| |  | | | | Un Français Libre parmi 62956
| | | Yves Armand Emile Fauroux | |
Naissance : 11 novembre 1918 - Paris 14e ou 17e
Point de départ vers la France Libre : Afrique
Engagement dans la France Libre : AEF en novembre 1942
Affectation principale : FAFL /
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant
Décès à 59 ans - 12 octobre 1978 - Alicante, Espagne
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 218269
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 18409 |
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Yves Armand Emile Fauroux - son Livre ouvert !
 Yves Armand Emile FAUROUX
•Né le 11 novembre 1918 - Paris, 75014, Paris, Ile-de-France, France
•Décédé le 12 octobre 1978 - Playa de San Juan, Alicante, Espagne, à l'âge de 59 ans
Laurent Laloup le mardi 09 juillet 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Recherche Bonjour,
Fils de Fernand Piierrot (Normandie.Niemen) recherche la famille d' Yves Fauroux
Merci Pierrot Hervé le samedi 03 septembre 2016 Recherche sur cette contribution Réponse : L'adresse que vous avez indiqué ne fonctionne pas, malheureusement
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extrait du livre "Un du Normandie Niemen" de Roger Sauvage À part eux, Cuffaut - excellent - qui fera équipe avec Amarger, son séide fidèle, Bertrand (huche), mon vieux Casaneuve (sa petite femme sous l'aide de Marie-Thérèse), Iribarne, Marchi, le père Chanci, des potes, des fonceurs. Encore un Ancien révéré ; Foucaud, que nous n'avons pas vu encore, hospitalisé depuis novembre des suites d'un vieil accident, Qui encore ? Le colossal Fauroux, baptisé Johnny Lohders pour sa ressemblance avec cette vedette, Phallus (de Saint-Phalle - de la Banque). Un seul poids mort peut-être : Lolotte, qui n'a pas encore été lâché.
La patrouille Fauroux-Iribarne, qui s'entraînait, ne reparaît pas. Des heures passent. Des coups de téléphone aux terrains voisins ne donnent rien. Le Colonel, un pli au front, décide d'emmener Albert pour effectuer des recherches. Ils s'envolent dans l' U-2 de liaison. Eux-mêmes n'ont plus tant d'essence qu'après trois heures, après quatre heures de silence de leur part, l'angoisse ne monte. Bertrand et le capitaine Brihaye partent à leur tour, le second emmenant l'interprète Schik. Fin d'après-midi cauchemardeuse. Tous les jeux sont interrompus. Ce n'est que vers huit heures du soir (Brihaye et consorts sont revenus) que reparaissent le patron et Albert ; ils ont eu une panne de moteur ; c'est le traîneau qui les ramène. Mais les deux autres ? On n'est pas encore blindé contre ce genre d'alarmes.
Enfin, un coup de téléphone nous avise que Fauroux-Iribarne se sont posés dans la nature, sur le ventre. De la casse, naturellement...
Pouyade respire georges roze le samedi 14 avril 2012 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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au commandant FAUROUX suite et fin poesie retrouvée dans les archives de mon pere decedé
lorsqu'il nous a quitté ,un beau jour pour de bon
il partait pour espagne et non pour orégon
la putain de manon
et les jours ont passé et aussi les saisons
on commencait deja a oublier son nom
la putain de manon
c'est alors qu'un beau soir ; le voila sans facon
sur le petit ecran jusque dans mon salon
la putain de manon
il a fait rejaillir dans mon coeur par millions
tous les bons souvenirs des quatre ans de liaison
la putain de manon
ORANGE 1970 georges ROZE le samedi 17 mars 2012 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Au commandant FAUROUX Poesie ecrite par mon pere l'adjudant chef robert ROZE qui a servit durant 4 annees a ses cotés
au commandant FAUROUX ; heros du regiment NORMANDIE-NIEMEN
il est tombé du ciel , un beau jour sans facons
et ma dit gus , je suis l'officier de liaison
la putain de manon
je me suis demandé , mais d'ou sort-t'il donc
car il n'avait pourtant pas l'accent bourguignon
la putain de manon
nos amis canadiens , erreur de traduction
avaient cru qu'il etait descendant de huzon
la putain de manon
et pendant quatre années , et par vaux et par monts
ensemble on a tapé bon nombre de canons
la putain de manon
apres ce dur labeur , pour servir la mission
voici qu'arrive l'heure de la separation
la putain de manon
et c'est du fond du coeur , que nous vous souhaitons
bonne retraite en espagne
la putain de manon
NANCY 1965 georges ROZE le samedi 17 mars 2012 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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fils d'yves fauroux un bonjour tres chaleureux aux familles des anciens du normandie niemen; je suis né le 11.11.1957 et vis a toulon dans le var.au plaisir de vous lire et peut-etre de vous rencontrer. fauroux le mercredi 06 juillet 2011 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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ICARE N° 63 : Normandie-Niemen - Tome II : La Bataille D'Orel, Les Mécaniciens " Sommaire
JEAN LASSERRE Éditorial : 1943, l'année terrible COLONEL GÉNÉRAL NICOLAÏ CHIMANOV Les pilotes français avec l'armée rouge ROLAND DE LA POYPE De l'Angleterre à la Russie : deux techniques, le même combat ANATOLI EMILIANOVITCH GOLOUBOV 20 Yak s'élancent, c'est Pouyade. JACQUES DE SAINT-PHALLE Pouyade m'a fait confiance ALEXANDRE KOUZMITCH PETROVETZ Le jour où les français ont sauvé un de nos pilotes. YVES FAUROUX A l'hôpital de Moscou, on demande l'officier français au parloir. .. JEAN DE PANGE Campagne 1943; ceux qui ne sont pas rentrés. IGOR EICHENBAUM Vie et mort sur le front russe. A.E. PILCHTCHIKOV Quand nous marchions ensemble vers la victoire. ANATOLE COROT Le bouquet russe du printemps. JEAN DARENLOT Du « Normandie» au « Bretagne ». ROGER TOURTELIER Journal d'un mécanicien. ALBERT HENRY Chez les russes, c'était la guerre pour tout le monde. GEORGES MARCELIN Travailler les mains nues par - 30° ... MARCEL HANNAUX 3 heures du matin - Il heures du soir. YVES JACQUIER Si c'était à refaire, j'y retournerais. DENIS LARRIVET Littolff était un véritable ascète. ROBERT CARME Pouliquen m'a dit: "viens avec nous ... " ARMAND LUMBROSO J'ai encore dans les oreilles le grondement de l'artillerie russe. RAYMOND TROLLIET Les russes n'oublient pas. EDMOND PETIT Les Livres." Laurent Laloup le mercredi 18 mars 2009 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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clocher.fr
" Dans la matinée du 31 août 1943.
En décollant, après le déjeuner, du terrain de Spass-Demiansk, Yves Fauroux dit « Ban-Ban », le pied-noir blond, rêvait d’accrocher la 43ème victoire au palmarès de l’escadrille. Mission de couverture a priori au-dessus d’IELNIA, où l’offensive transformait le ciel en fournaise. Ils sont dix sous la direction de Béguin et de Léon. Béguin en panne d’armement, revient peu après son décollage. Restent en l’air Durand, Léon, FOUCAUD, Risso, Mathis, de Forges, les jeunes Laurent, Sibour et lui, Fauroux, qui ne sont pas des cracks mais en suivant à la trace un Risso ou un Durand, on peut rêver ! " Laurent Laloup le mardi 11 septembre 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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www.cieldegloire.com
" Né le jour de l'Armistice de 1918 à Paris, Yves Fauroux passe son enfance en Algérie. Il s'engage dans l'Armée de l'Air la veille de ses 20 ans, le 10 novembre 1938. Elève mitrailleur à Cazaux, puis élève pilote à Aulnat, il est breveté en avril 1939.
Après deux tentatives malheureuses, il rejoint les Forces aériennes françaises libres (FAFL) le 10 novembre 1942 (Numéro 35481) à bord d'un Dewoitine 520 en rejoignant la Gambie Britannique. Après quelques mois passés à Londres, il se porte volontaire pour le "Normandie" et arrive au Groupe le 3 août 1943. Le 31 août, au cours d'un combat tournaoyant, il est abattu par un Fw 190. Blessé à la jambe gauche et aux deux bras, il parvient à se poser dans un champ, en bout de piste d'un aérodrome au voisinage de Viazma. Le Sous-Lieutenant Fauroux quitte l'URSS le 12 décembre 1944 avec une victoire aérienne à son actif, obtenue le 18 octobre contre un Hs 129.
Après la guerre, il séjourne et fait campagne au Maroc, en Indochine, en Algérie. Il prend finalement sa retraite avec le grade de Lieutenant-Colonel.
Commandeur de la Légion d'Honneur, il est aussi titulaire de la Croix de guerre, Médaille de la Résistance, Ordre de Lenine, Ordre de la Guerre pour la Patrie, Médaille de la Victoire. Il est décédé en octobre 1978. " 
Laurent Laloup le mardi 11 septembre 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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