Michel Frédéric Brunschwig - Les Français Libres

Les Français Libres, de juin 1940 à juillet 1943

 
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Michel Frédéric Brunschwig



Naissance : 16 septembre 1917 - Besançon (25)

Point de départ vers la France Libre : Nord Afrique

Engagement dans la France Libre : en mars 1943

Affectation principale : FAFL / Alsace

Matricules : 35.467

Décès à 35 ans - 16 mai 1953 - Nha Xuyen, Indochine

Mort pour la France

Frère de François Brunschwig 

Dossier administratif de résistant : GR 16 P 95504

Dossier Légion d'Honneur


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condamnation de Jan-Pierre Alesch

Jean-Pierre Alesch fut jugé par le tribunal de Casablanca le 8 août 1941, en compagnie notamment de Michel Brunschwig et de Jean Rey pour sa tentative d'évasion d'AFN. Il fut condamné à 2 ans de prison, mais compte tenu de l'absence d'antécédents et "considérant leurs regrets", il fut des condamnés qui bénéficièrent du sursis. Il était alors agent de 3ème classe des services de l'Air à la base de Meknès.



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Bertrand Le Bras le lundi 13 novembre 2023 - Demander un contact

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Réponse :

GR 16 P 154136 | DAFFOS (Roland Jean André) | 1919-03-10 | Bordeaux | Gironde | FRANCE | DIR
GR 16 P 347943 | LEBRETTE (Emile Pierre) | 1915-08-05 | Saint-Martin-Sainte-Catherine | Creuse | FRANCE | DIR
Probablement GR 16 P 385702 | MAITRE (Joseph) | 1918-06-02 | Evron | Mayenne | FRANCE | DIR


Videz vos poches. Histoire du Groupe Lorraine - p.m. lambermont

« …. Le 15 janvier 1945, à la tête de deux escadrilles anglaises de Mosquitos, il attaque des bateaux ancrés au fond d'un fjord près de Narvick. Son avion est pris en chasse par quatre Focke Wulfs... Guedg a le temps de tirer ses huit fusées sur un pétrolier qui l'emporte dans son explosion.
Une poignée des compagnons de cellule du père de Maurice parvient à rejoindre la Grande-Bretagne. Accueillis, soignés et choyés par des familles anglaises, les ex-tolards d'Afrique du Nord peuvent remettre de l'ordre dans leur santé. Les misères et les souffrances accumulées les avaient terriblement affaiblis. L'un d'eux le lieutenant Brunschwig (ses 84 kilogs normaux sont réduits à 51 kilogs à sa sortie du cachot) rejoint le groupe Alsace. Son frère avait fait la campagne de Libye comme observateur au groupe Lorraine. Rey et Gaston sont descendus à leur première sortie sur le front, au Groupe Normandie-Niemen. Perraux se tue à l'entraînement. Ghigliotti est abattu en attaquant une rampe de lancement de bombes volantes... En 44, quelques-uns sont au Lorraine. Le commandement ne les comprend pas toujours et manque parfois de finesse psychologique.
Les traces d'une ou deux années de réclusion ou de travaux forcés ne s'effacent pas en un clin d'œil. Perdus dans de douloureux souvenirs, ils sont d'une nervosité extrême ou subitement apathiques. D'une intransigeance catégorique, ils ont du mal à nuancer leurs réactions. De plus, très sensibles aux effets de la fatigue, il leur est difficile de s'intégrer au rythme d'une vie normale ou de s'adapter aux activités d'un groupe en opérations. Après tout, le commandant d'un groupe est un « manager ». Or, le manager doit connaître et tenir compte des points faibles de son boxeur. Ceci ne se met pas encore en équations !… »

Laurent Laloup le mardi 25 avril 2023 - Demander un contact

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ancien sous off 2/8 Haiphong

J 'etais mecano radio de piste et avais parfois l honneur d'assister le cdt Brunschwig lors de son installation dans son beercat avant son decollage. Officier remarquable, calme, inspirant le respect, toujours souriant. Tres touché lors de sa disparition en vol d'appui aérien.

parsy le mardi 15 septembre 2015 - Demander un contact

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Trying to Reach Lieutenant Brunschwig or his Family

Hello,

I am interested in knowing more about Lieutenant Brunschwig. Is he still living? or does the cross mean deceased?

i would like to know if he is living, may i reach him. i am a friend of Lester and Lester needs to speak to him urgently.

Please contact me if you can be of assistance in contacting him or his Family.

Thank you,
Stephanie Parker
830 463 2275

Email: stephanieparker.monaco@yahoo.com

Stephanie Parker le mardi 13 mai 2014 - Demander un contact

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Royal Air Force Fighter Command Losses Of The Second World War: Operational Losses, Aircraft And Crews de Norman L. R. Franks
(Communiqué par Yves MORIEULT)

laurent le jeudi 01 octobre 2009 - Demander un contact

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Archives Yves Morieult :



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laurent le jeudi 01 octobre 2009 - Demander un contact

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laurent le jeudi 01 octobre 2009 - Demander un contact

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BRUNSCHWIG : né le 16 septembre 1917 à Besançon (Doubs) -
Engagé FAFL le 2 mars 1943 comme lieutenant pilote - matricule 35.467.
Ancien élève de l'école de l'air de la promotion 1939 "Lieutenant PINCZON DU SEL"
Tué en Indochine le 16 mai 1953, commandant du groupe de marche II/8 Languedoc.

Source : Yves MORIEULT

Laurent le jeudi 01 octobre 2009 - Demander un contact

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"...Citation à l'ordre de l'Armée Aérienne - 11 déc. 1953

"Officier supérieur d'élite, doué des plus belles qualités d'intelligence et de cœur. Ardent patriote généreux et clairvoyant, s'était révélé en toutes circonstances comme un combattant de grande classe dont le courage et la foi faisaient l'admiration de tous.

Malgré les sacrifices consentis par lui et les siens en 1939 - 1945 avait voulu être présent là où la France lutte encore pour le maintien de la civilisation et de la paix.

Placé à la tête du Groupe de Chasse 2/8 "Languedoc" s'était révélé comme un commandant de formation de grande classe, sachant traiter de pair les questions administratives, la mise en œuvre et la conduite de son unité au combat.

Avait fait personnellement comme chef de dispositif en vol ou comme chef de PCIA un rôle de tout premier plan dans la préparation et l'exécution des opérations combinées qui se sont déroulées en Indochine de Février 1952 à Avril 1953.

Mortellement blessé en vol le 16 Mai 1953 à NHA XUHEN au Tonkin en appuyant une unité des forces Vietnamiennes, disparaît en léguant à tous un exemple marqué du plus pur héroïsme.

Totalisait 226 missions de guerre en 271h40 de vol dont 70 missions effectuées en 72h20 de vol depuis sa dernière citation."

Laurent le jeudi 01 octobre 2009 - Demander un contact

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Mathématiques amoureuses

" Pendant sa captivité à Mekhnès où il était enfermé pour avoir voulu rejoindre les forces de la France libre comme pilote de chasse, Michel Brunschwig écrit « pour s’évader » une nouvelle charmante de potache en classe préparatoire qui regarde les filles, fort jolies. Enfin pas toutes….

Ce texte est lu par François Brunschwig
Durée : 52’ minutes environ "

www.legrandlarge.fr 

Laurent le jeudi 01 octobre 2009 - Demander un contact

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Arsène Lepoittevin  , un péquenot normand chez la Reine / Catherine Ecole-Boivin :

"MICHEL BRUNSWICK
Le quartier-maître radio sombrait depuis plus de douze mois à la prison centrale militaire de Kénitra, quand de nou­veaux prisonniers arrivèrent. Des aviateurs, pour la plupart, venant de la prison centrale civile de Port-Lyautey. Le capi­taine B. les reçut, il n'aimait pas les gaullistes et il leur offrit un discours d'ouverture que tous les détenus entendirent par haut-parleur :
— Vous êtes ici dans une prison militaire, vous serez astreints à la discipline militaire qui vous est familière. Vous avez trahi votre pays. Ici, il y a des assassins, des voleurs... On peut leur trouver des circonstances atténuantes : la majo­rité est irresponsable, notre société leur doit une chance. Mais vous, vous êtes des criminels de la pire espèce et vous avez commis un crime d'autant plus grand que vous aviez pleine­ment votre conscience au moment de le commettre. Je vais vous faire conduire dans vos cachots. Vous serez traités comme les autres condamnés. Vous aurez le temps nécessaire pour réfléchir. En purgeant votre peine, vous rembourserez une dette envers la société. En sortant d'ici, dans trois ans ou dans vingt ans, vous aurez eu tout le loisir de méditer et vous en partirez, je l'espère, le cœur et l'âme repentants. Ce sont des hommes redevenus normaux qui sortiront d'ici dans quel­ques années, des hommes ayant compris leurs crimes et qui remercieront la France de leur avoir accordé ce châtiment et ainsi de laver pour partie l'infamie.
D'anciens officiers subalternes chassés de l'aviation ou qui avaient, comme beaucoup, été obligés de démissionner de l'armée française du fait qu'ils étaient Juifs ou sympathisants gaullistes, venaient combler les cellules vides. Ces nouveaux venus eurent beaucoup de mal à s'adapter au régime disciplinaire. Ayant jusqu'à maintenant bénéficié d'un régime de faveur à la prison centrale civile. L'administration décida de transférer les militaires à la forteresse du Bordj Nord dans les environ de Fès. Un jour, on embarqua tout le monde dans des camions. Cela faisait déjà plusieurs mois qu'Arsène n'avait pas échangé un mot avec ses semblables. Notre radiotélégraphiste bégayait, comme bien d'autres, et postillonnait. Ils arrivèrent pleins d'espoir dans cet endroit malsain souillé de moisi et de maladie ; l'humidité des murs épais y rendait la vie insupportable. Que pouvait-on attendre d'un lieu dont les derniers occupants avaient été des lépreux ? En quelques jours, ils comprirent qu'ils ne passeraient plus la porte de cette forteresse qu'à l'horizontale. Le lieutenant Michel Brunswick, le plus gradé d'entre eux, proposa :
— Il nous faut deux ou trois volontaires pour prévenir Noguès [le résident général] qu'on n'accepte pas qu'on nous laisse pourrir dans cette léproserie.
En effet, la nourriture était plus infecte que jamais ; main­tenant il fallait trier les crottes de souris avant d'avaler les féculents ! Et tout y était si sale ! Toutefois, le seul avantage est qu'ils restaient ensemble jour et nuit, et déambulaient librement dans des endroits déjà rebaptisés par eux les « pissoires pétain » ou les « chiottes lavai », sans majuscules !
Malgré les fouilles, avant de partir de Kénitra, l'un des pri­sonniers avait introduit dans son anus une lame de scie. Trois d'entre eux furent désignés pour s'évader et prévenir les auto­rités de Fès de cette déchéance. Les deux gros barreaux obs­truant une petite ouverture furent sciés. Les prisonniers se mirent à parler fort ou à chanter afin de couvrir le bruit de la lame. Le monde extérieur n'allait pas être plus accueillant pour les trois gars, suspendus à quarante mètres de haut, au-dessus de l'endroit où ils devaient atterrir au pied de la forte­resse. Des couvertures nouées les unes après les autres fai­saient office de cordes. Les deux premiers passèrent sans trop de difficulté entre les barreaux mais le troisième resta coincé, ses jambes gesticulant grossièrement dans le vide. Alors cha­cun d'eux apporta son concours. Son pantalon se déchira et
il saignait, la peau de son ventre et de ses fesses devenait rougeâtre. Les uns après les autres, ils se mouillèrent les doigts, et poussèrent sa chair centimètre par centimètre sous les bar­reaux qui pénétraient dans sa peau. Le malheureux certifiait que cela n'était pas grave :
— Poussez-moi, mais poussez-moi, bon sang ! Enfin, il dis­parut de la lucarne. Tous se mirent à rire durant un long moment, l'imaginant glissant lentement le long de la corde ; le courageux soldat avait laissé son pantalon derrière lui ! Michel Brunswick s'apprêta à se déshabiller mais, déjà, un autre plus rapide que lui envoya le sien au pied de la muraille pour qu'il se change.
Le pauvre, suspendu dans le vide, passa de bien mauvais moments ; du sang coulait le long du mur. Il y avait eu sans cesse la ronde des mokhanis, ces gendarmes auxiliaires marocains qui, heureusement, contrairement aux gardiens français, ne les maltraitaient pas. Ils étaient secondés par leurs chiens indigènes, des sloughis, tellement abrutis et hargneux qu'à cent mètres ils aboyaient si une mouche volait. Les trois compères réussirent néanmoins à se regrouper au pied de la forteresse. Se séparant, ils prirent alors la route de Fès et accomplirent leur mission. L'un d'entre eux atteignit la résidence du gouverneur Noguès et demanda le retour à Kénitra. Ils avaient chacun la même lettre. La décision de les faire retourner à Kénitra fut vite prise. Les choses évoluaient, notamment concernant le traitement qui leur serait réservé à leur retour. On leur annonça que leurs cellules seraient ouvertes à huit heures le matin et fermées avant la tom­bée de la nuit. Cette nouvelle fut pour eux plus qu'un soulage­ment, presque une libération. Le lieutenant Michel Brunswick leur expliqua que les autorités vichystes n'avaient pas le choix : s'ils leur menaient la vie dure, des mesures identiques seraient prises à l'encontre des prisonniers vichystes d'Alexandrie. On leur fournit une nouvelle tenue de bagnard, mais le lendemain matin la porte de leur cellule resta verrouillée. Alors Brunswick décréta une grève de la faim. On en parla dans les journaux en France. Les aviateurs, ayant été habitués à meilleurs traitements, en meilleure santé, les amenèrent à voir la réalité en face. Cette grève dura douze jours. Leur énergie à tous leur redonna confiance, Arsène s'accrochait au charismatique Michel Brunswick, si rassurant que tous l'écoutaient avec confiance. ..."

Laurent le mercredi 30 septembre 2009 - Demander un contact

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"Michel BRUNSCHWIG - FAFL - 35.467 - tué en Indochine en mai 1953.
Etait le frère cadet de François BRUNSCHWIG, disparu en opérations aériennes le 30 juillet 1944."
Source : Yves Morieult

Laurent le mercredi 30 septembre 2009 - Demander un contact

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LISTE DES PILOTES AYANT APPARTENU AUX FORCES AERIENNES FRANCAISES LIBRES

BRUNSCHWIG Michel

www.jean-maridor.org 

Laurent le mardi 29 septembre 2009 - Demander un contact

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Extrait de "Une poignée d'As" du général P. Andrieux

Laurent Laloup le dimanche 09 septembre 2007 - Demander un contact

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Extrait de "Une poignée d'As" du général P. Andrieux

Laurent Laloup le dimanche 09 septembre 2007 - Demander un contact

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Dernière mise à jour le lundi 13 novembre 2023

 

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