Jules Felix Charles Josa - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Jules Felix Charles Josa



Naissance : 12 avril 1902 - Fort-de-France, Martinique

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Antilles

Engagement dans la France Libre : AEF en aout 1940

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM12

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 91 ans - 23 février 1994 - Mérignac (33)

Epoux d'Yvonne Gadée 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 311385

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 26298


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Jules Felix Charles Josa - son Livre ouvert !
 

Journal officiel de l'Afrique équatoriale française 1941/01/08

Edité en 1941
Source: Gallica



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Laurent LALOUP le jeudi 04 mai 2023 - Demander un contact

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  Jules Felix Charles JOSA
Né le 12 avril 1902 - 10 rue Saint Louis - Fort-de-France, 97200, Martinique, Martinique, FRANCE
Décédé le 23 février 1994 - Mérignac, 33281, Gironde, Aquitaine, FRANCE , à l’âge de 91 ans

Parents
François Charles JOSA 1859-1931
Joséphine Marie Louise DUPUY 1877-1968

Union
Marié en 1925 avec Yvonne Marie Thérèse GADEE

Laurent Laloup le vendredi 17 novembre 2017 - Demander un contact

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Soustelle Jacques : Envers et contre tout de Londres à Alger ( 1940-1942 )

Chapitre : Le sursaut de l'Afrique

" Tandis que le Quartier Général tombait aux mains des gaullistes, le médecin-lieutenant Coupigny convoquait l'adjudant-chef Josa, commandant en second de la Garde régio­nale. Cette garde était divisée en deux fractions : l'une au camp du Plateau, l'autre au Gouvernement général. Josa com­mandait la première. Allait-il réagir, donner l'ordre de tirer sur les Saras de Delange? Coupigny l'invita au cercle mili­taire et lui offrit un whisky, tout en le plaçant en face de ses responsabilités. Josa lui donna l'assurance que ses gardes ne se livreraient à aucun acte d'hostilité. De fait, le camp fut occupé sans coup férir par quelques tirailleurs sous le commandement de l'administrateur Titaux."

laurent le dimanche 06 septembre 2009 - Demander un contact

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BRAZZAVILLE 27-28 AOUT 1940. GABON 1940. SYRIE 1941. FORCES FRANCAISES LIBRES. HISTOIRES VECUES

de FREITAG JOSEPH :

" Malgré cette phase charnière, le ralliement de la Milice africaine, chargée de la protection du Palais du Gouver­neur, ne pouvait être considérée, encore à cette heure-là, comme totalement acquise. N'eût été la volonté de l'un de ses chefs, l'adjudant-chef Josa de se rallier à la France Libre, la Milice bien armée et dotée de munitions s'avérait suspecte. Josa était des nôtres. Finalement, tous ses hommes le suivirent. L'engagement de fidélité était donné par Josa au chef de bataillon Delange par l'intermédiaire du médecin-capitaine Coupigny, du Bataillon du Tchad, chargé du contact avec la milice.
Certes, de leur côté, les officiers du Bataillon du Tchad, comme certains sous-officiers du B.T.M.C. s'employèrent activement à organiser cette insurrection dans le calme et sans danger pour les vies humaines.
Mais il est certain que la réussite de l'enlèvement du dépôt de munitions du B.T.M.C. revient essentiellement et uniquement aux trois sous-officiers du B.T.M.C. : Freitag, Le Retraite, Quentin ; qui en cet instant avec les caporaux : Jean Bedel Bokassa, N'Kouaty Georges et cent-vingt-huit Africains, ont à eux seuls assumé le risque énorme dans cette affaire.
Sans eux, il faut le souligner, le Bataillon du Tchad ne pouvait assurer son action et faire basculer très vite le Territoire du Moyen-Congo dans les rangs de la France Libre.
Et c'est là mal connaître la situation du moment. En effet, la relation de cette affaire dans le livre "La France et son Empire dans la Guerre" par Jules Muracciole est inexacte. Ce jour-là, M. Muracciole se trouvait au Cameroun.
Il faut considérer que les lieutenants Luciani et Detrait, l'adjudant-chef Clayra, cités dans ce livre, n'avaient rien à voir dans l'affaire des munitions. Les trois sous-officiers précités, ont vécu et conduit personnellement le coup de main sur le dépôt de munitions.
On ne peut pas étouffer une affaire d'une telle dimen­sion : "Elle était la base même du ralliement à la France Libre".
Le sergent de carrière Perrin, du Bataillon du Tchad, est venu renforcer l'équipe des radios. Il en prenait le commandement et prit contact avec les autres postes de l'A.E.F. Il était de la C.T.C. télégraphistes coloniaux, un As!"

Laurent Laloup le vendredi 24 avril 2009 - Demander un contact

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Souvenirs d'un officier d'artillerie coloniale, de Paul Morlon

" A BRAZZAVILLE, beaucoup de personnes étaient décidées à continuer le com­bat, donc gaullistes. Mais il fallait agir contre l'autorité établie qui disposait de grands moyens, en particulier du monopole des transmissions radio. Les officiers et sous-officiers des Bataillons osèrent le coup avec l'appui de SICÉ et le concours de l'Adjudant JOSA de la garde indigène (concours particulièrement efficace).
VICHY ne s'y trompa pas sur les rapports des administrateurs et officiers non ralliés. DE LARMINAT, SICÉ, les officiers du Bataillon, moi compris, plusieurs sous-officiers furent condamnés à mort par contumace (cour martiale de RIOM ou de CLERMONT).
Les Généraux DE GAULLE et DE LARMINAT ne s'y trompèrent pas non plus : le soir même du 28 août, DELANGE était nommé Commandant, DE BOISSOUDY, ROUGE, COUPIGNY Capitaines, JOSA Sous-Lieutenant. J'étais trop jeune Lieute­nant pour être promu. DE LARMINAT, SICÉ et DELANGE furent des premiers Com­pagnons de la Libération. Ultérieurement, des officiers et sous-officiers du détache­ment de renfort n°4, devenu le Bataillon de marche n°1, le devinrent : DE BOIS­SOUDY, ROUGE, COUPIGNY, BROUSSAIS, LEMIERE. MONTEGIANI... Person­nellement, cela compta beaucoup dans ma nomination à cet honneur (qui surprit LAURENT-CHAMPROSAY, quand je fus décoré)."

Laurent Laloup le mercredi 25 février 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le jeudi 04 mai 2023

 

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