Robert Edouard Kieffer - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Robert Edouard Kieffer



Naissance : 7 septembre 1912 - Andlau (67)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Afrique

Engagement dans la France Libre : AEF en septembre 1940

Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / train

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : adjudant

Frère de Charles Kieffer 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 319888

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 27309


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"LES TRACES DE MA VIE" de Jean DUPERTUIS

" Le Train de la division fut placé sous l'autorité du commandant Dubois, assisté par le capitaine Haas et le capitaine Rendu. Il comprenait quatre compagnies. On me confia le commandement de l'une d'elles, la 297. J'avais pour adjoints le lieutenant Dijol et le lieutenant Weil, et pour chauffeur, Jean Claudel. Ma compagnie, composée d'environ 220 hommes et équipée de 227 véhicules, était divisée en quatre sections : la 1ère était commandée par le lieutenant Chesnel, la 2e par le lieu­tenant Riquet, la 3e par le sous-lieutenant Dreyfuss, la 4e par les adjudants-chefs Sellem et Heckmann. J'avais aussi à ma disposition une section de dépannage dont s'occupait Robert Kieffer, secondé par quelques méca­niciens, dont Lominé, Sauvage, Berthuin, Dagort, Colin, d'Overchies et Guilloux. Mes effectifs d'Afrique noire furent renvoyés dans leurs pays d'origine, l'Angleterre refusant de les accueillir. Ils furent remplacés par des chauffeurs et des aides-chauffeurs d'Afrique du Nord."

Laurent Laloup le samedi 22 novembre 2008 - Demander un contact

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"LES TRACES DE MA VIE" de Jean DUPERTUIS

"Une grande émotion m'étreignait. En quittant le Cameroun pour aller à la guerre, je laissais mes trois enfants, sans être sûr de les revoir. L'aîné avait six ans et demi, la plus jeune deux ans. Mais je m'étais enga­gé à combattre pour la libération de la France et, bien que le médecin général Sicé m'ait offert de rester à Yaoundé, je tenais à respecter mon engagement.
J'emportais aussi le souvenir des bons moments que nous avions passés ensemble, officiers, sous-offi­ciers et chauffeurs, à construire cette compagnie auto, notre unité. Je n'ai pas oublié le nom des fidèles d'alors : Kieffer, Claudel, Thiriet, Lominé, Vignon, Heckman, Gros, Chesnel, Lepape, Guivarch, Guillou, Pinel, Ginoux, Sauvage ... ; et celui de ceux qui nous rejoin­dront plus tard : les Dagort, de Saint-Pierre et Miquelon, et les deux frères Blin ..."

Laurent Laloup le samedi 22 novembre 2008 - Demander un contact

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"LES TRACES DE MA VIE" de Jean DUPERTUIS

" La compagnie devait compter 100 camions. Il me fallait les obtenir par réquisition auprès des commer­çants du territoire quelle que soit leur nationalité. Je me mis au travail. Pour m'aider à examiner scrupuleuse­ment le bon état des véhicules, je constituai une com­mission technique dont je confiai la responsabilité à un excellent mécanicien, le sous-officier Robert Kieffer, un compatriote alsacien, d'Andlau comme moi, et frère de mon ami " agricole " Charles Kieffer. Dans le même temps, j'engageai la construction de quatre grands garages. Je m'adressai à l'administrateur chef de région, M. Salin, qui invita les chefs de village à me fournir le bois de sab et les tuiles de palmiers dont j'avais besoin. En moins d'un mois, l'opération était conclue : nous avions nos camions - de huit marques différentes ! - et nos hangars. Il restait à trouver des chauffeurs, et à régler le problème des pièces de rechange. "

Laurent Laloup le samedi 22 novembre 2008 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 22 novembre 2008

 

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