| |  | | | | Un Français Libre parmi 62956
| | | Raymond Blondel | |
Naissance : 17 juin 1908 - Vernon (27)
Activité antérieure : militaire
Point de départ vers la France Libre : Moyen Orient
Engagement dans la France Libre : Palestine en mai 1941
Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient /
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : commandant
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 65335
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 6097 |
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Raymond Blondel - son Livre ouvert !
Raymond Blondel ? COLLET au galop des Tcherkesses, par Yves Salkin :
"Après l'armistice, 10 officiers seulement se rallient aux FFL ; c'est donc un contingent de 45 officiers qu'il faut recruter pour remplir les vides. Beaucoup de cadres sont volontaires comme ceux des Tcherkesses : de Réals, Cristofini, Liger, Lacroix, Blondel, Bellet, Sarrazin... Mais de nombreux officiers sont à prélever dans les rangs des unité FFL. De Brazzaville, de Gaulle avait senti ce besoin d'être présent, le plus tôt possible, dans les anciennes garnisons de l'armée française du Levant. Il avait également prescrit aux Français, engagés chez les Britanniques, de rejoindre les FFL. C'est ainsi que le lieutenant Massa avait tenu à venir de Tobrouk au Caire pour entendre cet ordre de la bouche même du lieutenant-colonel des Essars  , alors chef d'état-major du commandement des FFL au Moyen-Orient." Laurent Laloup le samedi 28 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Raymond Blondel ? COLLET au galop des Tcherkesses, par Yves Salkin :
"En dessous des délégués et des délégués-adjoints, on trouve les cadres des "services spéciaux" qui assurent à la fois l'administration d'un sous-secteur (ou d'un quartier) et le commandement d'une unité. Cette structure avait été héritée du groupe des gouverneurs militaires qui avaient fait partie du corps expéditionnaire du maréchal Allenby. Ces "services administratifs" étaient devenus des "conseils administratifs", avec le général Gouraud en octobre 1919, puis des "services de renseignement du Levant" qui avaient duré jusqu'en décembre 1930. En janvier 1931, enfin, ils s'étaient transformés en "services spéciaux du Levant". Les cadres bénéficiaient d'une hiérarchie spéciale qui comptait plusieurs grades particuliers : chef de corps, chef de service, chef de bureau, officier de lre classe, officier de 2e classe. Un officier supérieur, en poste à Beyrouth, supervisait le bon fonctionnement du système. Remplirent cette fonction le commandant Teze du temps de Dentz, puis le capitaine Blondel, le lieutenant-colonel de Chevigné et le colonel Bapst dont le poste fut supprimé en novembre 1943." Laurent Laloup le samedi 28 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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