste de la 1er DFL à Nabeul en Tunisie après avoir traversé la Tripolitaine. Du 27 avril 1944 au 7 août 1944 il participe à la bataille d’Italie et en particulier aux combats du Mont Cassino où il obtient la Croix de Guerre lors de l’attaque de San Andrea.
Embarqué à Tarente le 7 août 1944 le BM21 participe au débarquement de Provence sur la plage de Cavalaire le 17 août 1944. C’est ensuite la libération de la France, Toulon, la vallée du Rhône et les batailles de Belfort et Colmar où Paul Peyrusse obtient une nouvelle citation. Il fait preuve de dévouement et de courage dans le fonctionnement de son poste de secours, poussant toujours de l’avant pour organiser au mieux l’évacuation des blessés, soutenant les combattants par ses fréquentes visites en première ligne.
Le BM21 termine la guerre avec la 1er DFL dans le massif de l’ Authion dans les Alpes du sud.

Après le 8 mai 1945 le BM21, avec d’autres bataillons, est regroupé au sein du 1er régiment d’infanterie coloniale en région parisienne. Paul Peyrusse se marie en avril 1946 et candidat à un poste dans les colonies il obtient en mai 1946 une première affectation à Brazzaville puis à Pointe Noire où il va rester jusqu’en janvier 1949. Il est nommé commandant des troupes coloniales. Retour à Bordeaux puis nouveau poste à Kindia et Conakry de décembre 1950 à décembre 1953. Après un nouveau séjour à Bordeaux et toujours candidat pour les colonies Paul Peyrusse est affecté à Fort Dauphin à Madagascar d’août 1955 à juin 1958. Paul Peyrusse est promu Lieutenant Colonel en avril 1957 et décoré de la légion d’honneur en décembre 1958.

Paul Peyrusse prend sa retraite militaire en avril 1960, il est alors médecin contrôleur à la DDASS à Foix en Ariège, il prend sa retraite en 1977.

Paul Peyrusse a eu six enfants et s’est éteint en février 2001 à Foix. "

photo : à l'école d'application à la médecine coloniale - Marseille 1938



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Laurent Laloup le mercredi 11 février 2009 - Demander un contact

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Paul Peyrusse

Le Service de santé de la France libre, de Guy Chauliac :

Matricule : 9671

Laurent Laloup le dimanche 01 février 2009 - Demander un contact

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Le Service de santé de la France libre, de Guy Chauliac

"Le BM SOMALI : dès janvier 1941, alors que la Côte Française des Somalis reste désespérément fidèle à Vichy, le détachement Somali-FFL est créé par le général CATROUX avec ceux qui refusent de se soumettre et ont passé la frontière. Le commandant APPERT et le capitaine MAGENDIE recueillent en Ethiopie les isolés européens et les tirailleurs évadés. Ils forment des Pelotons Méharistes et une compagnie qui cherchent à influencer la garnison à travers les postes frontières. Ayant réussi à cet effet, ils deviennent le « Corps Somali » à deux compagnies (Cne MAGENDIE et Cne MENEBOODE). Il leur faudra attendre jusqu'au 28 décembre 1942 pour réussir à rallier Djibouti grâce au BTS1 qui franchit la frontière et formera un bataillon Somali qui sera regroupé en mars 1943 à Sousse (Tunisie). Il fusionnera avec le BM14 et le BM15 pour former le Régiment AEF Somali (Cdt APPERT, Méd-Chef, Méd-Cdt BONNEFOND, Méd-Cne PEYRUSSE) qui ira combattre à la Pointe de Grave."

Laurent Laloup le dimanche 01 février 2009 - Demander un contact

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Le Service de santé de la France libre, de Guy Chauliac

" Le 29 novembre 1942 le 1er bataillon de Tirailleurs Sénégalais sous le commandement du colonel RAYNAL prit l'initiative, 1 500 hommes, 40 officiers dont 2 médecins (les médecins Cne. JUGUET et le médecin Lt PEYRUSSE) franchirent la frontière en direction du Somaliland avec matériel et véhicules. Le BTS 4 ne tarda pas à suivre.
A la suite de pourparlers entre l'envoyé de la France Libre M. CHANCEL, le général anglais FAWKS et le général DUPONT (ce dernier ne voulait accepter qu'un représentant des Nations Unies comme interlocuteur !) aboutirent au ralliement.
Les médecins n'avaient joué aucun rôle. Seul le médecin capitaine JUGUET était connu pour ses sentiments gaullistes et avait quitté Djibouti avec le colonel RAYNAL le 29 novembre 42 et le médecin lieutenant PEYRUSSE.
Le médecin colonel LEGENDRE avait disparu tragiquement. Le Lt-colonel LEITNER l'avait remplacé assurant en même temps la chirurgie à l'hôpital avec le médecin capitaine GOEY. Le médecin commandant Le BIHAN, les médecins Lt ou Capit MORET, REVAULT, TRICOTTET, BOUCHE, COLLOMB, PEYRUSSE et KERIGNARD étaient médecins de bataillon.
Le médecin capitaine René BOUCHE (Promo 1932) était arrivé en Côte Française des Somalis en 1938. Par suite de son ancienneté de séjour et peut-être du fait du peu d'enthousiasme qu'il manifestait en faveur du gouvernement de Vichy, il fut désigné en août 1942 pour Madagascar et embarqua sur le Croiseur auxiliaire « Bougainville » dont le médecin était MORETTI sorti de l'ESNC en 1937 dans la Marine. BOUCHE fit partie d'une unité motorisée qui fut opposée aux Anglais débarqués à Majunga. Les combats furent sévères et les Anglais utilisèrent même des obus au phosphore qui mirent le feu aux broussailles desséchées illuminant les collines. Son médecin adjoint, un Malgache, et un infirmier furent tués de même qu'un bon nombre de tirailleurs. Une partie des troupes adverses étaient des Zoulous encadrés par des Sud-Africains. Après avoir été médecin à Ambandja et Ambiloubé, BOUCHE partit en 1944 pour Alger sur le Croiseur Auxiliaire FFL « Néonia » en compagnie de son camarade de promotion KERIGNARD.
L'important réservoir d'hommes de la CFS allait permettre de constituer une brigade supplémentaire à la lre DFL, la 4e avec le colonel RAYNAL auquel succédera le colonel DELANGE. Elle comprendra les BM21 (Méd-Lt PEYRUSSE) et 24 (Méd. Capit JUGUET) anciens BTS12 et BTS4. Le BM24 restera en Syrie. Puis sera constitué le bataillon de Marche Somali (Méd. Capit REVAULT) qui avec le BM15 venu d'AEF à travers le Sahara et le BM14 venu par voie maritime et débarqué à Casablanca (brigade AEF - Cameroun du Cdt HOUS) formera le régiment AEF - SOMALI (Lt-col. APPERT) rassemblé à Antibes en décembre 1944. "

Laurent Laloup le dimanche 01 février 2009 - Demander un contact

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Revue de la Fondation de la France libre N°30 (décembre 2008)

"Parmi les membres des détachements d'isolés, on compte le lieutenant-colo­nel Roux et le lieutenant Guillon. Par ailleurs, le détachement comprend un service de santé sous les ordres du médecin-commandant Le Bihan, com­posé du commandant Ristorcelli, du capitaine Goëtz, du capitaine Peyrusse et du lieutenant Collomb."

Laurent Laloup le samedi 27 décembre 2008 - Demander un contact

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"Le Bataillon est commandé par le Chef de Bataillon Georges Raynal que l'on n'appelle pas encore « Rabastens » mais que nous retrouverons tout au long de l'histoire du Bataillon jusqu'à la fin de la guerre. Certains officiers y resteront constamment, comme le médecin Lieutenant Peyrusse et le Lieutenant Oursel ; d'autres comme le Capitaine Lanlo et le Lieutenant Fayaud rejoindront d'autres unités mais se retrouveront aux côtés du Bataillon au sein de la 1ère DFL, de même pour de nombreux sous-officiers et hommes de troupe."

www.francaislibres.net/ 

Laurent Laloup le mercredi 19 septembre 2007 - Demander un contact

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"Pour la majorité des évadés, l'école du Soldat est à faire entièrement. Elle se poursuit dans les centres d'organisation de l'Arme, par exemple celui du Génie à Port-Lyautey. Les autres, qui ont déjà tâté de l'Armée, doivent impérativement se recycler dans le matériel américain dont les forces françaises sont désormais pourvues. Les commandos, les parachutistes, les "Chocs" s'entraînent à Staouéli, près d'Alger, au Centre Spécial d'Organisation et d'Instruction des Unités légères d'Assaut et de Choc.

Dans les camps, les casernes et plus tard au cours des opérations de guerre, il n'est pas rare de trouver des compatriotes gersois, chevronnés de l'Armée d'Afrique ou ayant rallié les Forces Françaises Libres. On peut citer bien que la liste reste provisoire:

Pierre ADER d'Esclassan-Labastide (1er R.T.M.), Pierre BARTHE de Vic-Fezensac (1ère D.F.L.), Jacques BAUP de Vic-Fezensac (6ème R.C.A.), Armand BAURENS d'Auch (3ème Zouaves), Max BERNARD d'Auch (1er R.T.M.), André BRIOL d'Escorneboeuf (1er R.T.M.), Jean BRUNET de Saint-Jean-Poutge 19ème Génie), Pierre CHAINTRON de Simorre (médecin auxiliaire à la 1ère D.F.L.), Henri DAIGNAN d'Auch (R.A.C.M.); Jean-Louis DALLET de Pessan (Bataillon de Choc et d'Assautn°1), Jean-Marie DANDRAU d'Auch, André DARAN d'Auch (R.A.C.M.), Pierre DASTUGUE de Saramon (2ème D.B.), Aimé DUCOUSSO d'Ayzieu, Sébastien ERAS de Pavie (1er R.A.C.L.), Bernard FERRIS de Seissan (R.A.C. de L'Afrique Occidentale Française), Rachel FONTAINE de Saint-Puy (R.A.C.M.), Robert GABORIT de Lartigue (2ème D.B.), Georges LACOMME de Lombez (9ème Zouaves), Marcel LACOSTE de Fleurance (capitaine aviateur), Jacques LAFFITTE de Seissan, André LALANNE de Maulichères (13ème R.T.S.), Fernand LARRIEU de Riscle (Artillerie d'Afrique), Guy LATOUR de Saint-Jean-Le-Comtal (F.N.F.L.), Ebert MASTRON de Saint-Puy (Groupe de chasse 1/3), Marcel MESTRE d'Auch (67ème R.A.A.), Alcée NAZARIE de Lectoure (21ème R.I.C.M.), Jean PAILHES de Riscle, Edmond PELEGRIN de Jégun (5ème R.T.M.), Paul PEYRUSSE de Pavie (Médecin-capitaine à la 1ère D.F.L.), Roger PIQUEMAL, ancien élève du Lycée d'Auch (Tirailleurs Marocains), Marcel PONS d'Auch, François REMOND d'Auch (R.I.C.M.), Henri ROBERT de Riscle (8ème R.T.M.), André SAINT-GAUDENS d'Aurimont (1er R.T.M.), Henri SARNIGUET de Montesquiou (R.A.C.L.)."

www.gers.pref.gouv.fr 

Laurent Laloup le mercredi 19 septembre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mardi 16 juin 2009

 

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