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Eugène Alphonse Henri Diebold

Eugène Alphonse Henri Diebold - son Livre ouvert !
 

Eugène a t il eu un fils avec une autre femme après Laure..?

C'est très sûrement une coïncidence, j'en suis consciente, mais voilà :
L'histoire de la famille du côté de mon grand père reste assez floue. Il me semble que mon grand père lui même savait peu de choses sur son père biologique : Eugène Diebold. On nous a dit que c'était un homme qui voyageait beaucoup, comme si il n'avait pas d'habitat fixe, et on a conclu de manière plus hypothétique que sûre que c'était parce qu'il était gitan (j'étais jeune, je ne sais plus d'où vient cette explication bancale). Mais en tombant sur le nom du fiancée de Laure Diebold, je me demande si ce ne serait pas lui ? Raison pour laquelle on ne saurait presque rien sur lui, et aussi explication à ses "déplacements".
Il me semble que mon arrière grand mère n'a pas récupéré son nom.

Rachel Diebold le dimanche 23 janvier 2022 - Demander un contact

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www.ajpn.org/personne-Laure-Mutschler-Diebold-1032.html 

"... Laure Diebold, née Laure Mutschler, le 10 janvier 1915 à Erstein (Bas-Rhin) arrive à Sainte-Marie-aux-Mines en 1922 où ses parents s’étaient fixée au 46 de la rue Jean Jaurès. 
Après ses étude, à la veille de l'occupation nazie, en 1939 elle entre comme secrétaire aux établissements Baumgartner. 
Après l'armistice, elle milite dans une organisation de passeurs pour les prisonniers évadés sous le pseudonyme de "Mado" et s'associe au mouvement de Résistance du Dr Bareiss regroupé sous le sigle de A.V. (= Armée de Volontaires). Elle devint un agent de liaison du réseau "Mithridate", dirigé en Alsace par Alfred Rebert. 
C'est ainsi qu'elle hébergea des prisonniers de guerre au domicile de ses parents, 4 rue Jean Jaurès, ou chez son fiancé Eugène Diebolt, le secrétaire de la mairie.

Repérée par l'occupant, elle s'évade d'Alsace à la veille de Noël 1941 et rejoint Lyon, cachée dans une locomotive. 

Elle travaille au service des réfugiés d'Alsace-Lorraine et entre à partir de mai 1942 au réseau "Mithridate", avec Alfred Rebert, Eugène Diebolt, et d'autres passeurs. Agent de liaison et d'évasion, catégorie P1, elle recueille des informations qu'elle code et fait passer sous forme de courrier à Londres. ..."

Laurent Laloup le jeudi 07 mai 2020 - Demander un contact

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A l'intention de Gilles Gauthier

Et non Gilles, Laure et Eugène n'ont jamais eu d'enfant ! C'était un homonyme très probablement, ou un membre de la famille d'Eugène qui portait le même que lui... Je suis le petit-fils de la meilleure amie de Laure, donc la source est certifiée ! Bonne chance pour votre recherche !

Arnaud le jeudi 03 mars 2016 - Demander un contact

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je pense avoir connu leur fils scout.?

Dans les années 54/56? j' ai rencontré chez les scouts à Lyon 5ème (Troupe 25 Lyon, groupe du Cardinal) un copain toujours souriant et discret qui, parlant d'une cérémonie officielle récente place Bellecour avec remise de décoration, me dit que sa mère y participait parce que c'était important pour elle.
Puis il a disparu assez rapidement et je ne l'ai plus jamais revu.
Il s'appelait Diebolt (prénom oublié).
Récemment j'ai lu le livre concernant les compagnons de la Libération et j'ai alors compris qu'il devait être le fils d'Eugene et Laure.

J'aurais aimé le retrouver.

Merci

Gilles Gauthier le samedi 09 janvier 2016 - Demander un contact

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Réponse :

Je ne trouve aucune biographie de Laure Diebold disant qu'elle aurait eu des enfants. Peut être un neveu ?

"Laure Diebold, de son nom de jeune fille Laure Mutschler, est née le 10 janvier 1915 à Erstein (Bas-Rhin) dans une famille alsacienne très patriote.

Après des études secondaires, elle devient, avant la guerre, secrétaire sténo-dactylo bilingue français-allemand, à Sainte-Marie-aux-Mines (1934-1935) puis de 1935 à 1939 aux usines Elastic à Saint-Louis.

Pendant la Drôle de Guerre elle est secrétaire d'un industriel à Saint-Dié. Après l'armistice, elle demeure en Alsace et rejoint une organisation de passeurs pour les prisonniers évadés.

Repérée par l'occupant, elle quitte l'Alsace à la veille de Noël 1941 et parvient à Lyon, cachée dans une locomotive.

Elle y retrouve son fiancé, Eugène Diebold, prisonnier évadé, qui la fait embaucher comme secrétaire au service des réfugiés d'Alsace-Lorraine. "

www.ordredelaliberation.fr 

Laurent Laloup le samedi 09 mai 2009 - Demander un contact

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