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Louis Valentin Michard

Louis Valentin Michard - son Livre ouvert !
 

Croix de Guerre attribuées à :
MICHARD Louis du 501ème R C C.

LEFEBVRE le jeudi 27 avril 2023 - Demander un contact

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"Les officiers et le fannion de la 2ème Cie. Gauche à droite : Lt. Henry Irle, Lt. Hector Langlois, S/Lt. Louis Michard, S/Lt. Geoffroy de la Bourdonnaye, Capitaine Georges Ratard, S/Lt. Jean Davreux, S/Lt. Roger Imbert, S/Lt. Théodore "Ted" Schultze (Ted identifié par Adrien Bélanger). Photo Georges Ratard."

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Jacques Ghémard le jeudi 10 mars 2016 - Demander un contact

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Le MONTEREAU II au bois de boulogne août 1944

Après la libération de PARIS repos au pré catelan
de gauche à droite
NALPAS - MORACCHINI - BIGLIONNE - L.TREGUER - LT MICHARD

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Roger TREGUER le vendredi 06 novembre 2009 - Demander un contact

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Les unités blindées dans les Forces Françaises Libres

" Au mois d'avril 1941, la 2e Compagnie percevra 3 chars légers américains M2A4 (appelés Honey) neufs, avec armement, lot de bord et radios, ce qui permettra d'accélérer la formation des équi­pages (pilotes, tireurs, radios et chefs de chars).
Le 29 août 1941, la Compagnie commandée par le capitaine Georges Ratard, assisté de 6 chefs de section (sous-lieutenant Me, aspirants Michard, de La Bourdonnaye, Davreux, Schulze et Imbert - échelon hors rang) et d'un responsable de l'atelier (lieutenant Langlois), embarquait — sans matériel — à destination de l'A.LF. sur le s/s Northumberland à Liverpool."

Laurent Laloup le vendredi 24 avril 2009 - Demander un contact

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Carnets de route d'un croisé de la France Libre, de Raymond Dronne

"La section de chars est la l'6 de la 2e compagnie du 501 (capitaine de Witasse). Elle est commandée par le lieutenant Michard, jeune séminariste des Missions étrangères de Paris, ancien de la France Libre, un garçon ouvert et dynamique. Elle est réduite à trois chars qui portent des noms de batailles livrées par Napoléon lors de la campagne de France de 1814 : Montmirail, Champaubert, Romilly. Montmirail et Champaubert sont effecti­vement des batailles gagnées par Napoléon. Mais Romilly ? Pour­quoi Romilly ? Personne n'a pu me donner l'explication. Mais passons. La section Michard s'est appauvrie de deux chars au cours de la longue étape d'hier : l'un a déchenillé, l'autre est tombé en panne de moteur.
Le lieutenant Michard tombera en janvier 1945, en Alsace, mor­tellement frappé par une balle en pleine tête tirée par un sniper caché dans une maison derrière des volets fermés. Il était un des meilleurs parmi les meilleurs.
La section du génie est commandée par l'adjudant-chef Gérard Cancel."

Laurent Laloup le samedi 20 septembre 2008 - Demander un contact

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Adrien Bélanger : www.livresdeguerre.net 

"M. Erwan Bergot est un excellent romancier et à ce titre, il faut peut-être savoir interpréter ou relativiser ses « images »… j’argumente :
Dans son livre sur « LA 2e DB » en pages 31 et 32, il évoque :
« Le lieutenant Louis Michard ne mâche pas ses mots. Officier de réserve, ce père Blanc du Gabon a rallié très tôt la 1e Compagnie de Chars de la France Libre. Visage carré, épaules carrées, gestes carrés. On l’imagine très bien bénissant d’une main l’ennemi qu’il abat de l’autre. Son amour des hommes, il le réserve aux équipages des chars de sa section (Montmirail, Romilly, etc.)… Il fait penser à quelques « moine-soldat » en train de réduire par le feu l’hérésie cathare »… Puis il reprend, page 135, le terme de « Père Blanc dans le civil »…
Il faut savoir que Louis Michard a certes été séminariste mais n’ayant pas été ordonné il n’était donc pas prêtre. Il n’était en aucun cas ce « Père Blanc » décrit. Je m’autorise à dire que son choix pour le séminaire venait de son attirance pour l’Asie où il aurait été missionnaire s’il avait persisté dans la voie ecclésiastique… et, ceci était un simple souhait. Là, il aurait été vêtu de noir et non de blanc. Alors, « Père », passe encore, mais d’où vient cette idée du « Gabon »… seul M. Erwan Bergot peut sans doute nous le dire !
Michard (blessé) est arrivé en Angleterre via Dunkerque et après son engagement (n° 00357) retardé du fait d’une blessure, il a intégré le « Détachement Garrot ». Puis, il est versé à la « 2e Compagnie Autonome de Chars de la France Libre des Grosnier, Ratard, dès sa formation… ». Non a la 1e comme l’indique M. Erwan Bergot (la 1e se battait déjà en Afrique). Par ailleurs, lorsqu’on connaît la famille Michard (le cadet des frères Michard est toujours des nôtres) et Louis en particulier pour avoir consacré un ouvrage sur « 39-45 » en prenant comme fil conducteur ce Compagnon de la Libération (« Pour aller délivrer mes frères – Louis Michard »), l’image du « moine-soldat » brûlant tout sur son passage ou celle du « Père blanc » tenant une croix dans la main et le pistolet de l’autre est vraiment romanesque (pour ne pas dire offensante… c’est juste mon avis).
Louis Michard ne manquait pas de courage (sa devise en atteste : « On n’a jamais fini de faire son devoir ») et son amour des humains était si grand qu’il ne le réservait pas uniquement aux hommes de son équipage comme l’écrit M. Erwan Bergot (il est possible de consulter la fiche de Louis Michard sur le site des Compagnons de la Libération).
Toutefois, je recommande les livres de M. Erwan Bergot car au-delà des… images, il nous fait toujours vibrer ! Et puis, avec l’Histoire, comment ne pas faire d’erreur ? N’étant pas un vrai auteur, mes propres écrits sont sans doute loin d’être parfait !
Très cordialement

"

Laloup laurent le vendredi 17 août 2007 - Demander un contact

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Vers la fin février 1941 Henri Caron m'a dit que j'allais être le pilote du Lieutenant Louis Michard qui, je me suis rendu compte quand je l'ai rencontré, était l'aspirant qui m'a aidé à allumer le feu ! J'avais espéré que je serais avec lui et, ma vie était parfaite surtout quand j'ai su que Henri Caron était son adjoint. Les deux hommes avaient une entente parfaite et un fond avec lequel j'étais en parfaite harmonie. Ca a été une très bonne nouvelle. Les années que nous avons passé ensemble ont été parfaites. Nous avons eu les même idéaux militaire et moral, une confiance l'un à l'autre et une entente parfaite.

Extrait de www.gastoneve.org.uk 

Laurent Laloup le jeudi 05 juillet 2007 - Demander un contact

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Gaston Eve commente cette photographie dans ses pages 

"Michard's Platoon at Pré Catelan in the Bois de Boulogne, Paris. Personnel Left to right and top down. On top of front tank "Montmirail" (20): Paul Lhopital, Marc Casanova, Louis Michard. Beside Montmirail, Etienne Florkowski, Gaston Eve. On top of back of Montmirail Pezeux (Replaced Henri Caron). On top of front of middle tank "Romilly" (21): François Collon, François Jaouen, Roland Hoerdt. Standing, Léo Jouhet, Georges Renou, Roger Norcy, Pierre Coatpehen, Trégeur, Emile Fray, Biglione, Moracchini, Malpas. Crouching in front, Jean Brissé, Privé, René Tracqui, Maurice Amzallag. The third tank is "Montereau 2" (22), the rear tank is either "Arcis Sur Aube" (23) or "Champaubert" (24)."

"Section Michard à Pré Catelan, Bois de Boulogne, Paris. Personnel, de gauche à droite et haut à fond. Sur premier char "Montmirail" (20): Marc Casanova, Paul Lhopital, Lt Louis Michard. À coté de Montmirail, Sgt Etienne Florkowski, Gaston Eve. Sur l'arrière de Montmirail, André Peseux (le remplacement d'Henri Caron, tué l'avant-veille). Sur l'avant de la deuxième char, "Romilly" (21), haut à fond : François Collon, François Jaouen, Roland Hoerdt. Debout, Léo Jouhet, Georges Renou, Roger Norcy, Pierre Coatpehen, Louis Trégeur, Emile Fray, Etienne Biglione, André Moracchini, Claude Nalpas. Accroupi en devant, Georges Brice, Sgt Jean Privé, René Tracqui, Maurice Amzallag. Le troisième char est "Montereau 2" (22), la dernière char est (je pense) "Arcis Sur Aube" (23)

Manquant dans ces rangs: Sgt Jules Jamette, Sgt Yves Triolet and R Thomas."

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Jacques Ghémard le lundi 30 avril 2007 - Demander un contact

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Réponse :

Trouvés dans cette liste des Français Libres : Louis Michard assis à l'avant du char de gauche, peut être Paul Lhopital assis sur la tourelle, Etienne Florkowski debout à gauche au sol devant le char, Gaston Eve le bras sur son épaule

Des quatre qui sont accroupis, depuis la gauche : 3e René François Tracqui, 4e Maurice Amzallag

Rangée debout, depuis la gauche : 1er Léon Jouhet, 2e Georges Renou, 3e Roger Norcy, 4e en retrait accoudé au char Pierre Coatpehen, 6e Louis Treguer, 7e Emile Fray, 9e Jean (pas André) Moracchini

François Collon, le plus haut sur le 2e char, François Jaouen à coté de lui, Roland Hoerdt en dessous de Collon

Bonjour,
Ci-jointe une image photo qui concerne Louis MICHARD mais également un autre FFL qui a aidé de Gaulle. Je pense en particulier à Gaston EVE un Britannique qui avait choisi de se battre aux côtés des Français Libres et qui, à ma connaissance n'a jamais été honoré, par exemple, d'une Légion d'honneur. Cet homme est maintenant décédé chez lui en Angleterre mais, sur lui, je n'ai pas de plus amples renseignements (voir sa photo en compagnie de Louis Michard, il est également présent sur la photo prise devant l'Hôtel de ville de Paris).
Très cordialement et merci.

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Adrien bélanger le jeudi 12 avril 2007

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quelques erreurs...

Bonjour,

Non, Louis Michard n'était pas militaire avant guerre et ce Bourbonnais était né à Chamblet (03-Allier, actuellement département de la région Auvergne).
Il est mort tué, sur son char montmirail, à Grussenheim (Alsace) en 1945.
Si vous le souhaitez, vous pouvez consulter sa fiche sur le site des Combagnons de la Libération... qu'il est ou sur un livre :
"POUR ALLER DELIVRER MES FRERES" - "Louis MICHARD"
Adrien Bélanger - Autoédition - septembre 2005
ISBN 2-9523027-1-5

Merci pour votre formidable travail
très cordialement,
Adrien

Adrien Bélanger le samedi 24 mars 2007

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Les coordonnées de l'auteur sont ici