Etienne Courtiau - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
Accueil
 
Presentation
Liste des Français Libres
Recherche même nom
Recherche déces même jour
Ajout d'un Français libre
Liste du SHD
Liste Chaline
Liste Ecochard
 
Contact
 
 

Un Français Libre parmi 62943
 

Etienne Courtiau



Naissance : 20 octobre 1907 - Saint-Sever (40)

Activité antérieure : liberal / cadre

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL /

Matricules : 30.049

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 74 ans - 25 novembre 1981 - Mont-de-Marsan (40)

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 147882

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 12819ligne 12831


Contribuez à son livre ouvert !

Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ...

Votre nom Votre e-mail il restera caché

Titre de la contribution

Texte de la contribution

Une image (gif ou jpg) sur votre ordinateur

Et pour prouver que vous n'êtes pas un robot : 3 plus 2 =  ?


Etienne Courtiau - son Livre ouvert !
 

FAFL et non armée de terre

Monsieur Etienne COURTIAU, né le 20 octobre 1907, était adjudant mécanicien d’active de l’armée de l’air à son arrivée en Grande-Bretagne le 20 juin 1940, passager du Farman quadrimoteur 122 numéro 19 « Altaïr » qui, décollant de Saint-Jean-d’Angély aux mains de l’adjudant-chef James DENIS et de l’adjudant Roger SPEICH (tous deux futurs Compagnons de la libération) emmenait à son bord 18 autres sous-officiers de l’école des radios-navigants. Au dernier moment, peu avant le décollage, le capitaine commandant l’escadrille, accompagné de sa femme, demanda à prendre place à bord. (Témoignage du colonel James DENIS publié dans le numéro 128 de 1989 de la revue Icare « Les FAFL tome 1, « la naissance au Moyen-Orient ».

Arrivés sans encombre en Grande-Bretagne, trois des « évadés » changèrent d’avis et demandèrent à retourner en France. Des seize aviateurs restants, tous engagés dans les forces aériennes de la « Légion de GAULLE », six ne virent pas le jour de la victoire et furent tués en service aérien. La plupart de ces hommes embarquèrent quelques semaines plus tard à Liverpool, pour la fameuse opération de Dakar, puis la campagne du Gabon, le Tchad, etc.…

La liste complète, y compris ceux qui demandèrent à rentrer, figure dans un article écrit par un autre évadé, le sergent radio Raymond DISPOT, publié dans le numéro 102 de 1982 de la revue Icare « Les lignes aériennes militaires ». On peut aussi se référer au livre « Cap sans retour » de madame Germaine L’HERBIER-MONTAGNON.

L’adjudant Etienne COURTIAU fut immatriculé aux FAFL avec le numéro 30.049.
J’ai eu le privilège d’échanger des correspondances avec lui dans les années 1970.
Il est décédé le 25 novembre 1981 à Mont-de-Marsan.
Je rédige une notice d’activités le concernant que je transmettrai dans les jours à venir.

MORIEULT Yves le samedi 30 janvier 2016

Recherche sur cette contribution


Source : Une légère fumée blanche qui monte doucement, de Robert H. Bimont

Laurent Laloup le mardi 16 octobre 2007 - Demander un contact

La page d'origine de cette contribution

Recherche sur cette contribution

 

Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté





fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 28 1 2024  Hébergé par Nuxit  Temps entre début et fin du script : 0.81 s  8 requêtes