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| Louis Lazare Kahn | |
Naissance : 13 novembre 1895 - Versailles (78)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en février 1943
Affectation principale : FNFL / marine de guerreDirection des C A N
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : ingénieur général du génie maritime
Décès à 71 ans - 27 janvier 1967 - Paris 7e
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 315809
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 7314
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 26711
Dossier Légion d'Honneur |
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Louis Lazare Kahn - son Livre ouvert ! Citation pour sa nomination au grade de commandeur de la légion d'honneur
Extrait du magazine Cols Bleus N°44 du 21 décembre 1945.
LE BRETON Thierry le mercredi 22 décembre 2021 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Fiche biographique publiée dans le magazine Cols bleus en 1967 à l'occasion de son décès La liste de ses décorations apparaît sur l'article qui lui est consacré sur Wikipedia
Médaille de la résistance (décret 31/03/1947, JO du 13/07/1947). Source : livre "Médaille de la Résistance française", annuaire des médaillés établi par l'Association nationale des médaillés de la résistance française (Editions BRODARD et TAUPIN - 1955) page 168 LE BRETON Thierry le mercredi 09 octobre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Louis Lazare Kahn Bonjour,
Je vois que Louis Lazare Kahn est nommé "amiral de France", sic !, il n'y a plus d'amiral de France depuis l'ancien régime. Louis Lazare Kahn était ingénieur général du génie maritine mais nullement "amiral". Je vous signale qu'il était fils de Salomon Kahn, rabbin à Versailles, et d'Eugénie Kahn (cf AD78 EC 1895). Son rôle déterminant se situe entre 1950 et 1958, par la reconstruction des arsenaux détruits par la guerre et sa participation à la mise en route des premiers programmes de constructions neuves de l'après-guerre. LVP Louis Victor Pauchet le samedi 03 mars 2012 Recherche sur cette contribution Réponse : C'est la légende de la photographie extraite du site www.cairn.info
Cordialement
Jacques Ghémard
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" Dans l'Historique des FNFL est évoqué le cas de l'Ingénieur général du génie maritime Louis Kahn. Le 15 août 1941 il fut évincé de la Marine en application de la loi sur les Juifs. Après deux tentatives d'évasion il réussit à rejoindre Londres et à rallier la France Libre le 15 février 1943.
Cordialement
Igor "
www.livresdeguerre.net/ Laurent Laloup le vendredi 12 octobre 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" Quant au polytechnicien et ingénieur général du Génie maritime Louis Kahn (50 ans en 1945), il est lui aussi un ancien combattant de la Grande Guerre et un gaulliste de la première heure (il fut le directeur des Constructions et des Armes navales de la France libre). Très « israélite », Kahn était beaucoup plus impliqué que Cassin dans la vie des organisations juives avant la guerre. Il avait notamment présidé l’ORT-France. « Faire face », « ne pas se dérober » : ces expressions qui lui sont coutumières campent l’homme, animé d’une philosophie de la présence, de l’honneur et de l’action dont il entend que l’Alliance s’inspire à nouveau."
www.cairn.info Laurent Laloup le vendredi 12 octobre 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.cairn.info
" Devant cette avalanche d’épreuves, le rôle salvateur de la France libre se trouve souligné. La « Dissidence » gaulliste prend en charge les écoles du Levant dès 1941, et surtout, à partir de 1943, le professeur René Cassin, rallié de la première heure, se voit confié par le général de Gaulle le sort de l’institution. Londres sert de cadre à une renaissance institutionnelle avec la formation le 3 avril d’un comité provisoire restreint [4], recomposé et élargi à Alger en novembre suivant [5]. Il revient à cette équipe algéroise, toujours présidée par Cassin, de renouer progressivement le contact avec les écoles du Proche et du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord.
(4) Présidé par René Cassin, il est constitué de personnalités présentes à Londres même – ainsi les deux secrétaires généraux, l’amiral Louis Kahn et Bernard Mélamède, ancien responsable de la Jewish Colonization Association (ICA) et du Centre d’aide pour les réfugiés (CAR), le commandant Henri Bernard, le commissaire Henri Leven, Jules Philippson et Mme Weill, fille du professeur Léon Brunschwig –, d’anciens membres du Comité central résidant à New York – Max Gottschalk et Maurice Stern – et d’un ancien obligé de l’Alliance résidant au Caire, le grand rabbin Nahoum Effendi (Liste fournie par Cassin lui-même au comité central (désormais CC) lors de la séance du 11 septembre 1944)." Laurent Laloup le vendredi 12 octobre 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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