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| Philibert Collet | |
Naissance : 12 décembre 1896 - Sidi-bel-Abbès, Oran, Algérie
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient
Engagement dans la France Libre : Palestine en mai 1941
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / QG
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : general
Décès à 48 ans - 15 avril 1945 - Toulouse (31)
Mort pour la France
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 137471
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 11935 |
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A mon grand-oncle Cet homme, dont on parlait beaucoup dans ma famille, m'était inconnu. J'ai cherché sur internet et j'ai trouvé un homme courageux qui allait jusqu'au bout de ses convictions. Son frère (Noël né en 1895 à Sidi-bel-Abbès) qui était mon grand-père paternel est mort des suites de la guerre de 14-18. 
COLLET Georges le dimanche 03 décembre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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petite mise au point COLLET Philibert née 1896 à Sidi Bel Abbes rueTurgot avait dans sa prime jeunesse des camarades du nom de Petit Emile et Alexis NOEL lequel épousera en 1923 à Oran Annette soeur de Philibert
DE GAULLE tenait en haute estime Collet, qu'il a nonmé Général et chargé de remettre de l'ordre dans la région de toulouse.Dans ses mémoires de guerre il dit(le Cdt Collet au courage légendaire nous réjoint) On le retrouve sur diverses photos en compagnie du Général Catroux et De Gaulle. En Syrie lors de déplacement en avion piloté par TULASNE (qui sera par la suite le chef de l'escadrille Nomandie Niemen. Il est également en Cie de De Gaulle et Catroux-
Quand à Clempert Anne, il faut prendre ses écrit avec prudence, petit aimé le jeudi 02 novembre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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mon grand-père Collet était l'oncle du Général Nous habitions à quelques Km où est né le Général en 1896. Mon grand-père s'appelait Philibert Collet né en 1880...lorsque le frère de mon grand-père a eu un fils il l'a appelé Philibert...Tous les ans je vais fleurir la tombe du général enterré à Toulouse et son épouse Anne est enterrée juste derrière...il est décédé à Toulouse suite à un accident de voiture...ceci étant la version officielle, la vérité serait toute autre d'aprés ma mère qui était donc la cousine germaine du Général...Général volontairement oublié par la VOLONTE du général de Gaulle qui craignait qu'il lui fasse de "l'ombre" dixit ma famille. Guy Satgé le dimanche 15 octobre 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Hommage tardif à une légende familiale Une pensée émue et un hommage à ce fier combattant, héros des Tcherkesses, cousin germain de mon père, le chef de bataillon, Charles COLLET. Si je n'ai pas connu Philibert COLLET, j'ai eu l'honneur d'accueillir Madame la Générale Anne COLLET à son retour des USA. Je ne l'ai malheureusement pas revue avant son décès et j'ai cru comprendre qu'elle était inhumée auprès de son cher époux (son cher Bobby ?) dont elle n'a cessé tout au long de son existence d'entretenir et de faire vivre l'image et la mémoire, notamment au travers de ses écrits dont je possède un exemplaire dédicacé. Elle a grandement contribué à bâtir une véritable légende autour de la vie de ce guerrier du Proche-Orient et j'éprouve toujours la même fierté d'être un représentant d'une branche de cette famille à chaque évocation du COLLET des Tcherkesses.
Dr. Jean-Charles COLLET COLLET le mercredi 14 août 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Dans "1061 Compagnons" Page 298 -15 juin 1941
" Au pied du djebel Abu Atriz, à l'extrême droite de l'avancée française, Collet, fort de dix chars, subit également un très gros revers. A Nehja, en effet, spahis et Tcherkesses trouvent face à eux leurs anciens camarades de régiment. L'imbroglio est tel que, quelques jours auparavant, les patrouilles des deux camps se sont rencontrées, ont déjeuné ensemble et se sont rendu compte, à leurs rations (britannique pour les Free French), qu'elles appartenaient à deux camps opposés ! La bataille sera très violente. Appuyé d'automitrailleuses britanniques, un premier assaut coûte cinq chars aux Free French. Celui du carabin Jacques Hébert encaisse plusieurs coups au but. Deux obus arrachent sa tourelle, un troisième le culbute. Hébert tire son camarade Robédat jusque dans un fossé. Mais des tireurs les ont en joue. Un obus achève Robédat et blesse sérieusement à l'épaule Hébert qui parvient quand même à regagner ses lignes. Le char de son cousin, Louis Koenig, avec lequel il a fui la France, a également été frappé, ses deux occupants tués. Collet redonne l'assaut trois heures plus tard. Bien que trois blindés de Volvey soient à nouveau allumés, les spahis s'infiltrent dans les vergers et prennent Nehja que l'artillerie adverse noie sous les bombes. Cette fois, Collet doit ordonner le repli. Huit chars sur dix détruits, les spahis décimés, deux de leurs chefs de peloton tués. Le lieutenant de Villoutreys est porté disparu (Fait prisonnier, il est envoyé en prison en France. Aprés la convention d'armistice de Saint-Jean-d'Acre, il sera libéré et parviendra à rejoindre les unités FFL à Damas). Le bilan est catastrophique pour l'escadron des spahis constitué de quelques dizaines d'hommes : sept morts, deux disparus, vingt-quatre blessés dont le fougueux Ballarin." Laurent Laloup le mercredi 24 septembre 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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