Michel André Gilles Dabat - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Michel André Gilles Dabat



Naissance : 9 octobre 1921 - Paris 14e

Activité antérieure : ouvrier / artisan

Point de départ vers la France Libre : Metropole

Engagement dans la France Libre : en octobre 1940

Affectation principale : Résistance intérieure / Musée de l'Homme

Grade atteint pendant la guerre et spécialité : P2

Décès à 20 ans - 22 octobre 1941 - Nantes (44)

Mort pour la France

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 153786

Dans la liste d'Henri Ecochard V40 : ligne 13251

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" DABAT Michel, André, Gilles
Né le 9 octobre 1921 à Paris (XIVe arr.), fusillé comme otage le 22 octobre 1941 au terrain du Bêle, à Nantes (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique) ; dessinateur aux Ponts et Chaussées ; résistant gaulliste.

Fils d’Alexis Dabat, médecin-major de Loire-Inférieure, et de Josèphe Fradin de Linière, sans profession, Michel Dabat, dessinateur aux Ponts et Chaussées, célibataire, vivait à Lignières (Loire-Inférieure, Loire-Atlantique).
Résistant gaulliste et membre du groupe Bouvron de Nantes, du réseau Georges-France 31, depuis juin 1940, Michel Dabat avait hissé les couleurs nationales le 11 novembre 1940 sur la cathédrale. Il était agent de renseignement des services secrets britanniques.
Il fut arrêté par l’Abwehr le 28 mars 1941 à Nantes, pour « action en faveur de l’ennemi, espionnage et passage de lettres en zone libre ». Incarcéré à la prison Lafayette de Nantes, il fut reconnu « isolé » à son procès, le 18 août 1941, et condamné à quatre mois de prison faute de preuves. À l’expiration de sa peine, il fut maintenu en détention sur ordre de la Geheimfeldpolizei et désigné comme otage par les autorités allemandes.
Il a été fusillé le 22 octobre 1941 à Nantes, au terrain du Bêle, en représailles à l’exécution par des résistants du lieutenant-colonel Karl Hotz, responsable des troupes d’occupation en Loire-Inférieure. Le même jour et pour la même raison, vingt-sept internés furent exécutés à Châteaubriant, seize à Nantes et cinq au Mont-Valérien.
Il fut inhumé au carré militaire du cimetière de la Chauvinière.
Cité à l’Ordre de la Nation, il a reçu la mention « Mort pour la France ».
Son nom figure sur plusieurs plaques commémoratives, à Nantes (plaque des fusillés, monument des cinquante otages, lycée Saint-Stanislas), et à Saint-Julien-de-Concelles.
Sources
SOURCES : DAVCC, Caen, B VIII dossier 2 (Notes Thomas Pouty). – Guy Krivopissko, La vie à en mourir, Paris, Tallandier, 2003. – Mémorial GenWeb. – État civil.

Julien Lucchini, Guy Krivopissko"

Jacques Ghémard le lundi 26 novembre 2018 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 26 novembre 2018

 

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