Paul Marie Nonce Borrossi - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Paul Marie Nonce Borrossi



Naissance : 22 novembre 1921 - Penhars (29)

Activité antérieure : étudiant / scolaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en juillet 1940

Affectation principale : FAFL / Arras

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : lieutenant

Décès à 22 ans - 29 février 1944 - à 125 miles au sud-ouest de Land's End, Angleterre

Mort pour la France

Frère de Jean Borrossi 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 74829

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 6839


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Paul Marie Nonce Borrossi - son Livre ouvert !
 

Il est l'un des 123 FAFL disparus sans sépulture dont le nom figure désormais sur la stèle commémorative du Tréport inaugurée en juin 2022.

Sa notice biographique et les circonstances de sa disparition ainsi que l’historique du projet de la Stèle, mené par l’Association pour la mémoire des FAFL, sont consultables sur le site de la Fondation de la France libre à l’adresse suivante : 

Des photos de la stèle sont consultables sur le site « Aérostèles » : 



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Fred Bentley le samedi 30 juillet 2022 - Demander un contact

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"Paul-Marie Borrossi est né le 22 novembre 1921, route de Pont-l'Abbé à Penhars, dans le Finistère.

Sa mère d'origine bretonne, est institutrice, alors que son père d'origine corse fait carrière dans l'armée. Après avoir fait toute la guerre de 1914-1918, il vient se marier à Penhars en décembre 1919. Il quitte l'armée en 1926 avec le grade d'adjudant-chef et décède en 1940. Le ménage Borrossi aura trois enfants dont l'aîné Jean naîtra en 1920, le deuxième Paul en 1921, et le troisième qui sera une fille en 1924.

Après des études primaires à l'école communale d'Ergué-Gabéric, où il obtient son Certificat d'Etudes, Paul entre au lycée de Quimper où il passe une année avant d'entrer à l'Ecole Jules Ferry. Il est très bien noté en mathématiques mais peine beaucoup en français. Il échoue d'ailleurs au Brevet et quitte l'école en 1939.

Il a dix-huit ans et l'aviation le passionne. Il suit d'ailleurs, depuis quelque temps les cours de l'Aviation Populaire à l'aéro-club de Pluguffan, où il cotoie les nommés Jacques Andrieux et Maurice Bon.

Fin 1939, Paul Borrossi signe un engagement volontaire pour la durée de la guerre, dans l'armée de l'Air. Il passe vingt-trois jours sur l'aérodrome de Caen-Carpiquet, avant d'être affecté, en janvier 1940, à l'Ecole de Pilotage n° 23 du Mans. Cette école est commandée par le lieutenant Edouard Pinot dit " Bouboule ", surnom qui lui avait été donné par Guynemer, dont il était le mécanicien au sein de la célèbre Escadrille des " Cigognes ", durant la Première Guerre mondiale.

Devant l'avancée allemande, l'école se replie sur Saint-Brieuc, puis sur Morlaix-Ploujean, où elle arrive le 1er juin 1940, après absorbtion de l'Ecole de Pilotage n° 25 de Vannes. Le 18 juin, l'école se replie sur l'aérodrome de Quimper-Pluguffan. En traversant Quimper, Paul Borrossi est reconnu par d'anciens camarades et des voisins. Le soir, il vient chercher du ravitaillement en ville et en profite pour aller voir sa famille. Les conversations vont bon train entre la Préfecture Maritime de Brest, le Préfet de Quimper, le Lieutenant Pinot et son adjoint le sous-lieutenant Berthier. Malgré les conseils du Préfet d'attendre, en l'absence d'autres instructions, le lieutenant Pinot poursuit son projet de gagner le sud de la Loire ou le Maroc. En fait, c'est à Douarnenez que va se trouver la solution. Par un heureux hasard, des officiers de Marine mettent le lieutenant Pinot en rapport avec François L'Helguen, patron d'un langoustier " Le Trébouliste " (un dundee de cent dix-huit tonneaux), qui pêche habituellement sur les côtes de Mauritanie. Celui-ci accepte de prendre à bord de son chalutier toute l'école de pilotage avec armes et vivres. De l'Ecole n° 23, partiront deux officiers, vingt-et-un sous-officiers et quatre-vingt-cinq caporaux et soldats. Même l'aumônier-sergent de vingt-six ans, Robert Godard, père blanc de Prémontré, est là, fidèle à son poste. Il sera par la suite promu capitaine, et dirigera l'aumônerie des FAFL. On y retrouve aussi quelques autres pilotes, dont le sergent Jules Joire qui avait déjà abattu six avions allemands du 10 au 22 mai, pendant la bataille de France. Descendu par un avion ennemi le 25 mai, dans la région de Beauvais et gravement blessé, il était en soins à l'hôpital de Douarnenez. Finalement, ce sont 130 hommes qui embarquent le 19 juin à 23 heures, à bord du " Trébouliste ", et qui arrivent le lendemain soir à Falmouth. Le " Trébouliste " sera réquisitionné par les Anglais et servira de transport côtier.

Le 27 juin 1940, Paul Borrossi signe son engagement volontaire dans les FAFL avec le matricule n° 30.018. Il suit le cycle d'entraînement dans les écoles de la RAF (6 Elementary Flying Training School de Sywell le 31 mai 1941). Caporal-chef le 15 août 1941, il est nommé sergent en novembre suivant. Il obtient son brevet de pilote le 28 novembre 1941, avec le n° 123 GB. A sa sortie d'Operational Training Unit en décembre 1941, il est d'abord affecté au 66 Squadron, où il côtoie le capitaine Maurice Claisse, ancien chef-pilote d'essais aux avions Breguet de 1932 à 1940, et qui sera le premier Français à voler, en mai 1943, sur avion à réaction (Gloster Meteor).

Promu aspirant le 15 juin 1942, Paul Borrossi est cité quelques semaines plus tard à l'ordre de la Zone aérienne de Grande-Bretagne:

" L'aspirant Paul Borrossi du Squadron 66 pour le motif suivant: ayant à son actif plus de quatre-vingts heures d'opérations, et cinquante missions de guerre, s'est distingué particulièrement le 26 juin 1942, en soutenant seul le combat contre quatre chasseurs ennemis et en réussissant à ramener à sa base, son appareil gravement endommagé, grâce à son sang-froid et à son habileté de pilote. Cette citation entraîne l'attribution de la Croix de Guerre avec étoile d'argent ".

Fait à Londres, le 22 juillet 1942.

Ce jour-là, au cours du Circus 194 dans la région du Havre, Paul Borrossi pilotait le Spitfire Vb AB 489. Son camarade, le Flying Officer R. Claude, pilote au 118 Squadron du même Wing, fut obligé de "crasher" son Spitfire, atteint lui-aussi par le tir de plusieurs Fw 190.

Paul participe également aux opérations sur Dieppe, le 19 août 1942, puis, est promu sous-lieutenant le 15 décembre 1942.

En mars 1943, Paul Borrossi est affecté au 340 Squadron ou groupe de chasse n° 2 "Ile-de-France" basé à Turnhouse près d'Edimbourg en Ecosse. Le groupe fait ensuite mouvement sur la base de North-Berwick, puis, début novembre, sur le terrain de Perramporth en Cornouaille britannique.

C'est de là que Paul Borrossi décolle le 29 février 1944, à 8h04, pour accomplir ce qui va être sa dernière mission. Ce jour-là, aux commandes de son Spitfire Mk IX MJ 853, il participe à une patrouille au-dessus de l'Ile d'Ouessant, avec trois équipiers: Jean Homolle, Denys Boudard et Bernard de Gillès (alias Osmanville). Au retour de la mission, alors qu'il vole à basse altitude, son Spitfire percute la mer à 125 miles au sud-ouest de Land's End, explose sous la violence de l'impact et sombre. Il est exactement 8h59... Le soir, au rassemblement, le sous-lieutenant Paul Borrossi manque à l'appel. Très populaire parmi ses camarades, son calme et sa bonne humeur étaient très appréciés et ont bien servi à remonter le moral de certains qui parfois, non sans raison, se laissaient devenir nostalgiques. Pour Paul, la défaite de l'Allemagne était toujours une certitude. Tout ce qu'il restait à savoir, c'était la date. La manière tranquille et consciencieuse dont il accomplissait son devoir était un exemple pour tous. Sa disparition fut cruellement ressentie.

Porté disparu en mer et déclaré "Mort pour la France", Paul Borrossi sera cité à titre posthume à l' ordre de l'Armée aérienne:

"Sous-lieutenant Borrossi Paul du Groupe de Chasse "Ile-de-France", jeune officier pilote d'élite, a rejoint les FAFL en juin 1940, son allant exceptionnel, sa bravoure, son calme et sa modestie exemplaires lui ont valu en escadrille britannique puis au Groupe de Chasse " Ile-de- France " la confiance et l'estime de ses chefs et de ses camarades. A totalisé cent cinquante missions de guerre dont quarante-cinq au-dessus de territoires occupés par l'ennemi. A trouvé une mort glorieuse le 29 février 1944, au cours d'une sortie offensive. Cette citation comporte l'attribution de la Croix de Guerre avec palme ".

Fait à Alger, le 29 juin 1944. Signé: Charles de Gaulle.

Dans le décret du 11 mars 1947 portant attribution de la Médaille de la Résistance française avec rosette à titre posthume (J.O du 27 mars 1947), on lit: " Capitaine Paul-Marie Borrossi. Il fut fait, aussi à titre posthume, Chevalier de la Légion d'Honneur par décret du 22 octobre 1947 ".

Il faut également noter que Jean Borrossi, frère de Paul, a quitté, lui aussi en juin 1940, un autre port breton sur un bateau américain qui arrive finalement à Bayonne. Il revient à Quimper et va s'occuper de résistance. Il aura l'occasion, avec sa mère, de recueillir et de garder cachés, plusieurs aviateurs américains dont cinq en janvier-février 1944, et deux autres plus tard. Tous les sept rejoindront l'Angleterre en bateau par les Côtes-du-Nord.

En 1946, désirant commémorer avec éclat le sixième anniversaire de l'appel du 18 juin du général de Gaulle, les anciens FFL organisent à Quimper et Penhars, plusieurs cérémonies du souvenir. La vieille route de Pont-l'Abbé du bourg de Penhars va prendre le nom de rue du Sous-lieutenant Paul Borrossi. La plaque commémorative portant l'inscription " Rue Paul Borrossi, ancien des FAFL, 1921-1944 " a été posée sur le mur de la maison même où demeurait Madame Borrossi, mère de Paul. La Croix de Guerre est épinglée sur la poitrine de Madame Borrossi par le général Guirriec. Pour clore cette cérémonie, les Pupilles de la Marine vont exécuter la "Marseillaise".

L'inscription "Paul Borrossi, "Ile-de-France", 1921-1944 " va aussi figurer sur la stèle rendant hommage à l'aspirant Maurice Bon, à l'entrée de l'aéroport de Quimper-Pluguffan."

www.absa3945.com,

Laurent Laloup le lundi 22 août 2016 - Demander un contact

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Médaille de la Résistance française


Le capitaine Paul-Marie BORROSSI a été décoré de la médaille de la Résistance française, avec rosette, attribuée à titre posthume, par décret du 11 mars 1947 signé Vincent AURIOL, président de la République (Publié au JORF du 27 mars 1947 – page 158 M.R.)

NB : il y a une erreur dans ce décret en ce qui concerne le grade de Paul BORROSSI, nommé lieutenant pour compter du 25 décembre 1943.

Lorsqu’il fut porté disparu en mer, en opérations aériennes le 29 février 1944, il était toujours lieutenant et non capitaine. Ce grade de lieutenant est d’ailleurs mentionné correctement sept mois plus tard, dans le décret du 22 octobre 1947 (JORF du 24 octobre – page 10.542) qui le nomme chevalier de la Légion d’honneur à titre posthume.

Yves MORIEULT le mardi 04 juin 2013

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Photo de Borrsossi Paul

Une belle photo du jeune Borossi avec Louis Jaffre, de l'école du Mans, début 40 en GB. Jaffre resta sous-officier, pilote de Boston au groupe Lorraine. Tous deux étaient de proches amis.



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Collet Patrick le vendredi 11 juin 2010 - Demander un contact

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30018 : Paul Borrossi

Source : Yves MORIEULT

Laurent le lundi 02 novembre 2009 - Demander un contact

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Paul Borrossi

En photo dans :
Les Ailes Françaises 1939-1945 n°7 Les aviateurs de la France Libre (1ere partie)

Laurent Laloup le mardi 23 septembre 2008 - Demander un contact

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forum.12oclockhigh.net 

"Croix de Lorraine sur Dieppe" Yves Morieult, Aéro Editions

Commandant Emile (called François), Marie, Léonce, Fayolle
Capitaine Maurice Claisse, Free French, not South African, Awarded DFC
Capitaine René Mouchotte, awarded DFC, KIA 27/08/43 as CO of N° 341 Sqn
Lieutenant de Vaisseau Roland Béchoff
Lieutenant de Vaisseau André Gibert
Lt Jacques-Henri Schloesing, awarded DFC
F/O Roland Claude, Free French, N° 118 Sqdn, MIA 14/07/1943 Enseigne de Vaisseau N° 807 Squadron
F/O Bernard Fuchs, Free French, N° 19 Sqn, awarded DFC
Sous-lieutenant Michel Boudier, awarded DFC, POW 07/1944 Capitaine N° 341 Sqn.
Sous-lieutenant Pierre Laureys (called Kennard), awarded DFC
Sous-lieutenant Olivier Massart, awarded DFC, POW 13/03/45 Capitaine & OC N° 340 Sqn
Sous-lieutenant André Moynet
Sous-lieutenant Marcel Renaud
Sous-lieutenant Henri de Bordas, Free French, not South African
Sous-lieutenant Bernard Scheidhauer, Free French, not South African, POW 18/11/1942 N° 131 Sqn, murdered 30/3/44
P/O Jacques Andrieux, Free French, N° 130 Sqn, awarded DFC
P/O Roland Leblond DFM, Free French, N° 130 Sq
P/O Michel Bernard, Free French, N° 232 Sqn, awarded DFC
P/O Godefroy Le Gal, Free French, N° 154 Sqn
P/O Henri de Molènes, Free French, N° 91 Sqn, KIFA 27/08/1942 N° 91 Sqn
P/O Pierre, René Pabiot, Free French, N° 610 Sqn
P/O Maurice, Marie, Pierre Halna du Fretay BEM
P/O Maurice, Raymond Gaudard, KIFA 02/09/1942
P/O Jean Maridor, awarded DFC, KIA 03/08/44 F/L N° 91 Sqn.
P/O Jacques, Henri Joubert des Ouches, MIA 06/06/1944 Lt N° 345 Sqn
P/O René Royer (not Rogers) KIFA 03/09/1944 Lt N° 341 Sqn
P/O Paul-Marie Borossi, MIA 29/02/1944 Lieutenant N° 340 Sqn
Maître Gaston Kerlan
W/O Jean Buiron
F/Sgt Gilbert, Marc, Marcel Vaillant, KIFA 27/10/1943 Sous-lieutenant N° 340 Sqn
F/Sgt Fernand Horvath, Free French, N° 165 Sqn
Sergent-Chef Christian Demas, MIA 21/05/1944 Capitaine N° 340 Sqn
Sergent Marcel Bouguen, Awarded DFC KIFA 09/03/1944 Capitaine N° 341 Sqn
Sergent Marcel Reeve, KIFA 02/05/1944 Sous-lieutenant N° 340 Sqn
Sergent Raymond Taconet
Sgt André, Paul Vilboux
Sgt Arnaud, Charles, Marie de Saxcé, KIA 10/04/1945 Sous-lieutenant N° 341 Sqn"

Laloup laurent le jeudi 27 mars 2008 - Demander un contact

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" Le soir à la mairie

Lié aux frères Borossi, Paul et Jean, dont la mère était institutrice à Ergué-Gabéric. Il devait participer, dès 1941, à l'activité d'un groupe créé par Mme Albert Le bail. François Balès s'était procuré une clé de la mairie d'Ergué et le soir il s'y rendait discrètement usant de tampons, imitant une signature, pour fournir des faux papiers à ceux qui en avaient besoin.

Autour de lui aussi des camarades s'organisaient, entraient dans l'action : il y avait Jean Berri, un lycéen qui devait rejoindre les FFL et mourir à bord de son char lors de la percée d'Avranches ; Hervé Bénéat, un normalien, mort en déportation, Jean Le Corre, lui aussi déporté, Pierre Le Moigne qui parvint à échapper aux griffes de la Gestapo."

arkaevraz.net/ 

Laurent Laloup le dimanche 13 janvier 2008 - Demander un contact

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GWEGEN (Guéguen) Yann : BRETAGNE AUX AILES BRISEES - F.A.F.L. 1940-1945. Tome 1. Chez l'auteur, 1994, :

Laurent Laloup le dimanche 23 septembre 2007 - Demander un contact

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Paul Borossi est né à Penhars (aujourd'hui Quimper) le 22 novembre 1921. Lui aussi élève pilote de l'Aviation populaire de Quimper, il était élève à l'école Elémentaire de pilotage n°23 du Mans en 1940 lorsque celle-ci a toute entière rejoint la France Libre en partant du Douarnenez le 19 juin 1940. Il a été breveté pilote militaire en octobre 1941 (n°123 des FAFL). Affecté au groupe Ille-de-France, il est mort accidentellement en traversant la Manche à basse altitude, au retour d'une mission vers Ouessant, le 29 février 1944.

Source : www.bretagne-aviation.fr 

Laurent Laloup le mercredi 02 mai 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 30 juillet 2022

 

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