Alfred Jean Dalbiez - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Alfred Jean Dalbiez



Naissance : 2 octobre 1908 - Sournia (66)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Afrique

Engagement dans la France Libre : AEF en septembre 1940

Affectation principale : Terre Leclerc - Afrique / RTST

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 154805

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 13355

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Alfred Jean Dalbiez - son Livre ouvert !
 

La Dépêche du Berry, 15 juin 1941

Laurent Laloup le mardi 21 juillet 2020 - Demander un contact

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Alfred Dalbiez

JORF du 17 mai 1946
Décret du 24 avril 1945 portant attribution de la médaille de la Résistance francaise avec rosette :

Dalbiez , receveur des PTT

Source : Yves MORIEULT

Laurent le jeudi 31 décembre 2009 - Demander un contact

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Alfred Dalbiez ?

Soustelle Jacques‎ · ‎Envers et contre tout de Londres à Alger ( 1940-1942 )‎.

" Un officier de marine, l'enseigne de vaisseau de Mersuey, apparut soudain à Foundiougne, et ses démarches montraient assez quelles étaient ses intentions. Campistron et son adjoint l'interrogèrent; quand il déclara qu'il voulait franchir la fron­tière pour aller rejoindre les Forces Françaises Libres, ils lui firent voir quels services il pouvait rendre en A.O.F. même, et il accepta aussitôt une mission. Il s'en acquitta avec succès, prenant contact à Thiès avec Louis Jacob, en service à la mairie, et avec le sergent-chef Poupeau, du régiment mixte d'infanterie coloniale. On comprendra l'importance du rôle que pouvait jouer ce sous-officier lorsqu'on saura que l'or de la Banque de France, évacué après la débâcle, était entre­posé au quartier Faidherbe qu'occupait le R.M.I.C. Poupeau devait se tenir aux aguets et prévenir Bissagnet par messages tétéphooés conventionnels de tout déplacement effectif ou projeté de ce stock. Bissagnet avait reçu par Bathurst une consigne du général de Gaulle, qui attachait naturellement le plus grand intérêt à connaître les « coordonnées » du trésor de la France.
...
Aucun des détenus ne donna les noms de ses camarades encore en liberté. Malheureusement, la police parvint à retrouver certains points de l'itinéraire de Boislambert et quelques-uns de ses contacts. Douhet, Auclert, Lequeux (qui avait pris part au sabotage des lignes télépho­niques à Dakar), Dalbiez, Jacob, furent arrêtés. Au mois d'oc­tobre, deux camions cellulaires transportèrent à Thiès les détenus gaullistes; vers minuit, leur escorte leur donna l'ordre de monter dans des wagons à bestiaux. Louveau, le capitaine Soufflet, Kaouza, tous les autres, refusèrent obstinément : ils étaient encore des fonctionnaires ou des officiers, prévenus, certes, mais non encore condamnés. Une violente discussion s'éleva, au cours de laquelle le lieutenant Bertrand, qui com­mandait en second l'escorte, prit ouvertement le parti des prisonniers. "

laurent le lundi 07 septembre 2009 - Demander un contact

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Alfred Dalbiez ?

Soustelle Jacques‎ · ‎Envers et contre tout de Londres à Alger ( 1940-1942 )‎.

" (Boislambert, Bissagnet et Brunel) se rendirent chez Dalbiez. Les nouvelles de la base aérienne n'étaient pas des plus rassurantes. Le commandant Martin, chef de cette base, venait d'être muté et remplacé par le commandant Fo­restier, dont on ne savait rien; de nouveaux équipages arri­vaient à peine du Maroc, et leur état d'esprit ne semblait pas très favorable. D'un autre côté, on pouvait compter sur le colonel Pasquier. On décida en fin de compte de laisser à Thiès le lieutenant Brunel, chargé de maintenir le contact avec le colonel Pasquier et d'agir avec l'aide de ce dernier auprès du commandant Forestier. Dalbiez et un autre sous-officier, Labroue, devaient sortir dans la nuit du 22 au 23 avec deux sections de mitrailleuses, sous prétexte de procéder à un exercice, pour se poster à proximité du terrain et faire feu le cas échéant. Enfin, il fut entendu que le groupe de Saint-Louis enverrait à Thiès des patriotes décidés qui se chargeraient de couper les lignes téléphoniques. Bissagnet et Brunel rencontrèrent le soir même, dans la Maison forestière de Thiès, un émissaire de Saint-Louis : toutes les disposi­tions furent prises pour amener les agents de ce groupe chez Dalbiez, qui leur fournirait les cisailles et le matériel néces­saires pour accomplir leur mission. "

laurent le dimanche 06 septembre 2009 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le mardi 21 juillet 2020

 

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