| | | | | Un Français Libre parmi 62953 | | | Jean Marie Raymond Blondel | |
Naissance : 8 octobre 1920 - Wiesbaden, Allemagne
Activité antérieure : marin
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en février 1942
Affectation principale : FNFL / marine de guerreE N Président Théodore Tissier, La Combattante, Rubis Matricules : 102 FN42
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : enseigne de vaisseau
Décès à 77 ans - 3 février 1998 - Toulon (83)
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 65296
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 1603
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 6091 |
Contribuez à son livre ouvert !Ouvert à tous pour exprimer vos sentiments, évoquer vos souvenirs, préciser son parcours, sa vie, poser des questions, citer des livres, des articles, des sites, déposer des documents, photographies, ... | | |
Jean Marie Raymond Blondel - son Livre ouvert ! Eéléments biographiques Biographie détaillée avec photo sur le site Ecole Navale :
Le capitaine de vaisseau Blondel était titulaire de la DSC (Distinguished Service Cross) britannique, équivalent du célèbre DSO pour les officiers de l'armée de terre. LE BRETON Thierry le mercredi 18 mars 2020 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
Ingénieur CEA . Confrère au CEP en 1968 Ingénieur du Commissariat à l'Energie Atomique, affecté au Centre d'Essais du Pacifique en 1968, j'ai eu l'honneur de travailler avec le Capitaine de Frégate Jean Blondel.
Le CF Blondel commandait le BB Morvan sur lequel étaient embarqués deux cents agents civils affectés au chantier DINDON à MURUROA. J'étais moi-même, leur représentant et j'avais la lourde tâche de maintenir de bonnes relations avec la Marine et de les faire vivre en ''bonne intelligence'' avec l'équipage du bord, donc en particulier, avec le Commandant Blondel qui était mon interlocuteur direct.
Bien que nos relations fussent parfois difficiles, nous en arrivâmes à des relations bien plus amicales que professionnelles. J'appréciais la culture ,l'humour et la gentillesse de cet homme, quelque peu ''rugueux'' au premier abord, mais qui cachait un coeur d'or, notamment pour son équipage. Au soir de ma vie j'en garde le souvenir d'un des hommes les plus remarquables qu'il m'ai été de rencontrer. RVM MOURAILLE le jeudi 11 mai 2017 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
|
"Les Escorteurs de la France Libre" de Michel Bertrand " L'amiral Muselier, nommé chef des FNFL, a rédigé son premier ordre du jour sur une caisse en bois. C'est une sorte de corsaire méridional, un marin bouillant, énergique. On pourrait armer davantage de bâtiments, mais il faut des équipages. Et l'on manque d'hommes, d'hommes jeunes. Voilà ce que pense Muselier à Londres.
C'est ce que pense aussi le jeune Besnault, de l'autre côté de la Manche, ainsi que quatre autres jeunes gens de ses amis, Pierre Guélorget, François Menguy, Jean Blondel et Claude Robinet, qui préparent depuis plusieurs semaines leur évasion de la France occupée. Les cinq adolescents « bien tranquilles » sont fin prêts en cette froide mais belle matinée de janvier. Leurs familles ne se doutent de rien. ..." L. Laloup le mardi 15 avril 2008 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution | |
|
passion.histoire
" Claude Robinet, étudiant, se trouvait en 1940 dans la région de Paimpol car il voulait rejoindre les forces de De Gaulle. N'acceptant pas de baisser les bras, il rencontra à Pléhédel, lors du mariage d'un ami, le frère Jean Baptiste Legeay , celui qui allait devenir avec Suzanne Wilborts son chef de réseau. Voulant le mettre à l'épreuve, J.B. Legeay chargea Claude Robinet d'établir un plan des défenses côtières de Paimpol à Bréhec.
Aidé d'un camarade, Maurice Mazeran, il testera ses talents d'agent de renseignements sur le sémaphore de la Pointe de Bilfot en juillet 1941. Profitant de l'absence des cinq ou six allemands de garde descendus à Port Lazo pour déjeuner, nos deux agents, après avoir franchis la clôture de barbelés et brisé les vitres, pénétrèrent dans le sémaphore. Ils firent main basse sur le plan détaillé des défenses côtières des environs. Profitant de leur présence dans les locaux de la station, ils jetèrent par dessus le mur d'enceinte côté mer, quelques mitraillettes et mirent "un peu de désordre" dans les pièces de l'occupant.
Claude Robinet ne manquera pas, également, d'"emprunter" un portrait d'Hitler. Il le cachera dans sa valise pendant un temps, mais la religieuse, chargée du foyer où il était hébergé, fouilla dans ses affaires et lui signifia de quitter les lieux. On imagine les conséquences dramatiques que la découverte d'un tel objet, par les allemands, aurait pu provoquer. De nombreux réseaux tombèrent souvent par de tels actions.
Le plan fut le soir même entre les main du frère Legeay qui ne tarda pas à le faire parvenir à Londres. Celui ci sera soigneusement étudié, par des spécialistes.
Cette action obligea Claude Robinet à quitter Paimpol pour se réfugier au château du Bourgblanc à Plourivo chez la Comtesse De Mauduit, en attendant son départ vers l'Angleterre en janvier 42.
Départ de l'agent Claude Rivière pour l'Angleterre
Se sentant menacé, Claude Robinet, alias Claude Rivière décida de rejoindre l'Angleterre, il partira le 15 janvier 1942 en se joingnant à un groupe sur le départ : François Menguy, Pierre Guélorget, René Besnault, Jean Blondel.
Comme tous les évadés de France, à leur arrivée en Angleterre, Claude Robinet et ses compagnons subiront, à la célèbre "Patriotic School", un interrogatoire destiné à déceler les espions allemands et à obtenir le maximum de renseignements sur la région de résidence des évadés. C'est lors de cet "entretien" qu'il dessinera pour l'intelligence service la disposition, intérieure et extérieure, des bâtiments et des défenses de la station sémaphore de la Pointe de Plouézec. Ces croquis et informations serviront de support pour la rédaction du dossier d'intelligence de l'opération "Fahrenheit" et pour les commandos chargés de l'attaque de cet objectif. Ils pouvaient ainsi connaître avec exactitude la disposition des différents éléments à neutraliser. Il s'agit là, sans nul doute, d'un magnifique exemple de collaboration entre la résistance et les seirvices anglais."
Les 5 "évadés", à droite Claude Robinet Laurent Laloup le dimanche 28 octobre 2007 - Demander un contact La page d'origine de cette contribution Recherche sur cette contribution Réponse : François Menguy, "premier à gauche sur la photo" me dit son fils
| |
Dernière mise à jour le mercredi 18 mars 2020 Vous pouvez à tout moment obtenir la rectification des données, vous concernant, inscrites dans cette base qui est déclarée sous le n° 1137942 auprès de la Commission Nationale Informatique et Liberté |
| |
fiche.php PHPisé et MySQLisé par Jacques Ghémard le 28 1 2024 Hébergé par Nuxit Temps entre début et fin du script : 0.74 s  8 requêtes
|
|