Jacques Pierre Mendès Caldas né Taupin - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jacques Pierre Mendès Caldas né Taupin



Naissance : 19 juin 1917 - Paris 14e

Point de départ vers la France Libre : Amériques

Engagement dans la France Libre : Bresil en septembre 1941

Affectation principale : FAFL / parachutistes

Infanterie de l'Air

Matricules : 420 FN42

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : sergent

Décès à 27 ans - 12 juillet 1944 - Plumelec (56)

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 410276

Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 10089

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 35561


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Jacques Pierre Mendès Caldas né Taupin - son Livre ouvert !
 

Jacques,
Jacques Mendes-Caldas a été déclaré par sa mère sous le nom de Jacques Pierre Taupin. Reconnu le 10/11/1927 par Antonio Mendes-Caldas.

David le jeudi 30 mai 2019 - Demander un contact

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Réponse :

Et il est dans les tables de Paris 14e sous ce nom, merci !


Pas trouvé dans les tables de naissance pour 1913-1922 à Paris 14e, ni à Mendes, ni à Caldas ...

Jacques Ghémard le dimanche 04 décembre 2016 - Demander un contact

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Le Comité de la France Libre de São Paulo

"... Sept volontaires partis du Brésil, tombèrent au champ d'honneur :

- sergent Georges Schteinberg, tué en Hollande ; tirailleur Henri Dussat, tué en Italie ; capitaine Henri Dupraz tué en Italie ; sous-lieutenant Henri Corbière, tué en Algérie ; sergent parachutiste Jacques Mendès-Caldas, tué en Bretagne ; aspirant Georges-Henri Torrès, tué en Lorraine ; caporal-chef Michel Wiedmann, tué en Angleterre.

La guerre terminée, on vit revenir vers les écoles de l'Alliance française, plus nombreuse que jamais pour apprendre notre langue, cette jeunesse brésilienne qui, au lendemain de l'armistice, s'était détournée de l'étude du français, disant : « On n'apprend pas la langue du vaincu. »

C'est à ces hommes que notre pays est redevable d'un tel revirement, et avec eux, à tous ceux des Forces Françaises Libres et de la Résistance, qui ont permis à la France d'être présente à la victoire.

Extrait de la Revue de la France Libre, n° 126, juin 1960."

www.france-libre.net 

Laurent le mercredi 12 mai 2010 - Demander un contact

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Mon père y était aussi

C'est avec un grande émotion que je tombe par hasard sur ces pages. En effet mon père est le caporal chef Fernand Beaujean dont le nom figure sur la même pierre du mémorial de Kheruel juste en dessous de Calda Mendes. Il a donc été un de ses tout derniers compagnons, ils devaient forcément se connaitre puisque mon père faisait partie du stick de Marienne, et ils ont ainsi trouvés la mort ensemble dans les conditions horribles que l'on connait.

Georges Beaujean le vendredi 21 août 2009 - Demander un contact

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Réponse :

Il y a une fiche à son nom ici 

Amicalement
Jacques Ghémard


FrancoisSouquet 

Le drame de Kérihuel

Laurent Laloup le lundi 22 décembre 2008 - Demander un contact

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" Réveillés par le bruit de la fusillade, les maquisards et les parachutistes, hébergés dans le grenier d’un bâtiment, se précipitent à l’extérieur. Le sergent Mendès-Caldas prend la tête du groupe et commence à faire le tour de la ferme lorsqu’il tombe sur un des membres du FAT qui revient par le haut du village. Le parachutiste est abattu et aussitôt, les autres se dispersent. Ainsi, Christian Mockers traverse un hangar et retrouve Antoine Nunès. Les deux hommes décident alors de repartir vers Questembert. De peur que son groupe soit cerné et attaqué, Herr décide le repli immédiat mais avant, il donne l'ordre d'abattre Marienne et Martin devenus trop encombrants. Ainsi, le “ Lion ” est mort. Le capitaine Marienne a été assassiné.
lerot.org"

6-juin-1944.forum-2007.com 

Laurent Laloup le dimanche 21 septembre 2008 - Demander un contact

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L.Raufast,J.Mendes-Caldas,A.Chilou
Source : specialforcesroh.com 

Laurent Laloup le dimanche 04 novembre 2007 - Demander un contact

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6-juin-1944.forum-2007.com 

" Aprés la dispersion du chateau de Callac, le Lt MARIENNE a trouvé refuge prés de GUEHENNO d'où il coordonne les groupes SAS dispersés et prépare de nouvelles actions. Promu capitaine, il est entouré de ses opérateurs-radio et d'une trentaine de SAS et FFI. Craignant être repéré (les allemands poursuivant leurs ratissages) MARIENNE décide de déplacer son groupe et dans la nuit du 10 au 11 Juillet, ils rejoignent Kerihuel, hameau isolé dans les environs de Plumelec. Le groupe s'installe sommairement dans un local annexe d'une ferme, d'autres dans le grenier, le Cpt Marienne et le Lt Martin dans une cabanne installée à distance des batiments. La garde étant assurée par la section du S/Lt Taylor, soit une vingtaine de SAS, pour cette premiére et derniére nuit à Kerihuel. Au lever du jour, huit miliciens accompagnés de 2 officiers allemands surprennent les maquisards endormis dans le local ; les armes sont saisies, les hommes allongés sur l'aire de battage. Sous la contrainte, un Lt FFI conduit les miliciens au campement de Marienne. Désarmé, le Cpt Marienne, le Lt Martin et 5 SAS sont alignés au mur et fouillés auprés des autres patriotes étendus sur le sol. Les 2 officiers reçoivent l'ordre de se coucher au sol puis l'injonction de se relever, deux miliciens les abattent et mitraillent tous les autres. Seul,le Sgt JUDET placé avant dernier le long du mur parviendra à s'enfuir. Alertés par les rafales, les SAS et FFI qui se trouvaient dans le grenier se précipitent, 2 S/officiers en tête, un civil armé leur indique la direction opposée, l'équipe s'y dirige avec les 2 S/officiers en queue de file, le pseudo-maquisard (un milicien) abat le S/C Mendes-Caldas qui agonisera durant 2 heures portant à 18 le nombre des victimes, 7 SAS, 8 FFI et les 3 fermiers. D'abord abusée par l'infiltration des miliciens, la section du S/Lt Taylor ignorant le nombre d'assaillants se replia. Le massacre de KERIHUEL entraina d'autres conséquences funestes, les miliciens du traitre Zeller ayant récupéré le cahier du Cpt Marienne contenant des informations confidentielles ce qui pourrait expliquer pourquoi Marienne fut abattu sur le champ. Ainsi le 14 Juillet 1944, les allemands et miliciens interviennent à KELANVAUX prés de Trédion, où sont regroupés dans les bois 17 SAS dont plusieurs blessés. 9 parviennent à s'échapper, 2 sont tués, 6 sont capturés dont les Lts Skinner et Floriot. Trois des paras et le patron de la ferme qui les approvisionnait sont battus à mort et achevés avant d'être jetés dans le brasier. Les noms de 77 parachutistes SAS tombés en bretagne sont gravés sur le mémorial de PLUMELEC situé à coté du moulin qui dans la nuit du 5 au 6 Juin repéra le stick MARIENNE"

Laurent Laloup le vendredi 24 août 2007 - Demander un contact

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textes extraits de l'ouvrage "COMMANDOS-MARINE AU COMBAT" de René BAIL ancienscolbleus.forumactif.com/ 

"La période devait servir également à compléter les effectifs avec les volontaires arrivant du dépôt de Londres. Ceux-ci devaient toutefois satisfaire à tous les examens préliminaires et répondre aux aptitudes obligatoires acquises à l'école d'Achnacarry. Dans le cas contraire, ils étaient renvoyés dans leur unité d'origine. Certains trouvant trop long le temps consacré au stage, partirent pour d'autres affectations. Ce fut notamment le cas de Mendès-Caldas, qui passa d'abord au B.C.R.A. puis aux S.A.S.(6) !
Mendès-Caldas, avide d'action passera au S.A.S. en 1943. Il sera tué dans la région de Saint-Marcel (Morbihan), à la ferme de Keruel, le 12 juillet 1944, en défendant avec le lieutenant Marienne les blessés intransportables. Un autre, Errard, dit “crâne d'obus”, vétéran du premier groupe, passera également aux S.A.S. Blessé dans la région de Saint-Marcel, il aura plus de chance que ses camarades. Soigné à la clinique de Malestroit (Morbihan) avec 17 autres parachutistes, il en réchappera grâce aux soins et aux subterfuges du Docteur Queinnec et des sœurs Augustines."

Laurent Laloup le vendredi 24 août 2007 - Demander un contact

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Extrait de fflsas.org 

"janvier 1943-5 juin 1944

D’autres encore rejoignent depuis l’Amérique : André Gabaudan, Marcel Pinoncely et Pierre Lagèze viennent du Mexique, Gilbert Sanchez du Paraguay, Jacques Mendès-Caldas arrive du Brésil, Gualberto Larralde vient d’Uruguay, Jean Hartmanshen et Robert Chenu rejoignent depuis l’Argentine, Joseph Moiroux et Juan Leïva arrivent du Chili...
Ce sont ces hommes, moins d’un millier, qui vont constituer les Parachutistes SAS de la France Libre. "

Laurent Laloup le vendredi 24 août 2007 - Demander un contact

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souvenirsas.ifrance.com 

4thSAS - 2è R.C.P "Cooney Parties":

PIERRE 401: Viaud Jean (LT), Carro Roger, Goardon Yves - V.F entre St Brieuc et Guingamp -
C du N 22

PIERRE 402: Roquemaure Jean (SGT), Desmoulins Pierre, Perrachon Louis - V.F entre Lamballe et Causnes - C du N 22

PIERRE 403: Fauquet Philippe (ASP), Bidault René, Fadda Pascal - V.F entre Lamballe et Dinan -
C du N 22

PIERRE 404: Appriou Jean (S/LT), Cerillo Julio, Le Duizet Auguste - V.F entre La Bohinière et Dinan- C du N 22

PIERRE 405: Carré Jacques (SGT), Héritier François, Thomas Jean -V.F entre La Bohinière et Rennes- I et V 35

PIERRE 406: Varnier André (S/LT), Aubert Pierre, Guyon Raymond, Kieffer Guy, Materne Pierre - V.F entre Messac et Rennes- I et V 35

PIERRE 407: de Camaret Michel (S/LT), Cochin Denys (S/LT), Collobert Joseph, Détroit Jacques (SGT), Nunès Achille V.F (tunnel) entre Messac et Redon - I et V 35

PIERRE 408: Tisné François (LT), Bernard Robert, Pérlès Max - V.F entre Redon et Chateaubriand - Loire Inf 44

PIERRE 409: Nicol Francis (S/C), Courant Georges, Lifsniack Félix - V.F entre Redon et Pont Chateau - Loire Inf 44

PIERRE 410: Mairet Louis (LT), Bourrec Pierre, Tauzin Félix - V.F entre Redon et Questembert - Morbihan 56

PIERRE 411: de Kerillis Alain (S/LT), Morizur Ambroise, Terrisse René - V.F entre Questembert et Vannes - Morbihan 56

PIERRE 412: Brès Michel (S/LT), Briand Georges, Plat Jean-Jacques - V.F entre Ploërmel et Messac - Morbihan 56

PIERRE 413: Mendès-Caldas Jacques (SGT), Harbinson Frédéric, Serra Jean - V.F entre Ploërmel et Messac - Morbihan 56

PIERRE 414: Larralde Gualberto (CNE), Hartmanshenn Jean, Navailles Gaston - V.F entre Auray et Pontivy - Morbihan 56

PIERRE 415: Corta Henry (ASP), caporal André Bernard, Folin Francis - V.F prés de Loyat, village de Trégadoret sur la rivière l'Yvel (région de Ploërmel-Morbihan)

PIERRE 416: Legrand Michel (S/LT), Boutinot Roger, Deborre Albert - V.F entre St Meen et Loudéac - Morbihan 56

PIERRE 417: Fernandez Roger (S/LT), Biernat César, Vazeille Roger - V.F entre Loudéac et Saint-Brieuc - C du N 22

PIERRE 418: de Mauduit Henry (CNE), Créau Noël, Violland Armand - V.F entre Loudéac et Carhaix - C du N 22

V.F = voie ferrée.

Laurent Laloup le vendredi 24 août 2007 - Demander un contact

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Réponse :

Voir message de Jean-Claude BOURGEON le lundi 11 septembre 2017 
"... à propos de la mission Pierre 408 (Tisné, Bernard, Perlès). Cette opération n'a pas été menée sur la voie ferrée Redon-Châteaubriant Ligne Massérac-Châteaubriant) mais sur la voie ferrée Messac-Châteaubriant à la bifur du Vautenet entre les Passages à niveau 18 et 19 situé entre les gares de Messac et de Pléchâtel."

Voir aussi le message de David le mercredi 04 février 2009 
" Raymond Guyon n'était pas de la cooney 406. Il a été parachuté sur Samwest.
La composition des cooney ci-dessous comprend des erreurs."

Dernière mise à jour le jeudi 30 mai 2019

 

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