Aloys Klein - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Aloys Klein



Naissance : 19 décembre 1917 - Rahling (57)

Activité antérieure : militaire

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : Londres en juin 1941

Affectation principale : Terre DFL - Moyen Orient / BM11

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : capitaine

Décès à 89 ans - 21 janvier 2007 -

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 320616

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 27395

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Laurent Laloup le samedi 28 mars 2020 - Demander un contact

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Revue de la France Libre mai 49

Chevalier de la LH

laurent le samedi 26 décembre 2015 - Demander un contact

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Né à RAHLING (44 déportés)

Son frère Albert - MORT POUR LA FRANCE.

Son frère Denis - Déporté puis évadé

EiCH le dimanche 13 novembre 2011 - Demander un contact

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Aloyse Klein, défenseur de la France libre

" En remettant à Aloyse Klein la croix d’officier de la Légion d’honneur en 1998, le général Alain de Boissieu a salué un homme «énergique, courageux et qui a du culot.» Ces trois qualités résument une carrière riche en événements historiques de ce Messin qui vient de s’éteindre à l’âge de 89 ans.
Né le 19 décembre 1917 à Rahling, près de Bitche, Aloyse Klein est le dernier d’une famille de huit enfants. Après sa réussite au concours de Saint-Cyr, il est nommé lieutenant en septembre 1939. Le 14 juillet 1939, Aloyse Klein a défilé sur les Champs Elysées avec l’école spéciale militaire de Saint-Cyr. Le 2 septembre de la même année, jour de la mobilisation, il a été nommé sous-lieutenant et affecté au 124e RI dans le secteur d’Hirson. Il se retrouve ensuite durant l’hiver du côté de Creutzwald. Le 31 mai 1940, il est fait prisonnier à Lambersart, près de Lille et conduit en Poméranie, à l’Oflag IID, où il refuse d’être libéré en tant qu’Alsacien-Mosellan. Comme officier et par conviction, il ne pouvait pas accepter. Pour lui, la guerre n’était évidemment pas terminée.
Le 27 mars 1941, Aloyse Klein s’évade en compagnie des lieutenants (et futurs généraux) Jacques Branet et Alain De Boissieu qui est devenu par la suite le gendre du général De Gaulle, et chancelier de l’Ordre de la Libération. Les trois hommes franchissent alors la frontière soviétique et sont faits prisonniers, traités comme espions. L’invasion de l’URSS par l’Allemagne change tout ! Le 1er septembre 1941, nous avons pu embarquer avec les Anglais pour Glasgow. Les trois fugitifs sont arrivés à Londres le 9 septembre. Le lendemain même, il a signé son engagement avec le détachement Billotte dans les Forces françaises libres. Après avoir été chargé de l’instruction des jeunes recrues, Aloyse Klein quitte l’Angleterre en février 1943 pour rejoindre la 1ère Division française libre, alors commandée par le général Koenig. Il fait la Tunisie, puis les campagnes d’Italie et de France jusqu’au 8 mai 1945. Pour Aloyse Klein, jamais la France libre ne devait tomber dans l’oubli et il n’a cessé de témoigner devant la jeunesse.
Après un comportement exemplaire pendant la guerre, Aloyse Klein commence une nouvelle carrière à 31 ans en entrant dans l’enseignement technique.
A partir de 1974, il est en charge de la préparation du concours de la Résistance et de la déportation. Il a présidé trois ans durant l’UNADIF Moselle et a été président de l’Union départementale des combattants volontaires de la Résistance. Il était une figure du paysage messin, au travers de ses nombreuses responsabilités : président de conseil de Fabrique de la basilique Saint Vincent (pour laquelle il s’est investi totalement, afin qu’elle ne soit pas fermée), président des Conférences de Saint Vincent de Paul pour la zone de Metz. A 89 ans, il continuait de faire de la pédagogie de la mémoire. C’est sa Victoire sur l’oubli. Il vient de s’éteindre après un parcours d’homme exemplaire. "

Publié le 22/01/2007 www.republicain-lorrain.fr 

Laurent le vendredi 07 mai 2010 - Demander un contact

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Pour combattre avec de Gaulle, du général de Boissieu

" Sur le pont de L'Empress of Canada, le 6 septembre 1941. Sur les quatorze officiers évadés d'Allemagne par l'U.R.S.S., trois sont morts au champ d'honneur, cinq ont été faits Compagnons de la Libération. En bas, de gauche à droite : Maurice Cornilliet, Jean de Person, Jacques Branet, Pierre Billotte, Alain de Boissieu, Alain Richemont-Borel, Àloyse Klein, René-Philippe Millet; en haut, toujours de gauche à droite : Raymond Meyer, Charles de Pampelonne, Erven Baudry, Pierre Joriot, Robert Michelier, Jean-Louis Crémieux-Brilhac."



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Laurent Laloup le samedi 01 septembre 2007 - Demander un contact

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Aloyse Klein nous a quitté à l’âge de 89 ans. Né en 1917, près de Bitche, Aloyse Klein, après Saint-Cyr, est nommé lieutenant et affecté au 124ème RI dans le secteur d’Hirson. Il est fait prisonnier, le 31 mai 1940 et conduit en Poméranie, à l’Oflag IID, où il refuse d’être libéré en tant qu’Alsacien-Mosellan.

Le 27 mars 1941, il s’évade en compagnie, entre autre d’Alain de Boissieu, futur chancelier de l’ordre de la libération.

Emprisonné en Russie le 1er septembre 1941, il est libéré pour regagner l’Angleterre où il s’engage dans les FFL.

En février 1943, il rejoint la 1ère Division Française libre, commandée par le général Koenig et participe à ses combats en Tunisie, en Italie et en France jusqu’au 8 mai 1945. Pour Aloyse Klein, la France libre ne devait jamais tomber dans l’oubli et il n’a cessé de témoigner devant la jeunesse assumant de longues années ses responsabilités dans l’association des Français libres.

A 89 ans, il continuait de faire de la pédagogie de la Mémoire. C’était sa victoire sur l’oubli. Il vient de s’éteindre après un parcours d’homme exemplaire.

Source : Revue de la France libre

Laurent Laloup le lundi 11 juin 2007 - Demander un contact

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Réponse :

Ses 2 compagnons d'évasion étaient Alain de Boissieu et Jacques Branet qui le raconte dans son livre "L'escadron"


Aloys Klein  est décédé le 21 janvier 2007

Laurent Laloup le samedi 07 avril 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le samedi 28 mars 2020

 

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