Lucien Louis Neuwirth - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Lucien Louis Neuwirth



Naissance : 18 mai 1924 - Saint-Etienne (42)

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Passage en Espagne : décembre 1942

Engagement dans la France Libre : Londres en juin 1943

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : caporal

Décès à 89 ans - 26 novembre 2013 - Paris 16e

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 442578

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 38476

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Lucien Louis Neuwirth - son Livre ouvert !
 

Titre : Journal officiel de la République française. Lois et décrets
Éditeur  : (Paris)
Date d'édition : 1947-07-19
Notice du catalogue :  

Laurent Laloup le jeudi 14 octobre 2021 - Demander un contact

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Avec de Gaulle, tome 1 De Fondation Charles de Gaulle



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Laurent Laloup le vendredi 26 juin 2020 - Demander un contact

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le choix de la liberté

J' admire votre parcours durant la WW2.

Bien que très jeune, vous avez su choisir une épopée qui n' avait pas de relent économique futur dans l' esprit de ses acteurs, la France Libre. Juste le choix de la liberté et du devoir.

Ce choix désintéréssé me laissera toujours pantois d' admiration.

J' envie beaucoup le parcours que vous avez vécu jusq'à la libération, bien que la souffrance due être souvent votre lot quotidien. Je suis beaucoup trop jeune pour avoir été contemporain de ces faits.

Je vous présente mes respects, Monsieur Neuwirth.

jlt

jean-luc tranchant le mercredi 10 novembre 2010 - Demander un contact

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" Un grand nombre de SAS (FAFL ou pas ?) dans le décret du 29 octobre 1946 - signé Georges BIDAULT - conférant la médaille des évadés avec attribution d'une lettre de félicitations (JORF du 13 décembre 1946 - pages G. 1639 et 1640 G)

ALSTEIN Maurice - caporal - 3 RCP
BACHUS Georges - sergent - 2 RCP
BARTHELEMY Charles-Auguste - sergent-chef - 2 RCP - 3 Squadron
BERNARD André - sergent - 2 RCP
BERNARD Robert - caporal - 2 RCP -
BERR Georges - capitaine - 2 RCP
BONNET Fernand - parachutiste de 1ère classe - mle 41.371 - 3 RCP
BOSC Jean-Pierre - sergent - 3 RCP
de CAMARET Michel-Marie-Pierre - lieutenant -2 RCP
CAUBLOT Georges - caporal - 2 RCP
COCHIN Denys-François - lieutenant - 2 RCP
CREAU Noël - caporal-chef - 2 RCP
ESCHENLOHR René-André - sergent -2 RCP
ESTEVE Victor - caporal - 2 RCP
FRANTZ Albert - soldat de 1ère classe - 2 RCP
GOETSCHY René - caporal - 3 RCP
HENIN Gilbert-René - caporal-chef - 2 RCP
LABORDERIE Jean-Pierre - caporal - mle 41.508 - 3 RCP
LACAZE Pierre - caporal - 2 RCP - 4° bataillon
LENGLET Paul - caporal-chef - 2 RCP
NEUWIRTH Lucien - caporal-chef - 2 RCP
PASQUET Guy - caporal-chef - 2 RCP
PERLES Roger-Max - sergent - 2 RCP
PHILIPPON Pierre-Joseph-Alexandre - caporal - 2 RCP
PLAT Jean-Jacques - caporal-chef - 2 RCP
ROSIER Jacques - sergent - 2 RCP
SRIBER Jean - lieutenant - 2 RCP
TAUZIN Félix - sergent - 2 RCP
URBAIN Marcel-Charles - parachutiste - 2 RCP
VACHER Gabriel-Jean - sergent-chef - 2 RCP
WAITZMANN Jean - soldat 1ère classe - 2 RCP
WINTER Georges - caporal - 2 RCP "

Yves MORIEULT

Laurent le mardi 24 novembre 2009 - Demander un contact

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NEUWIRTH Lucien : engagement dans les FAFL pour compter du 18 août 1943 comme 2ème classe candidat parachutiste avec le matricule 36.073.

Source : Yves MORIEULT

Laurent le mardi 17 novembre 2009 - Demander un contact

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" Juin 1944

Largué par planeur en Bretagne pendant les opérations du débarquement, puis monté sur une jeep avec ses frères d’armes Djamil Jacir et Pierre Lacaze, Lucien Neuwirth mène de nombreuses opérations commando au milieu des troupes allemandes. "

www.assemblee-nat.com 

Laloup laurent le jeudi 03 avril 2008 - Demander un contact

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fauriel.paris.free.fr 

" Le résistant - le Français libre

1940 - 1941
Après une rapide évocation de ses souvenirs relatifs à son passage au Lycée Claude Fauriel, Lucien NEUWIRTH en vient à juin 1940. Âgé de 16 ans, il se trouve à ce moment là à Yssingeaux où sa mère tient une boutique ; il voit passer les réfugiés poussés sur les routes par l’exode provoqué par l’avancée des troupes allemandes.
Un jour, en compagnie de sa mère, il entend à la radio anglaise un discours en français qui le soulève d’enthousiasme et d’émotion ; ce n’est qu’à la fin du discours qu’il entend le nom du locuteur : il s’agit bien évidemment du Général de Gaulle. Lucien NEUWIRTH envisage dès ce moment de rejoindre le Général de Gaulle, mais il doit y renoncer dans un premier temps en raison des difficultés matérielles.

En septembre 1940, Lucien NEUWIRTH regagne Saint-Étienne. Avec des amis partageant ses convictions, il commence à constituer un petit groupe, puis il remarque dans le journal « La Tribune », des articles toniques signés « Top ». Lucien NEUWIRTH se rend au journal pour en rencontrer l’auteur ; c’est ainsi qu’il fait connaissance avec Jean NOCHER autour de qui va se constituer le groupe Espoir et s’organiser la publication du journal clandestin du même nom.

1942 - 1943
En 1942, l’étau de la police de Vichy se resserre : Jean Nocher est arrêté et Lucien NEUWIRTH prend la décision de partir pour l’Espagne, comptant de là gagner le Portugal puis l’Angleterre. Dans le train Lucien NEUWIRTH rencontre un aviateur qui portait une croix de Lorraine à sa montre. Celui-ci lui donne une recommandation pour sa belle-mère qui réside à Saint-Girons en Ariège. Grâce au concours de cette dernière Lucien NEUWIRTH est mis en relation avec un passeur. Leur groupe d’une douzaine de personnes entreprend de passer la frontière dans la nuit de décembre (l’expression « il n’y a plus de Pyrénées » est alors apparue tout à fait inappropriée …). Le passeur a ensuite été arrêté et fusillé ainsi que le responsable de la résistance de Saint-Girons.

Peu de temps après un repas servi par une espagnole, Lucien NEUWIRTH a été arrêté par deux gardes civils espagnols. Emmené au poste il y fait la connaissance de deux ouvriers de chez Renault à qui il conseille de se faire passer pour des canadiens français ; Lucien NEUWIRTH choisit de se faire passer pour américain (Lionel Newton pour garder les mêmes initiales) car il maîtrise bien l’anglais. Ce subterfuge est destiné à éviter d’être remis aux allemands, sort systématiquement réservé aux français arrêtés près de la frontière par les espagnols.
Ensuite, ce furent les prisons de Lérida et de Saragosse. À Lérida, c’est l’ancien séminaire qui servait de prison ; il se trouvait dans le quartier chaud de la ville. La seule touche positive fut le passage chez le coiffeur : celui-ci ayant officié à Saint-Étienne Lucien NEUWIRTH a échappé à la boule à zéro intégrale….
À Saragosse le convoi est passé devant la cathédrale le soir de Noël ; les prisonniers ont dans un premier temps été enfermés dans une pièce servant de dépôt de cercueils.
La destination finale était le sinistre camp de concentration de Miranda de Ebro. Lucien NEUWIRTH y séjourna plusieurs mois, considéré comme ressortissant américain. À force de démarches du consul des États-Unis, une quinzaine d’américains (ou assimilés) ont été libérés par les espagnols. Le consul a loué une locomotive, un tender et un wagon pour assurer l’acheminement des libérés jusqu’à Algésiras. D’Algésiras un car les conduisit ensuite à Gibraltar, territoire britannique, synonyme de liberté. À la vue de la sentinelle anglaise, submergé par l’émotion, Lucien NEUWIRTH a pleuré.
Après un bref séjour à Gibraltar Lucien NEUWIRTH a ensuite gagné l’Écosse à bord d’un bateau venant d’Afrique du Sud puis il est arrivé à Londres à bord d’un train. En descendant du train Lucien NEUWIRTH constata que la locomotive était conduite par une femme ; ce n’était que l’une des premières surprises que lui réservait une Angleterre résolument engagée dans la guerre.

Dirigé vers les Forces Françaises Libres, Lucien NEUWIRTH souhaitait devenir pilote. Apprenant que cela nécessitait une formation de 9 mois au Canada et soucieux de se battre au plus tôt contre les Allemands, Lucien NEUWIRTH opta pour les paras de la France Libre, plus précisément les SAS (Special Air Services).

1944 - 1945
En juin 1944 Lucien NEUWIRTH a été parachuté dans le Morbihan. Après avoir retrouvé avec émotion le sol de France, il se livre avec son commando à des actions de harcèlement visant à empêcher les Allemands de se réorganiser. Il participe ensuite aux combats de la libération de la France.
Au cours du rude hiver 1944-1945, Lucien NEUWIRTH fait partie des forces qui s’opposent à la contre-attaque menée par les Allemands dans les Ardennes.
Après une permission, Lucien NEUWIRTH rejoint son unité début avril 1945 pour participer à la dernière opération aéroportée de la guerre. Le 7 avril il fait partie des SAS parachutés en Hollande à l'arrière des lignes allemandes. Les mauvaises conditions météo perturbent leur largage et ils se retrouvent dispersés, loin de leur cible initiale. Le commando de Lucien NEUWIRTH est accroché par une unité allemande à laquelle ils font subir de lourdes pertes. Ayant épuisé leurs munitions, ses compagnons et lui sont contraints de se rendre. Au mépris de toutes les lois de la guerre, Lucien NEUWIRTH et ses compagnons sont immédiatement alignés face à un peloton d'exécution qui ouvre le feu. Lucien NEUWIRTH n'étant que blessé, un officier allemand s'approche avec son revolver pour le coup de grâce qu'il lui tire en plein coeur. Lucien NEUWIRTH s'écroule. Plus tard, en prise à de vives douleurs au thorax, il reprend ses esprits : il a miraculeusement survécu car la balle a ricoché sur les pièces de monnaie qu'il avait gardé par le plus grand des hasards dans le portefeuille qu'il portait sur sa poitrine (l'usage était qu'avant de partir en opérations, les paras donnaient leur monnaie à leurs copains qui restaient, à charge pour ceux-ci de boire un coup à leur santé ; lorsque le chargé de la collecte était venu à lui, Lucien NEUWIRTH avait déjà revêtu son lourd harnachement et n'avait pas voulu se livrer à une séance de déshabillage-réhabillage). Il a ensuite été fait prisonnier par d'autres allemands plus respectueux des lois de la guerre.

Il s’est ensuite évadé et a regagné les lignes alliées. Sa mère qui avait été informée de ce que son fils était mort pour la France a reçu le télégramme annonçant son retour au moment où elle s’apprêtait à faire teindre en noir ses vêtements…. "

Laurent Laloup le mercredi 03 octobre 2007 - Demander un contact

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fr.wikipedia.org 

" Lucien Neuwirth est né le 18 mai 1924 à Saint-Étienne (Loire). Il s'engage en 1943 dans les Forces françaises libres, rejoint les SAS Français, est parachuté en Bretagne, en Belgique puis aux Pays-Bas (avril 1945) où il est fait prisonnier et fusillé. Par chance, il survit au peloton d'exécution : Blessé et recouvert par le corps d'un de ses camarades, il s'échappe miraculeusement, grace à de la petite monnaie qui bloque le coup de grâce.

Adhérent au RPF, il devient conseiller municipal de Saint-Étienne (1947-1965), puis adjoint au maire (1953-1965).

À Alger, il est membre du Comité de Salut public (mai 1958), directeur de la RTF et représentant permanent de Jacques Soustelle (juin-novembre 1958).

Élu député UNR, UDR et RPR (1958-1981), il propose la loi sur la régulation des naissances (1967) dite loi Neuwirth, qui en fit le « père de la pilule ».

Secrétaire général du groupe UNR (1958-1962), puis questeur de l'Assemblée nationale (1962-1975), il devient secrétaire général-adjoint de l'UDR (décembre 1974).

Il tente sans succès en 1972 une candidature à la mairie de Saint-Étienne face à Michel Durafour.

Président du conseil général de la Loire (mars 1979, mars 1985), il crée en novembre 1981 le club politique "Nouvelle opposition nationale".

En 1981, il est victime de la "vague rose" et est battu par Bruno Vennin.

Il a été sénateur RPR de 1983 à 2001. Il sera également nommé questeur honoraire du Sénat "

Laurent Laloup le mercredi 03 octobre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 14 octobre 2021

 

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