| | | | | Un Français Libre parmi 62956 | | | Antoine Joseph Lascombe | |
Naissance : 27 décembre 1911 - Noailles (19)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : AEF en octobre 1940
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / 13 DBLE
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine
Décès à 76 ans - 13 décembre 1988 - Périgueux (24)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 340133
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 29007 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
www.france-libre.net Revue de la France Libre Mars 2011
"Dégradé, Lascombe est condamné par contumace par la cour martiale de Gannat le 13 juin 1941 aux travaux forcés à perpétuité et à la confiscation générale de ses biens pour « crimes et manoeuvres contre l’unité et la sauvegarde de la patrie », Campistron à la peine de mort et à la confiscation de ses biens... De son côté, Lascombe intègre la 13e demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE) le 15 octobre 1940, le bataillon de marche n°3 (BM3) le 1er mars 1941 et les Spahis marocains de Jourdier le 5 mai suivant, combattant en Erythrée et en Syrie, avant de prendre le commandement d’une unité des Tcherkesses de Collet, le 1er octobre suivant, et ce jusqu’au 11 septembre 1943. Dirigé sur le Maroc en novembre 1943, il y reprend ses activités de vétérinaire jusqu’à sa démobilisation" Laurent le lundi 18 janvier 2016 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
Antoine Lascombe ? Soustelle Jacques · Envers et contre tout de Londres à Alger ( 1940-1942 ).
" Dans la nuit du 20 septembre, Boislambert, Bissagnet, Campistron et le lieutenant Brunel roulaient en camion sur la route de Kaolack. Ils laissèrent le camion au pont qui commande l'entrée de la ville et se rendirent à pied, silencieusement, chez Auclert, receveur des P.T.T., un des résistants du groupe local. Il était alors trois heures du matin. A l'aube, anivèrent le lieutenant Lascombe, puis de Mersuey. Ce dernier leur décrivit la situation à Dakar : Boisson recevait les Allemands de Klaube et les invitait à dîner; Platon, passant en A.O.F., venait de porter un rude coup à l'esprit de résistance en exaltant la « correction » des Allemands et en accablant nos alliés britanniques. " laurent le dimanche 06 septembre 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
Dernière mise à jour le mardi 18 avril 2023 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté |
| |
fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 28 1 2024 Hébergé par Nuxit Temps entre début et fin du script : 0.74 s  8 requêtes
|
|