Serge Neveu - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Serge Neveu



Naissance : 4 juin 1914 - Le Coudray (28) ou Paris

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / artillerie

A participé à la bataille de Bir Hakeim

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 442694

Dans la liste de Bir Hakeim : ligne 379

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 38490

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Au Jour le Jour à Bir Hakeim - Carnets et récits (via Florence Roumeguère – juin 2012)

"... À 22 heures, au moment du départ, la quatrième pièce nous rejoint enfin, conduite par son chef de pièce Neveu, un Parisien toujours de bonne humeur. Il prend sa place dans la colonne. La nuit est noire, c’est la nouvelle lune. Je marche à pied devant la colonne, la boussole à la main. Les chefs de voiture sont à pied pour guider les tracteurs, éviter les trous d’obus et les tranchées. Il s’agit de gagner la porte sud, point de rendez-vous..."

laurent le samedi 16 janvier 2016 - Demander un contact

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Bir Hakeim, par Daniel Dreyfous-Ducas www.france-libre.net 

"Tout le monde s’affaire, je fais distribuer un peu de thé qui reste. À 22 heures, au moment du départ, la quatrième pièce nous rejoint enfin, conduite par son chef de pièce Neveu, un Parisien toujours de bonne humeur. Il prend sa place dans la colonne. La nuit est noire, c’est la nouvelle lune. Je marche à pied devant la colonne, la boussole à la main. Les chefs de voiture sont à pied pour guider les tracteurs, éviter les trous d’obus et les tranchées."

laurent le jeudi 17 décembre 2015 - Demander un contact

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Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon

" Après le bain et une bonne sieste de plusieurs heures, nous remontons sur le plateau et la nuit totale nous surprend près d'une borne située à 10 km à l'ouest du point de rendez-vous, dans la région de GAMBUT. Nuit calme.
Dès l'aube chantante, déjà assis dans la voiture, le moteur en marche, TIRAIL­LEUR me crie :
«- Mon Capitaine, le Commandant derrière nous !»
Je descends vite et vois arriver la voiture de LAURENT-CHAMPROSAY qui s'ar­rête. Le Commandant en descend (avec le Lieutenant DENISSAC) et, d'une voix émue :
«- MORLON, encore perdu !»
«- Non, mon Commandant, voyez la borne près de laquelle nous avons dormi !>
Je lui dis ce que j'ai appris au point de ralliement. Son visage devient soucieux.
«- Suivez-moi, nous repartons.»
Un petit quart d'heure pour parcourir les 10 km qui nous restent à faire, et c'est l'arrivée au bivouac du régiment, ou tout au moins ce qu'il en reste.
LAURENT-CHAMPROSAY, pour se donner une contenance et cacher son émo­tion :
«- Voyez, je ramène MORLON qui était perdu.»
CHAVANAC, QUIROT, EMBERCER, PETITJEAN, DE LAROCHE, RAVIX, BO­RIS, NORDMANN, ROUILLON, quelques uns de mes sous-officiers : NAU, SALMON, NEVEU et d'autres, nous accueillent avec joie.
Et c'est le recensement des disparus qui, lui, n'est pas gai.
Pour la 4e batterie :
DE RAUVELIN et son ambulance, de BOURGET et CHEVALLIER, de BORNARD et de ses chefs de pièces, aucune nouvelle. DREYFOUS-DUCAS est passé à 837 légèrement blessé et a été évacué en ambulance. Le bilan de la batterie n'est pas réconfortant, loin de là !"

Laurent Laloup le jeudi 26 février 2009 - Demander un contact

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Serge Neveu ?

Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon :

"Pour BRICOGNE, le niveau intellectuel de mes canonniers malgaches est supé­rieur à celui des canonniers français. Au repos, les premiers lisent la Bible, les se-1 conds ne font rien s'il n'y a rien à boire. Quelques sous-officiers de valeur : les Maréchaux-des-Logis-chefs SALMON, chargé des tracteurs, et COHARD, le chef comptable, qui viennent des Tcherkesses, le Maréchal-des-Logis NEVEU venant d'ANGLETERRE, le Brigadier DELAY de l'artillerie coloniale. La batterie a un effec­tif de 116 rationnaires, dont 34 Français, 74 Malgaches et 8 Avenantaires (Libano-Syriens à statut spécial). Les Français sont désignés couramment sous le terme d'Européens (en opposition aux Africains et aux Asiatiques)."

Laurent Laloup le mercredi 25 février 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 16 janvier 2016

 

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