| |  | | | | Un Français Libre parmi 62958
| | | Jean Jérôme Marie Camard | |
Naissance : 17 octobre 1923 - Etables-sur-Mer (22)
Activité antérieure : ouvrier / artisan
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en mars 1941
Affectation principale : Résistance intérieure / Mithridate
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P1
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 102448
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 9165 |
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"... Cette mission effectuée (on ignore si l’avis 8de la RAF avait été positif ou non), Barker retourne à Paris, d’où, le 30 avril, WILLIAMS et "une jeune française nommée ANDRÉE", le guident vers la région de Saint-Brieuc avec d'autres évadés, dont un américain et deux anglais. L’un d’eux est le Sgt Cox (fiche D360). Ils vont près d’Étables aidés par Jean CAMARD et la famille LANLO et accompagnés par Jacques BONNERON (du 14 Avenue Georges Clémenceau à Vincennes) et Georges JOUANJEAN, mais le bateau ne vient pas et ils rentrent à Paris. ..."
www.cometeline.org 
GR 16 P 311925| JOUANJEAN (Georges Charles Edmond)| 1917-05-31| Carhaix-Plouguer| Finistère| FRANCE| FFc DIR Laurent Laloup le lundi 27 janvier 2020 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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"... Lors d'un nouvel interrogatoire, il déclare : « Le 10 décembre 1943 un membre de la Gestapo accompagné de Le Gludic est venu m’arrêter à mon domicile et il m’a conduit à la maison d’arrêt de Saint-Brieuc. Au bureau il m’a simplement demandé à qui appartenaient les cartes d’identité trouvées en possession de Gludic. J’ai reconnu qu’elles étaient ma propriété. C’est à partir de ce moment que j’ai été mis en cellule avec un nommé Camard de Dinan. » Lors de l’enquête d’instruction, la police ne trouvera aucun « Camard de Dinan ». A mon sens il s'agit de Jérôme Camard, maire d’Étables-sur-Mer, qui hébergeait des aviateurs alliés. Il a été arrêté le 23 septembre 1943 puis libéré le 25 juin 1944. Son fils, Jean Camard, du réseau Pat O’Leary, a été lui aussi arrêté le 20 juin 1943 à Paris. Emprisonné et condamné à mort, il s’évade le 6 mars 1944, gare du Nord alors qu'il allait être déporté. ..."
kristianhamon.blogspot.com
GR 16 P 102449 | CAMARD ( Jérôme Paul Marie ) | 1888-08-18 | Etables-sur-Mer | Côtes-du-Nord | FRANCE | FFc DIR Laurent Laloup le mercredi 23 octobre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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" evasion in Brittany – The Oaktree Mission of Val Williams and Ray Labrosse
The delivery to France of Val Williams and Ray Labrosse was delayed for more than two months, firstly by lack of a reception committee for their intended Lysander landing, and then by bad weather, so it wasn't until 20 March 1943 that they were finally parachuted ‘blind' into the Forêt de Rambouillet. The two agents landed safely with their guns and money but one of their bicycles, and more importantly, both their radios, were damaged.
Leaving Labrosse at Rambouillet, Williams took the only usable bicycle to Paris to find Yvonne Le Rossignol, a woman he had known earlier in the war. She took him to see their mutual friend Elisabeth Barbier at 72 rue Vaneau (in Montparnasse) where he was surprised to meet an agent who had been on the same aircraft when he had been parachuted in. This was "Armand", who directed the Alençon sector of the BCRA Mithridate intelligence network. Despite security rules which required separation between the networks, especially when they were of a different nature, Armand suggested that Williams contact Jean Lanlo at Saint-Quay-Portrieux. Jean Lanlo then put Williams in touch with Jean Camard, son of the maire at Etables and who, in addition to convoying, specialised in producing identity cards. Williams asked Jean Lanlo to organize the departures of the airmen from the Saint-Quay-Portrieux - Plouha – Paimpol area. Lanlo also sent Camard to Carhaix to contact a local group, known as "Pen Called" (Breton for hard heads) who were isolated with their military evaders following the arrest of Louis Nouveau in February. Jean Camard went to Geo Jouanjean to announce the visit of Guillaume (Val Williams) and Williams suggested that Jouanjean handled the airmen and arranged hiding them in the neighbourhood. He also asked Jouanjean to organize their departure to Paris and direct them on to Spain if a sea link was not possible. Ray Labrosse (aka Paul) also came to Brittany, but without a radio, Williams could only contact London through Mithridate. Meanwhile, Williams organized a base near the coast. After staying for a while with Jean Lanlo's parents at the Villa Soleil, Williams and Labrosse rented a house in Saint-Quay-Portrieux. Andrée Leveque, who had avoided arrest at her parents flat in Paris, joined them in Saint-Quay [Williams says he set up Labrosse and Mlle Leveque as man and wife]. More airmen continued to arrive and it was necessary to find new shelterers for them. Geo Jouanjean asked his friend Jean Guivarc'h to help and he introduced Jouanjean to Doctor Meynard, maire and general advisor, who gave him the address of an American friend who lived at Plourivo, la Comtesse Betty de Mauduit. Agreement was quickly reached and the airmen were moved from La Pie (Job Le Bec) and Carhaix (Mlle Correc and Mlle Marchais) and Saint-Quay-Portrieux, to the Chateau du Bourblanc where the airmen were pleasantly surprised to find a charming hostess who spoke their language perfectly. When Williams visited them on 10 April 1943 they were thirty-four (sic) evaders hidden in the attic of the chateau. Georges Jouanjean also had the huge problem of supplying them with food and soon acquired a solid reputation as a black-marketeer, particularly for meat. He was helped in this by Job le Bec, the miller at La Pie, and Bob Pennée, a butcher at Rostrenen. ..."
www.conscript-heroes.com
GR 16 P 365337 | LE ROSSIGNOL ( Yvonne ) | 1906-05-31 | Neuilly-sur-Seine | Seine | FRANCE
GR 16 P 311925 | JOUANJEAN ( Georges Charles Edmond ) | 1917-05-31 | Carhaix-Plouguer | Finistère | FRANCE | FFc DIR
GR 16 P 369501 | LEVEQUE épouse MIROVICI ( Andrée ) | 1921-07-27 | Paris | Seine | FRANCE | FFc DIR Laurent Laloup le mercredi 23 octobre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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"... Dès 1941, l'esprit résistant des élèves du lycée Anatole-Le-Braz de Saint-Brieuc se manifeste d'une façon intelligente et active. Rien d'étonnant de la part de lycéens, car « Vichy » recrute presque uniquement parmi les lâches, les opportunistes ; donc guère parmi les jeunes.
Les circonstances spéciales dans lesquelles vivent à cette époque beaucoup de jeunes conduisent beaucoup d'entre eux à suivre la plus noble des causes avec le dévouement, la générosité et aussi l'imprudence propres à la jeunesse.
En mars 1941, le jeune Jean Camard, d'Etables-sur-Mer, élève de première, abandonne ses études pour s'enrôler dans un Réseau d'évasion de la France combattante. Pendant plusieurs mois, il convoie de nombreux aviateurs alliés pour le Réseau Pat O'Leary, puis passe au Réseau Mithridate avec Jean Lanlo, de Saint-Quay-Portrieux. A plusieurs reprises, il conduit des aviateurs à la frontière espagnole.
Arrêté, puis condamné à mort, sa peine est commuée en vingt-cinq ans de travaux forcés. Il s'évade en gare du Nord à Paris, alors qu'il est en route pour la déportation. Revenu en Bretagne, il prend part aux ultimes combats de la Libération. ..."
memoiredeguerre.free.fr Laurent Laloup le mercredi 23 octobre 2019 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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docs.google.com
- Jean Camard, élève en 1 ère au lycée de St-Brieuc, avait abandonné ses études à l'âge de 17 ans et demi pour prendre du service au réseau Mithridate, dès le 26 mars 1941. Ce réseau ayant été mis en sommeil, il passa au réseau Pat O'Leary et revint ensuite à Mithridate qui avait repris son activité. Il fut d'abord chargé de missions d'espionnage à Rouen, promu aspirant, puis chargé de l'accompagnement des aviateurs en transit. C'est ainsi qu'à lui seul, il convoya en un grand nombre de fois un total de 152 aviateurs. Arrêté le 20 juin 1943 à Paris par la Gestapo, il fut emprisonné à Fresnes, Rennes et Angoulème. Condamné à mort en décembre 1943, sa peine fut commuée en 25 années de travaux forcés. Il réussit à s'évader de la gare du la commune durant l'occupation Nord à Paris le 6 mars 1944 et à se camoufler jusqu'aux derniers jours de l'Occupation, ce qui lui permit de prendre part, comme F.F.I., aux combats ultimes pour la libération de notre pays. " laurent le mardi 05 janvier 2010 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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