| ![](theme/coin.gif) | | | | Un Français Libre parmi 63031 | | | Marcel Louis Gérard Baudouy | |
Naissance : 9 aout 1906 - Constantinople, Turquie
Activité antérieure : marin
Point de départ vers la France Libre : Metropole
Engagement dans la France Libre : en juillet 1940
Affectation principale : FNFL / marine de guerreLéopard, Bouclier, Amiens
Grade atteint pendant la guerre et spécialité : Enseigne de vaisseau
Dossier administratif de résistant : GR 16 P 39048
Dans la liste de l'amiral Chaline : ligne 1024
Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 3836 |
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Marcel Louis Gérard Baudouy - son Livre ouvert ! Chronique des FNFL : 12 JANVIER 1941. Plymouth - 9 heures.
Le pavillon national et le pavillon FNFL sont hissés à la poupe et au mât de beaupré du torpilleur Bouclier sous le commandement du capitaine de corvette Birot. Ce bâtiment avait, faute de personnel français, été confié successivement à des équipages polonais puis hollandais. Les premières visites effectuées à bord révèlent un mauvais état général du Bouclier.
L'ingénieur mécanicien Pondaven établit un état de besoins. Finalement le torpilleur sera désarmé et utilisé comme bâtiment base pour l'école ASDIC sous la direction de l'enseigne de vaisseau Baudouy. Laurent le samedi 20 mars 2010 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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Les Français à Londres, 1940 1941, de Pierre ACCOCE : "A Londres, les Français libres ont vécu cela avec le « Capo di Olmo ». Peu de jours auparavant, ils avaient déjà pareillement vibré à la venue d'un autre bâtiment : le « Casamance ».
Encore un cargo. De sept mille tonnes, qui appartenait aux « Chargeurs Réunis ». Port d'attache : Dunkerque. Cette unité était affectée aux lignes commerciales avec l'Afrique, l'Occidentale comme l'Equatoriale. Commandant de bord : le capitaine au long cours Jean Floury. Un marin de la vieille école, dur au travail, âpre au gain. Son second, Roger Brias, deuxième capitaine, rompu au grand métier, féru d'astronomie et de mathématiques, venait aussi des universités de la mer. Un lot de jeunes officiers, Jacques Dussumier de Fonbrune, Marcel Baudouy, Roger Pages et Robert Marie, complétait l'état-major. Le chef-mécanicien, Basile Debec, formé sur le tas, veillait en nounou sur la propulsion, qu'assuraient des chaudières à charbon. " Laurent Laloup le vendredi 27 février 2009 - Demander un contact Recherche sur cette contribution | |
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