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Julien Victor Amand Vercingétorix Flipo

Julien Victor Amand Vercingétorix Flipo - son Livre ouvert !
 

Julien Victor Amand Vercingétorix FLIPO

Né le 18 avril 1887 - Roubaix, 59512, Nord, Npdc, FR
Décédé le 5 novembre 1974 - Clamart, 92023, Hauts-de-Seine, Île-de-France, FR, à l'âge de 87 ans

Parents
Albert FLIPO 1860-
Jeanne LECONTE 1859-

Unions
Marié le 4 août 1921, Prague, x, x, x, TCHÉCOSLOVAQUIE, avec Vera Maria Augusta HELMINTHOVA BRAUNEROVA 1898-1940
Marié le 31 mars 1949, Prague, x, x, x, TCHÉCOSLOVAQUIE, avec Zdenka PINKASOVA 1888-

Jacques Ghémard le dimanche 13 juin 2021 - Demander un contact

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Intervention du Général Flipo

Vous avez à une époque douloureuse de la vie de ma famille contribué à la réunification familiale gràce à votre sensibilité, votre compréhension et votre détermination. Mon père, réfugié espagnol, engagé dans la Légion Etrangère(Afrique du Nord 1939-45) vous avait demandé d'intervenir à notre arrivée en France en 1960 pour des raisons de réunifications familiale. J'avais 13 ans, nous étions démunis socialement et économiquement et en fait totalement perdus. J'en ai 64 à présent et mon destin m'a menée depuis longtemps au Québec. J'ai à présent l'occasion de vous remercier d'avoir changé le cours de notre vie. Le "Général Flipo" c'était pour nous un nom magique! Je ne sais pas ce que vous serez devenu, mais j'espère que vous parviendra d'une façon ou d'une autre, l'expression de toute ma reconnaissance tardive au nom de mes parents, frère et soeur!
En PJ vous trouverez copie d'une lettre de votre part et une photo (de piètre qualité) de mon père Jean BELLFORT en service à Side Bel Abès je pense.

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silvia bellfort le jeudi 08 septembre 2011 - Demander un contact

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De Giraud à de Gaulle, de Romain DURAND, L'Harmattan

" Flipo, "grand gaillard, un type épatant, aimé de tous parce qu'il connait son affaire", Balensi "petite moustache hautaine, l'air hautain et cassant", mais organisateur attentif, s'occupent de tout ce petit monde encore mal dégrossi. L'équipe des officiers subalternes vit à la bonne franquette, elle comprend le docteur Benyamine, "l'étudiant" Tilly, "l'instituteur" Vanhersecke - déjà décoré de la croix de guerre -"l'architecte" Rosé."

Laurent Laloup le samedi 01 mars 2008 - Demander un contact

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Réponse :

GR 16 P 585220 | VANHERSECKE (Pierre Charles Maurice) | 1918-03-27 | Villecresnes | Seine-et-Oise | FRANCE

De Giraud à de Gaulle, de Romain DURAND, L'Harmattan

" Le commando n°l est constitué le 12 décembre, au moins sur le papier2. Il est dirigé par le capitaine Bier - qui sera rapidement exclu - et le capitaine Balensi, un ami de Monsabert et Flipo qui a été emprisonné pour ses activités gaullistes. Mais le commandement décide bien vite que le terme "commando" sonne mal à ses oreilles. Dans le vocabulaire de l'armée française de 1942, un commando est une unité se livrant à des opérations de petite envergure, généralement vouées à l'échec. Les Anglais, qui voient la chose autrement, doivent sourire en regardant les commandos français, vêtus d'oripeaux mités des années vingt, s'escrimer avec les pistolets-mitrailleurs Sten. Monsabert transforme commando en bataillon léger et le commando n°l devient donc le 1er bataillon léger."

Plus loin, il est indiqué que le capitaine Belensi rejoint la France libre en mars

L. Laloup le vendredi 29 février 2008 - Demander un contact

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Lucien ?

" Comme Henri d'Astier et Van Hecke, Monsabert estime qu'il n'est pas judicieux qu'Anglais et Américains se donnent la possibilité d'attirer les meilleurs éléments parmi les Français qui souhaitent combattre. Un autre militaire est de leur avis, le lieutenant-colonel Flipo. Lucien Flipo est un camarade de promotion de Mast et Monsabert. Il a été attaché militaire à Prague et en a tiré certaines conclusions sur la politique extérieure de la France. Chef de corps du 3e spahis algérien dans l'armée d'armistice, il a adhéré au réseau polonais Rygor qui est très actif en Afrique du Nord. Henri d'Astier lui confie la responsabilité d'un groupe d'action en juillet 1942. En contact avec les gaullistes, les services anglais, les résistants locaux, il est vraisemblablement, dans la semaine qui suit le débarquement, l'un des hommes les plus capables de s'orienter. Il va joindre ses efforts à ceux de son vieux camarade pour organiser les volontaires français."

De Giraud à de Gaulle, de Romain DURAND, L'Harmattan

Laurent Laloup le jeudi 28 février 2008 - Demander un contact

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Extrait de : "Le Sel, la Cendre, la Flamme" de Henri Rosencher

" Le lendemain 30 novembre, au matin, nous apprenons que nous allons être passés en revue par le général de Montsabert. Il vient d'être nommé à la tête d'une nouvelle formation de volontaires : « Les Corps Francs d'Afrique ». Nous y avons été versés d'office , à titre administratif. Le général vient donc inspecter ses premières troupes.
Un vent de révolte nous secoue. On n'arrivera donc pas à échapper à cette putain d'armée de « couche-toi_là », de défaitistes, de pétainistes, de collabos. On se monte mutuellement la tête.
Vers midi, on nous rassemble : le général est arrivé. Il est accompagné du colonel Flipo. Ils ont pourtant des bouilles sympathiques.
Nous ne sommes qu'environ quatre-vingt. Pour que nous paraissions plus nombreux, on nous aligne sur un seul rang.
Le général, petit homme râblé à fine moustache, se fait présenter les hommes un par un. A tour de rôle, chacun s'avance d'un pas, salue, et se présente :
-le Moal, condamné à mort
-Cornec, condamné à mort
-Le Solleuze, condamné au bagne à perpétuité.

Et cela continue, avec Marchal, Durand et d'autres, tous , en apparence, gibiers de potence.
Bientôt mon tour devrait arriver, je me sens complexé, car je n'ai pas été condamné.
Le général, lui, ne sait quelle contenance prendre. Il arrête là notre casier judiciaire. Pour rattraper la situation, d'un verbe viril et énergique, il nous fait une belle harangue sur la reprise du combat, pour la France.
Mais nos oreilles et nos coeurs sont fermés . A la fin, notre camarade Marchal s'avance d'un pas et, d'une voix forte, répond :
« Mon général, au nom de tous mes camarades, nous ne voulons pas de vous pour nous commander. Nous ne voulons pas d'officiers pétainistes »
le général , déjà rouge de visage, vire au violet-. Il tourne les talons et s'éloigne , rageur. Philippe Ragueneau l'accompagne, essaie d'amortir le coup et lui explique que la seule armée dont nous acceptons les ordres est celle qui n'a pas déposé les armes en juin 40, qu'il avait notre sympathie, mais que nous ne pouvions transiger sur nos principes. pendant de temps le colonel Flipo vient vers nous et nous parle, navré et gentil.
« Mais, mes enfants, vous vous trompez. Nous sommes gaullistes. Le général de Montsabert qui commandait Blida a accueilli les Alliés à bras ouverts, sans combat »
C'était vrai, mais il était trop tard.
Nous n'avons plus revu ce brave général victime de notre juvénile injustice."

Laurent Laloup le samedi 23 février 2008 - Demander un contact

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Résistant en AFN

"... Dans la région de Constantine, Paul Schmitt et Michel Rouze dirigent un réseau de renseignements qui fonctionne au profit des Alliés.

A Philippeville, Émile Gianfarani organise un groupe de sabotage : des "Compagnons de la Libération Française".

Plus tard, le Colonel Flipo se préoccupe de constituer des éléments de choc et le Colonel Lorber, Commandant la Subdivision de Bone acceptera de faciliter éventuellement le débarquement Allié. ..."

war.megabaze.com 

Laurent Laloup le jeudi 21 février 2008 - Demander un contact

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www.lalegionetrangere.fr 

"Le général Flipo 1887 - 1974

Sorti de Saint-Cyr en 1909, le sous-lieutenant Julien Flipo choisit la cavalerie. Durant la première Guerre mondiale, il sert comme lieutenant puis comme capitaine dans les dragons et les cuirassiers, puis passe dans l’infanterie.

Il rejoint la Légion en 1925 comme capitaine. Il prend le commandement du 1er escadron du 1er REC et part avec lui en Syrie, où il relève le 4ème escadron qui vient de s’illustrer brillamment à Messifré et à Rachaya. De retour en Afrique du nord, il se voit confier le commandement du groupe d’escadrons à cheval du 1er REC au Maroc.

Il est ensuite désigné comme chef d’état-major de la mission militaire française en Tchécoslovaquie. Il reviendra ensuite au Maroc comme chef de corps du 3ème régiment de chasseurs d’Afrique. Placé en disponibilité en 1942, il est rappelé au service en 1943 comme Attaché militaire auprès des gouvernements alliés établis en Grande-Bretagne.

Nommé général en 1945, il sera de nouveau envoyé en Tchécoslovaquie en 1945 et quittera le service actif en 1947. Il se consacrera alors avec beaucoup de dévouement aux anciens de la Légion. Il sera président de la Fédération des Sociétés des Anciens de la Légion Etrangère. de 1950 à 1966 et reprendra du service de 1969 à 1973, après le décés du général Gaultier qui lui avait succédé."

L. Laloup le mercredi 20 février 2008 - Demander un contact

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