Joseph ou Henry Marcel Bundervoët d'Hautecourt alias Dambray - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Joseph ou Henry Marcel Bundervoët d'Hautecourt alias Dambray



Naissance : 21 septembre 1912 - Saint Denis, La Réunion

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juillet 1940

Affectation principale : FAFL / Royal Air Force

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine

Décès à 31 ans - 9 juin 1944 - Chichester, Royaume-Uni

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 97185

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 8684

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Joseph ou Henry Marcel Bundervoët d'Hautecourt alias Dambray - son Livre ouvert !
 

Registres de nationalité ouverts par les Forces françaises libres à Londres
GRENET, Lucette Fernande
Naissance : 15 février 1921, Londres, Royaume-Uni.
Résidence : lieu non indiqué.
Type d'acte : acquisition de la nationalité française par mariage.
Date de déclaration : 17 décembre 1940.
Conjoint : BUNDERVOET D'HAUTECOURT,, lieutenant des Forces navales françaises libres.
Mariage : 18 janvier 1941, Paddington, Royaume-Uni, avec l'autorisation du général de Gaulle.
Date de récepissé : 23 juin 1941.

Laurent Laloup le dimanche 29 septembre 2019 - Demander un contact

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Cap sans retour de Germaine l'Herbier Montagnon

Liste des 412 FAFL décédés établie par Germaine L'Herbier-Montagnon en 1947 dans son livre Cap Sans Retour:
68ème : Lieutenant Bundervoet d'Hautecourt Joseph évadé le 23 juin 1940 de St Jean de Luz vers l'Angleterre. Mort pour la France le 9 juin 1944

ROBINARD le samedi 06 juillet 2013 - Demander un contact

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" N° FAFL 30.002 : BUNDERVOET d'HAUTECOURT Henry "

Yves MORIEULT

Laurent le lundi 14 décembre 2009 - Demander un contact

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L’épopée d’un aviateur de la France Libre , par Yves Morieult



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Laurent le lundi 05 octobre 2009 - Demander un contact

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gabas 

Henry Bundervoët d'Hautecourt

Quand la Réunion écrira son Livre d’Or de la guerre actuelle, et que seront gravés sur des plaques de marbre les noms de ceux qui, chez nous, ont donné leur vie pour que la France vive, le capitaine Henry Bundervoët ne sera certainement pas oublié. C’était un créole plein d’ardeur et d’allant. Fils d’officier, il avait suivi la carrière de son père. Le général de Gaulle qui l’avait connu en Angleterre, adressait à sa famille le 30.10.44, une carte écrite de sa main où l’on peut lire : “Je n’oublierai pas le glorieux d’Hautecourt”. Signé : de Gaulle.

Le Président de l'Association des Anciens des Forces Aériennes Françaises Libres nous a adressé par courrier en date du 29 janvier 2001 la note biographique suivante : 30002

BUNDERVOET d'HAUTECOURT Joseph, Hervé

Né le 21 septembre 1912 à SAINT DENIS DE LA REUNION

Mobilisé en 1939 comme lieutenant au 12ème Régiment Sénégalais, à LA ROCHELLE, Joseph BUNDERVOET d'HAUTECOURT est élève observateur au moment de l’Armistice, à la Base aérienne de TOURS. Il décide de rallier la Grande-Bretagne et se rend à SAINT JEAN DE LUZ, où il rencontre ROQUERES, CLARON et Max ANDRé. Déguisés en polonais, tous les quatre embarquent sur le Sobieski. Il rallie les FAFL le 23 JUIN 1940 et se porte volontaire pour être pilote et effectue son entraînement dans les écoles de la RAF. A sa sortie d’O.T.U., il est affecté au Squadron 551 (de chasse de nuit) avec le grade de capitaine.

Il se tue à l’atterrissage sur son Mosquito très endommagé, le 09 juin 1944, au retour d’une mission, sa dixième depuis le débarquement,

Décorations / Citations:

Chevalier de la Légion d’Honneur,
Croix de guerre,
Médaille de la Résistance

Laurent Laloup le jeudi 16 avril 2009 - Demander un contact

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www.cieldegloire.com  :

"Élève du Prytanée national de La Flèche en 1923, Henri Bundervoet obtient le brevet de préparation militaire élémentaire (1er sur 15 candidats) en janvier 1934 et résilie son sursis.
Affecté au 3e régiment d'infanterie coloniale, à Rochefort, il prépare les élèves officiers de réserve et est détaché au 14e régiment d'infanterie, à Toulouse. Admis au peloton des élèves officiers de réserve en octobre 1934, il rejoint alors l'École militaire de l'infanterie et des chars de Saint-Maixent (promotion Rhin et Moselle) ; il y est libéré en avril 1935, avec le grade de sous-lieutenant de réserve puis affecté dans l'infanterie métropolitaine. C'est dans cette dernière qu'il est autorisé à servir en situation d'activité, en octobre 1935, au 150e régiment d'infanterie de Verdun. Nommé lieutenant de réserve en juin 1937, il retrouve à l'École militaire de l'infanterie et des chars de combat en octobre; classé 34e sur 236 élèves, il démissionne de son grade de lieutenant de réserve et est nommé sous-lieutenant d'active en septembre 1938.

Promu lieutenant en avril 1939, il est affecté le même mois au 12e régiment de tirailleurs sénégalais, qui devient en décembre le 12e régiment d'infanterie coloniale, à La Rochelle.
Le 15 janvier 1940, Henri Bundervoet est détaché à sa demande au Centre école de reconnaissance de Tours où il est breveté observateur en avion le 1er juin 1940. Quelques jours plus tard, il est affecté à la base aérienne de Clermont-Ferrand puis à celle de Pau. Il décide de rallier la Grande-Bretagne et se rend à Saint-Jean-de-Luz, où il rencontre Rosières, Clairon et Max André. Déguisés en Polonais, tous les quatre embarquent sur le Sobieski et débarquent à Plymouth le 23 juin 1940.

Henri Bundervoet d'Hautecourt rallie les Forces aériennes françaises libres (FAFL) le même jour (il est le deuxième immatriculé aux Forces aériennes françaises libres (FAFL), n° 30002), volontaire pour devenir pilote. Après une période d'attente au camp de Saint-Athan, il commence son entraînement à l'École franco-belge d'Odiham, en novembre, et le poursuit à la Service Flying Training School 11 de Shawbury, où il vole sur Airspeed Oxford. Il est breveté pilote le 16 juillet 1941. En septembre 1941, il vole avec la 1 Air Observers School de Wigtow en tant qu'instructeur et chef du détachement français puis, promu capitaine en décembre,

Il part le mois suivant pour le Moyen-Orient : arrivé au Caire, en Égypte, le 27 janvier 1942, il est affecté quelques jours après au groupe mixte d'instruction de Damas, Syrie, où il vole sur Potez 25 et Bristol Blenheim. En mai 1942, il est dirigé vers la mission militaire française au Moyen-Orient, au Caire, et vole comme instructeur au Royal Aero-club of Egypt à Héliopolis, sur Moth Minor En août, il part au Kenya, élève à la Operational Training Unit 72 de Nanyuk continue de se spécialiser dans les missions de bombardement, sur Bristol Blenheim mais aussi au vol de nuit.

Rappelé en Grande-Bretagne en octobre de la même année, il embarque sur le Mendoza, qui est torpillé le 1" novembre 1942 au large de Durban, en Afrique Sud. Il passe deux difficiles journées dans un canot de sauvetage, avec notamment l'adjudant Charles Kocher. Souffrant d'insolation, il perd momentanément la vue. De retour en Grande-Bretagne en avril 1943, il est affecté au Groupe de Bombardement Lorraine, qui est devenu le Squadron 342 de la RAF, rééquipé avec des Douglas Boston. Il n'y vole que pour quelques missions d'instruction car son souhait est de devenir pilote de chasse de nuit.

Aussi, en septembre 1943, il est brièvement affecté à l'état-major de l'Air, à Londres puis, le même mois, il passe par la Operational Training Unit 51 de Cranfield il s'entraîne sur De Bristol Beaufighter de chasse de nuit, puis au Squadron 551 Twinwood, en décembre 1943. Le 7 février 1944, il est affecté dans une unité britannique spécialisée dans ces missions, le Squadron 141 basé à West Raynham: son navigateur radio n'est que Charles Kocher et les deux hommes forment ainsi le seul équipage Forces aériennes françaises libres (FAFL) constitué de chasse de nuit, les quelques autres pilotes Forces aériennes françaises libres (FAFL) volant avec navigateur radio britannique.

Ils y découvrent le De Havilland Mosquito NF II et effectuent leur première mission de guerre dans la nuit du 9 au 10 avril 1944. Cependant, les avions de l'unité pour la plupart des vétérans du Figuier Command et connaissent des problèmes de fiabilité. Ainsi, dans la nuit du 18 au 19 avril 1944, le capitaine Bundervoet doit couper un moteur alors qu'il se trouve sur les côtes du Danemark. Il réussit ramener son avion en Angleterre, ce qui vaut à l'équipage la Croix de guerre et une citation élogieuse.

Le 27 mai, c'est une panne du radar qui oblige l'équipage à abandonner la mission de même que dans la nuit du 5 au 6 juin 1944, alors que les forces alliées s'apprêtent à débarquer en Normandie. Le 9 juin 1944, l'équipage, formé par le capitaine pilote Bundervoet d'Hautecourt et l'aspirant radio-navigateur Kocher, rentre d'une mission nocturne avec un moteur défaillant et annonce son intention de faire un atterrissage forcé, train rentré. La visibilité est mauvaise et le De Havilland Mosquito NF Il DD758 / TW - N survole longuement la piste de Ford, en Angleterre, avant de s'écraser à son extrémité, vers 3h 10 du matin. "

Laurent Laloup le samedi 06 octobre 2007 - Demander un contact

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" "Septembre 1942, le groupe Lorraine reçoit sa nouvelle affectation alors que Rommel est aux portes d'Alexandrie face aux positions d'El Alamein. Direction l'Angleterre.

Le SS Mendoza après avoir passé le canal du Mozambique se dirige vers Durban. Il navigue seul bien qu'une escorte ait été demandée; mais la campagne maritime en Méditéranée et la surveillance des lignes de transport absorbent une grosse partie de la Navy. A 70 miles de sa destination, le 1er Novembre il rencontre le U-178. Torpillé le bâtiment engloutit l'eau de mer et commence à prendre de la gite. Des mesures sont prises afin de réduire les entrée d'eau, mais lorsque le commandant constante l'étendue des avaries il décide d'abandonner le navire. 10 canots de sauvetage sont mis à l'eau. Peu après une seconde torpille frappe la coque, elle est accompagnée d'une forte explosion. Chacun encore à bord tente de sauver sa vie comme il peut en se jetant à la mer. Le bâtiment se couche sur le côté et coule.

Les personnes tombées à l'eau sont hissées sur les canots. Le commandant recommande de ne pas se perdre de vue, un avion ayant survolé le lieu du naufrage, des secours sont attendus. Les rescapés parmi lesquels tous les élèves de l'OTU 72 embarqués à Mombassa croient en leur chance d'être secourus. Il y a là Julien Allain, Charles Lang, Robert Armfield qui se jette à l'eau pour sauver Pierre Kocher qui ne sait pas nager, Philippe de Brettes, Henry Bundervoet d'Hautecourt, Robert Colcanap et d'autres encore."

pguiller.club.fr 

Laloup laurent le jeudi 16 août 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le dimanche 29 septembre 2019

 

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