Son flls ainé Je n’ai jamais connu l’orthographe JANILA à propos de mon père Christophe JANIK. Pendant sa période de résistance il portait le nom de Georges Claudel dans le réseau Buckmaster. Après avoir été capturé par la gestapo à Nice et ses interrogatoires sous la torture à la prison des Baumettes à Marseille où son compagnon d’arme Jeannot fut fusille, il fut expédié à Buchenwald en passant par Compiègne d’ou il faillit s’evader. Le convoi du mois d’aout fut un des plus meurtrier de l’histoire (Le convoi de la mort de Christian Bernadac) Dans les camps (Buchenwald puis Dachau) il fut affecté au chantier de construction d’une usine BMW. Libéré par les Américains, il s’engagea ensuite pour la guerre d’Indochine puis celle du Maroc. L’episode relaté par Cremieux Brilhac se situe tout de suite après la défaite française alors qu’il avait été emprisonné par les Allemands (Les prisonniers de la liberté). En gros mon père a commencé la guerre sur la ligne de défense française pour connaître ensuite les geôles de la Loubianka et de la citadelle de Minsk. Récupère par les Canadiens après l’agression de l’union soviétique, il débarqua à Glasgow après un passage par le Spitzberg et rejoignit alors les troupes de la France Libre du Gal de Gaulle. Il fut ensuite parachuté dans la région de Castre où le réseau fut décimé. Il réussit à faire une jonction avec un autre réseau à Marselle après s’être caché dans un tombeau où il fut nourri par les habitants avec du chou-fleur aliment qu’il a détesté jusqu’à la fin de sa vie en 1974. Il bénéficie de la mention « mort pour la France » JANIK jean claude le mardi 19 novembre 2019 Contribution au livre ouvert de Czezlaw Christophe Janila dit Janik | 
