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Jean Félix Kaczmarski

Jean Félix Kaczmarski - son Livre ouvert !
 

Mon valeureux papa

Simper Danielle Kaczmarski le jeudi 14 mai 2015 - Demander un contact

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Kaczmarski ?

Le général Saint-Hillier ,de Jean-Christophe Notin :

Le 9 juin, la « cathédrale » croule sous les bombes : trois infir­miers et quinze blessés périssent. Pour la première fois, l'assaut est lancé simultanément de deux côtés, obligeant l'artillerie française à faire pivoter ses pièces à 180°. Au sud, Broche est tué ainsi que son adjoint Duché de Bricourt. Au nord, les Allemands s'infiltrent entre les légionnaires de Messmer et les marsouins de Gabard. Le péril est à son comble. Les Brenn de Conus et Dewey contre-attaquent et réparent la brèche, momentanément. Le lendemain, après une matinée extraordinairement tranquille, les fantassins alle­mands, précédés de 130 avions, resurgissent. La section de légion­naires de l'aspirant Morvan se rend. Coup de tonnerre dans la France libre. Celles d'Ungerman et Kamarski en auraient fait autant sans l'intervention fulgurante de la 6e compagnie du BM2 et des Brenn de Dewey, décidément l'ange gardien du camp.

Laurent le dimanche 04 octobre 2009 - Demander un contact

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Pierre Messmer, "Après tant de batailles"

" J'ai appris ce que je voulais ; il est inutile que je m'aventure avec 10 légionnaires dans un champ de mines antichars, peut-être truffé de mines antipersonnel. D'un bond, nous revenons au talus à l'abri duquel nous faisons une pause. Des soldats allemands chantent, à mi-voix, une chanson triste et belle que j'entends pour la première fois : leurs voix portent bien dans la nuit calme et Velder, mon chauffeur letton qui parle couramment l'allemand, traduit à voix basse leurs paroles que, plus tard, j'entendrai souvent car ce sont celles d'une rengaine célèbre de l'Afrikakorps bientôt adoptée par la VIIIe armée britannique : Lili Marlene.
Nous rentrons sans encombre et l'autre patrouille confirme ce que nous avons vu. Je commence à m'installer pour passer la fin de la nuit dans un trou qui a les dimensions d'une tombe quand le sergent-chef Kasmarski vient m'annoncer qu'un déserteur allemand s'est présenté sans arme à un de nos postes."

Laurent Laloup le mardi 10 mars 2009 - Demander un contact

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