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| François Etienne Brunschwig | |
Naissance : 24 septembre 1907 - Avignon (84)
Activité antérieure : liberal / cadre
Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique
Engagement dans la France Libre : en février 1941
Affectation principale : FAFL / Royal Air ForceLorraine, mission militaire du Caire Matricules : 40.009, 30.716
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine
Décès à 36 ans - 30 juillet 1944 - au large des côtes de Grande Bretagne
Mort pour la France Frère de Michel Brunschwig
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 95500
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 8536 |
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François Etienne Brunschwig - son Livre ouvert ! Videz vos poches. Histoire du Groupe Lorraine - p.m. lambermont « …. Le 15 janvier 1945, à la tête de deux escadrilles anglaises de Mosquitos, il attaque des bateaux ancrés au fond d'un fjord près de Narvick. Son avion est pris en chasse par quatre Focke Wulfs... Guedg a le temps de tirer ses huit fusées sur un pétrolier qui l'emporte dans son explosion.
Une poignée des compagnons de cellule du père de Maurice parvient à rejoindre la Grande-Bretagne. Accueillis, soignés et choyés par des familles anglaises, les ex-tolards d'Afrique du Nord peuvent remettre de l'ordre dans leur santé. Les misères et les souffrances accumulées les avaient terriblement affaiblis. L'un d'eux le lieutenant Brunschwig (ses 84 kilogs normaux sont réduits à 51 kilogs à sa sortie du cachot) rejoint le groupe Alsace. Son frère avait fait la campagne de Libye comme observateur au groupe Lorraine. Rey et Gaston sont descendus à leur première sortie sur le front, au Groupe Normandie-Niemen. Perraux se tue à l'entraînement. Ghigliotti est abattu en attaquant une rampe de lancement de bombes volantes... En 44, quelques-uns sont au Lorraine. Le commandement ne les comprend pas toujours et manque parfois de finesse psychologique.
Les traces d'une ou deux années de réclusion ou de travaux forcés ne s'effacent pas en un clin d'œil. Perdus dans de douloureux souvenirs, ils sont d'une nervosité extrême ou subitement apathiques. D'une intransigeance catégorique, ils ont du mal à nuancer leurs réactions. De plus, très sensibles aux effets de la fatigue, il leur est difficile de s'intégrer au rythme d'une vie normale ou de s'adapter aux activités d'un groupe en opérations. Après tout, le commandant d'un groupe est un « manager ». Or, le manager doit connaître et tenir compte des points faibles de son boxeur. Ceci ne se met pas encore en équations !… » Laurent Laloup le mardi 25 avril 2023 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Il est l'un des 123 FAFL disparus sans sépulture dont le nom figure désormais sur la stèle commémorative du Tréport inaugurée en juin 2022.
Sa notice biographique et les circonstances de sa disparition ainsi que l’historique du projet de la Stèle, mené par l’Association pour la mémoire des FAFL, sont consultables sur le site de la Fondation de la France libre à l’adresse suivante :
Des photos de la stèle sont consultables sur le site « Aérostèles » :
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Fred Bentley le samedi 30 juillet 2022 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
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Enregistrement matricule(s) FAFL François Brunschwig rallie la France Libre en février 1941 et les FAFL le 15 avril. Polytechnicien, c'est comme capitaine observateur qu'il est enregistré à la Compagnie de l'Air au Moyen-Orient avec matricule 40.009. Rejoint le "Lorraine" à sa formation et le 15 mai 1942 muté à la mission militaire du Caire.
Il sera également enregistré FAFL par Londres avec le matricule 30.716 bertrand le jeudi 04 novembre 2021 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Dans la nuit du 29 au 30 juillet 1944, un Vickers Armstrong Wellington du 172 squadron ne rentre pas d'une mission anti sous-marin au large des côtes de Bretagne. Son dernier message radio est : "Sous-marin en vue, nous attaquons" puis l'appareil et son équipage dont le navigateur François Brunschwig, disparaissent.
François Brunschwig né en 1907 à Avignon s'était engagé dans les FAFL le 15 avril 1941. Affecté fin 1941 au Moyen-Orient au groupe Lorraine, puis à la mission militaire française du Caire, il est promu capitaine. En mai 1942, il rentre en Angleterre et, après un bref passage à Camberley et l'état-major FAFL, il est affecté à la 3 school of great reconnaissance en avril 1943, puis à la 3 Operational Training Unit de Chivenor (Coastal Command) en juin de la même année, et enfin sur Wellington au 172 squadron en tant que navigateur au mois de septembre suivant. (extrait de mon livre : Les Français du 6 juin 1944)
De larges extraits de son évasion et de sa correspondance à ce sujet sont publiées des pages 145 à 165 dans le livre de Germaine L'Herbier-Montagnon: Cap sans retour, publié le 24 avril 1948 chez Solar. Il est noter que son camarade Boube qui est mentionné à plusieurs reprises fut pilote au Normandie-Niemen du 9 juin au 29 septembre 1943. (décédé le 19 avril 1960) ROBINARD le mercredi 03 novembre 2021 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Cap sans retour de Germaine l'Herbier Montagnon Liste des 412 FAFL décédés établie par Germaine L'Herbier-Montagnon en 1947 dans son livre Cap Sans Retour:
66ème : Lieutenant Brunschwig François évadé en avril 1941 Oran, Casablanca, Angleterre. Mort pour la France le 29 juillet 1944. ROBINARD le samedi 06 juillet 2013 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Note de l'éditeur :
"FRANÇOIS BRUNSCHWIG
Brillant pilote, ainsi que son frère, Michel, il est l'exemple même de ces hommes jeunes et indomptés qui, «ton seulement n'ont jamais désespéré de notre liberté, mais qui ont contribué, au prix de leur propre vie, à forcer le sort en notre faveur, pendant la résistance.
Près de 300 heures de vols de guerre, 31 missions spéciales, la dernière où iI disparut, à la veille de la libération, en vue des côtes de France, tel est le « tableau » du pilote François Brunschwig, qui nous emporte avec lui dans des aventures, à la fois burlesques ou dramatiques, tandis que son frère Michel allait tomber, plus tard, en Indochine.
Le sens même de tels destins, volontairement acceptés et accomplie, met chacun de nous en face de son propre choix, et de son avenir." Laurent Laloup le dimanche 02 septembre 2007 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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