| | | | | Un Français Libre parmi 62953 | | | Jean Jacques Adrien Henri Leprince | |
Naissance : 6 novembre 1922 - Le Mêle-sur-Sarthe (61)
Activité antérieure : marin
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en juillet 1940
Affectation principale : FNFL / marine de guerreChalutier Marie-Louise, capturé par les Allemands le 18 02 1941 Matricules : 2011 C39, 5565 FN40
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : matelot radio
Décès à 21 ans - 6 juin 1944 -
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 364479
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 8958
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 31708 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Jean Jacques Adrien Henri Leprince - son Livre ouvert ! Des Résistants dangereux. Jalons pour une étude de la répression des Français Libres Thomas Fontaine
"... Des Résistants dangereux mais respectables, voici comment l’on peut donc résumer la vision que les autorités allemandes ont des Français Libres au tout début de l’Occupation. Mais la répression n’en est pas moins sévère. Neuf condamnations à mort sont prononcées en mai 1941 contre le groupe « Nemrod » et trois membres du groupe sont exécutés en août : Honoré d’Étienne d’Orves, Jan Doornik et Maurice Barlier. D’autres sont transférés dans différentes prisons du Reich. Pierre Cornec, dont la peine de mort a été commuée en 15 ans de travaux forcés, part sans doute en wagon cellulaire dès le 28 juillet 1941 : il passe l’essentiel de sa détention à la prison de Siegburg et revient en 1945. Marie-Antoinette Clément est déportée le 13 octobre 1941, via Karslruhe, vers la prison d’Anrath. Elle sera libérée de celle d’Aichach en 1945. Les autres membres du groupe sont déportés ensemble le 16 octobre 1941 : la plupart partent à Siegburg, Jean-Jacques Leprince et Yves Normant à Rheinbach – d’où ils sont libérés au printemps 1944 –, Jean Le Gigan et Yves Pennec vers la prison de Diez-sur-Lahn. Martial Bizien est libéré de Siegburg le 8 décembre 1943, exceptionnellement parce qu’il vient d’être amputé d’une jambe à la suite d’une tumeur. Daniel Dohet est le seul à mourir en déportation, la veille de noël 1942..." Laurent Laloup le lundi 09 mars 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
|
Les services secrets du général de Gaulle / Sébastien Albertelli " Châteauvieux fut arrêté dans la nuit du 21 au 22 janvier avec les principaux responsables du réseau et les arrestations se succédèrent au cours des semaines suivantes. Doornik et Barlier tombèrent entre les mains de l'occupant. Le 15 février, un navire qui amenait l'opérateur Jean-Jacques Leprince fut arraisonné. Leprince eut le temps de jeter son poste à la mer avant d'être arrêté." Laurent le samedi 17 octobre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
"Le 29 août, 1941, le commandant d’Estienne d’Orves est fusillé en compagnie de Maurice Barlier et de Jean Doornick. Les six autres condamnés à mort verront leur peine commuée en travaux forcés. Mme Clément mère, âgée de 83 ans, n’a pas résisté à la brutalité des interrogatoires; Daniel Dohet mourra le 24 décembre 1942 et Jean-Jacques Leprince le 6 juin 1944. Les autres déportés rentreront vivants."
www.france-libre.net Laurent Laloup le mercredi 29 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
" Le 23 janvier, c’est au tour des époux Setout et de Chauvet. Tous sont emmenés à Berlin. Marty ayant fourni tous les renseignements et le code aux Allemands, ceux-ci continuent à correspondre avec le 2e bureau du général de Gaulle (dénommé S.R. à la date du 12 avril 1941, et B.C.R.A., à partir du 7 janvier 1942) qui décide l’envoi d’un deuxième radio : Jean-Jacques Leprince. Après une première tentative qui échoue par suite du compas déréglé et de la brume, Jean-Jacques Leprince, muni d’un poste émetteur, s’embarque à Newlyn, le 14 février.
Le 15 février 1941, au large de Brest, deux patrouilleurs allemands arraisonnent le bateau et emmènent à Brest équipage et passagers qui, toutefois, ont pu détruire le poste et les papiers du bord. Sur les indications de Marty et parfois sous sa conduite, les arrestations continuent. Enfin, le 13 mai 1941, le procès s’ouvre à Paris et le 26 mai, c’est le verdict. Sont condamnés à mort : le commandant d'Estienne d'Orves, Maurice Barlier, Jean Doornick, Jean Le Gigan, André Clément, Mme Clément, Jean-Jacques Leprince, Follic et Cornet. Les autres s’en tirent avec des peines de prison"
www.france-libre.net Laurent Laloup le mercredi 29 août 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le lundi 09 mars 2020 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté |
| |
fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 28 1 2024 Hébergé par Nuxit Temps entre début et fin du script : 0.78 s  8 requêtes
|
|